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CRITIQUE ET TRADITION.

et bien d'autres avaient déjà pratiquée. Toutefois, la véritable méthode critique, celle qui classe les manuscrits avant de les dépouiller et se préoccupe plus de la valeur des témoins que du nombre des témoignages, est un progrès de date récente Bekker et Dindorf ont le plus contribué à la propager1.

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CRITIQUE ET TRADITION. Avant d'expliquer un texte, il faut le retrouver 2, c'est-à-dire le reconstituer tel qu'il a dû être, en le débarrassant des interpolations, erreurs d'écriture ou autres, qui peuvent s'y être glissées. C'est la tâche de la critique, à laquelle la paléographie sert d'instrument, et qui est elle-même la base de l'herméneutique, science de l'explication des textes 5. « Sans la critique, a dit Schleiermacher, le monument philologique est édifié sur du sable, et la science philologique est un pur dilettantisme. »

Boeckh a très bien signalé le cercle vicieux auquel n'échappe pas la critique philologique. Pour expliquer un texte, il faut le lire sous une certaine forme, et pour le lire sous cette forme et l'y laisser, il faut pouvoir l'expliquer et le comprendre. De là, chez bien des savants, la tendance à corriger ou à supprimer tous les passages qu'ils ne comprennent pas. Il est curieux de voir avec quel plaisir les meilleurs hellénistes se déclarent parfois arrêtés par les choses du monde les plus simples. D'autres se donnent ainsi un air de connaisseur qui ne messied pas .

Quelques-uns, tourmentés en outre par l'esthétique (Peerlkamp, Lehrs, Nauck), se forment a priori une idée des qualités littéraires de tel écrivain, par exemple, d'Horace ; et ils suppriment comme apocryphe tout ce qui ne répond pas à l'idéal qu'ils ont rêvé 5. On reconnaît là les vieux procédés sommaires de Procruste. Une école opposée, école conservatrice, voudrait attribuer aux copistes une sorte d'infaillibilité; elle aime mieux outrager le

1. Hermann a comparé la philologie critique à la médecine: Tournier l'appelle la pathologie des textes. « Peut-être la philologie critique n'est-elle encore qu'un art, mais elle aspire à prendre rang parmi les sciences. Ce ne doit pas être l'avis de Cobet, qui déclare que l'on nait critique comme on naît poète. Ruhnken en disait autant.

2. « Interpretationem praecedere debet emendata lectio. »> (Quint.)

3. La critique conjecturale joue un certain rôle même en épigraphie, surtout lorsque l'on ne possède que des copies de voyageurs ignorants. Les lapicides, du reste, se sont plus d'une fois trompés, comme l'attestent leurs corrections mêmes (colonne Duilienne). 4. C'est là proprement « l'art de ne pas comprendre les textes », comme a dit un maître de la critique. Il est d'ailleurs certain que l'antiquité nous est très mal connue, et qu'il est force expressions poétiques, force allusions à des usages perdus, dont le sens nous échappera toujours. Ce n'est pas une raison pour massacrer les textes et leur faire porter la peine de nos ignorances. Cf. Quint., 9, 7, 39: In veteribus libris reperta mutare imperiti solent, et dum librariorum insectari volunt inscientiam, suam confitentur. On voit à quoi s'expose un critique qui a le dédain de l'archéologie, ou de la linguistique, qui fait deviner les anciennes formes.

5. Nauck, dans le Sophocle de Schneidewin, 7° éd. : « La conjecture qui peut prétendre à la vraisemblance est celle qui, à tous les points de vue, réalise le mieux ce que l'esprit le plus exigeant veut trouver chez un tragique grec. » On dirait que c'est pour lui que Backh a écrit: « Les Athéniens avaient interdit, sur la proposition de Lycurgue, d'altérer le texte des tragiques on voudrait presque que les anciens classiques fussent protégés aujourd'hui par une défense analogue.

TACHE DE L'ÉDITEUR.

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bon sens en expliquant ce qui est absurde, que de changer la lettre des manuscrits suppo sés les meilleurs 1. Ce qui fait le fond de cette doctrine, c'est l'indifférence à l'égard de la vérité. Aussi faut-il savoir gré aux peerlkampiens, malgré leurs folies, d'avoir combattu ce culte des «< contresens vénérables »>, des explications « quand même », chères à ces interprètes à outrance dont Cobet a dit qu'ils n'ont jamais compris ce que c'est que de comprendre (qui, quid sit intelligere, nunquam intellexerunt).

Enfin, il faut convenir que la démangeaison de dire du nouveau, le pruritus emendandi, arme beaucoup de philologues contre les textes généralement reçus, en leur faisant prendre pour nécessaire une leçon qui n'est que possible, et nous vaut ce déluge de conjectures dont un si petit nombre sont palmaires 4.

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Comment se prépare une édition. La tâche de l'éditeur, dit Tourniers, comprend trois parties: le classement des manuscrits, le choix des leçons, la restitution conjecturale des passages altérés.

La détermination de la parenté des manuscrits est le fondement de la méthode ecdotique moderne. Collationner tous les manuscrits d'un auteur, accumuler une énorme quantité de variantes puisées indifféremment à toutes les sources, puis choisir celle qui paraissait s'adapter le mieux au contexte, c'était la

1. C'est la tradition classique en France, surtout dans les éditions des Jésuites, sans cesse reproduites, qui excellent à expliquer l'inexplicable. Cette méthode enseigne à ne douter de rien, jus qu'au jour où l'on doutera de tout. Peerlkamp, après avoir expliqué Horace pendant vingt ans en répétant ce qu'avaient dit ses maîtres, finit par se demander s'il était trompé ou trompeur : et, de ses loyaux scrupules, naquit l'édition des Odes que l'on sait, où il chassait Horace d'Horace lui-même, comme dit Orelli (Boissier, Rev. de Philol., 1878; Benoist, Acad. inscr., 1885). Pour ce qui est des morceaux faibles ou plats que l'on relève dans un poète qu'on croyait jadis parfait, on a dit justement qu'il y a des défauts dans Horace, mais que ces défauts sont bien à lui, et qu'il faut les lui laisser. Si l'on appliquait à Corneille la méthode essayée sur Horace (qui n'est qu'un esprit bien médiocre auprès de Corneille), on ne laisserait pas subsister entière une seule tragédie.

2. Le comble du genre a été atteint par le Suédois Ljungberg, Q. Horatii Flacci Carmina lyrica, ex intimae artis criticae praesidiis ed., 1872. Il reste à peine soixante vers intacts. Voici comment il arrange Od., 1, 28, 21: « Me, quae aqua te vexit, rapuit commissum, o Arion! Nans lyricus novus obruor undis ! » - Les ennemis de Bentley n'ont pas mieux trouvé pour le rallier. (Voy. Rigault, Querelle, etc. Pronusque magis, ter — - Volvitur.) 3. Bockemüller en a fait 1200 sur Lucrèce, dont six ou sept seulement ne sont pas invraisemblables (1873).

4. Se livrer à la conjecture sans avoir reçu une éducation grammaticale très solide, c'est perdre sa peine et braver le ridicule. Cobet : « Ea vero est praeter ceteras palmaris appellanda emendatio, quae una duabusve litteris mutatis aut transpositis novum sententiae lumen, novam orationis formam profert, et ex dissolutis et perturbatis apta et recta efficit. » Cobet a donné beaucoup de corrections répondant à cette formule.

5. Exercices critiq., p. ix.

6. Constater l'altération est plus aisé que de découvrir le remède; Scaliger disait : Morbos melius novimus quam remedia. Cependant Cobet trouve, avec raison, que l'on passe encore trop facilement à côtés des passages altérés: Nil suspicamur mali, et sic stomacho duro plerique sumus ut lapides et saxa concoquamus. L'éditeur, d'un texte inédit surtout, ne doit pas craindre d'avouer son ignorance: « Il n'est jamais permis à un éditeur d'imprimer des choses inintelligibles, ou il doit appeler sur les passages qu'il ne comprend pas et qu'il n'a pu restituer l'attention de ses lecteurs. » (Gaston Paris.) Il y a là un devoir de bonne foi auquel Mai, Bekker et quantité d'autres se sont toujours soustraits.

MANUEL DE PHILOLOGIE.

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CLASSEMENT DES MANUSCRITS.

méthode des siècles précédents; et elle a régné encore au commencement du nôtre. Aujourd'hui, l'on commence par classer les manuscrits par familles, par déterminer (au moyen des lacunes ou des fautes communes qu'ils peuvent présenter) quels sont ceux qui ne sont que des copies d'originaux encore existants; et l'on ne tient compte que des manuscrits archétypes ou dérivant d'archetypes perdus 1. Ainsi, d'après Dindorf, nos manuscrits de Sophocle seraient tous copiés sur le Laurentianus, qui aurait, dès lors, à lui seul toute l'autorité des autres manuscrits. S'ils diffèrent entre eux et de leur source commune, c'est par des fautes d'écriture ou par l'introduction de conjectures relativement récentes. Cette méthode, tout à fait scientifique et très bonne en principe, a conduit à des abus fâcheux. La collation des manuscrits est une tâche si rebutante, que l'on est porté, pour s'en affranchir, à trop restreindre le nombre des manuscrits importants 3. L'opinion de Dindorf sur le Laurentianus a été vivement combattue, et une réaction commence à se produire contre cette tendance excessive à la simplification.

On distingue la critique diplomatique, qui étudie la valeur et la parenté des manuscrits, de la critique verbale ou grammaticale, qui corrige le texte des manuscrits pour le rendre conforme au bon sens ou à la grammaire, Wolf et Boeckh distinguent à tort une critique supérieure portant sur le caractère, l'authenticité des textes, etc., et une critique inférieure ou grammaticale. Il y a de méchants critiques, très inférieurs à Wolf et à Boeckh; mais il n'y a pas de critique inférieure.

Étude des erreurs *.

La critique, en tant qu'elle s'applique à classer les erreurs naturelles à un homme qui copie ou qui écrit sous la dic

1. Par là il arrive qu'un manuscrit du quinzième siècle, représentant un archetype du huitième, peut avoir plus d'autorité qu'un manuscrit du dixième siècle. L'ancienneté des manuscrits est donc un mauvais critérium de leur valeur. « A la différence des hommes, les manuscrits ne valent que par leur descendance. » (Tournier.) Une leçon incorrecte doit quelquefois être préférée à toute autre, à cause de son incorrection même. Très souvent, cette incorrection n'est qu'un déguisement transparent sous lequel se laisse reconnaître le mot qu'a dû écrire l'auteur. Se défier des leçons claires, intelligibles à première vue, aux endroits où un autre manuscrit donnera une variante obscure. (Tournier.) Le principe lectio difficilior praeferenda faciliori n'est cependant pas, on le comprend, d'une application constante. 2. Ce sont ces conjectures-là, œuvres de scribes du Bas-Empire, que les soi-disant conservateurs voudraient vénérer comme paroles d'oracles. Il n'est pas de manuscrit, même excellent, qui ne soit farci de conjectures pareilles. Ce qui justifie l'arrêt de Tournier : « On professe la religion des manuscrits, et l'on n'a que la superstition des vulgates! >> (R. C., II, 527.)- Le même critique dit avec raison: «< Que sont les interprétations des critiques dits conservateurs, sinon des conjectures bien plus hardies que les essais de restitution auxquels on les oppose? »

5. Toutes les copies ne sont pas sans valeur. Un copiste du Laurentianus a pu réviser son ms. à l'aide d'un autre ms. aujourd'hui perdu. Tournier me paraît exagérer quand il dit : << Les plus mauvaises copies offrent en maint endroit des variantes qui mériteraient toute l'attention de la critique si le choix des mss ne devait précéder celui des leçons. »

4. Voy. Ribbeck, Prolégom. à Virgile, 1866; Schubart, Méthodologie de la critique diplomatique, 1855 (all.); Bast, op. cit., et Wattenbach. Voici la classification de Tournier: 1° Confusion de lettres (digraphies, etc.); 2° Substitutions de gloses; 3° Substitution d'un mot à un autre ; 4° Glose ajoutée au texte et intrusions de notes marginales; 5° Lacunes; 6° Transpositions; 7° Remaniements, corrections anciennes (la plupart du temps irrémédialles). On trouvera beaucoup d'exemples dans la Mnemosyne de Cobet.

ÉTUDE DES ERREURS.

51 tée1, est une science psychologique 2. Elle étudie, par exemple, les erreurs d'influence, consistant à répéter deux fois un mot, ou à omettre un mot après un autre qui lui ressemble, ou à altérer la forme d'un mot sous l'influence d'un mot précédent 5. Il y a aussi les erreurs qui consistent à sauter des lignes, à cause de l'identité des syllabes qui commencent ces lignes et d'autres voisines; à changer l'ordre des mots, à lire de travers les abréviations du modèle, à prendre des signes numéraux pour des lettres, enfin à introduire dans le texte des gloses interlinéaires. On a d'ailleurs fort abusé de cette hypothèse des gloses, hypothèse commode qui permet d'expulser d'un texte tout ce qu'on n'y entend ou tout ce qu'on n'y aime point. Il est incontestable que des confusions de ce genre se sont produites; mais, en thèse générale, il ne faut pas rejeter d'un texte ce qui n'a qu'un rapport éloigné avec le contexte; autrement dit, avant d'expulser une glose, il faut expliquer comment elle a pu s'introduire à la place qu'elle occupe dans le manuscrits. Outre les erreurs involontaires, appelées mécaniques par Schleiermacher, il y a les changements volontaires, plus ou moins adroits, introduits dans les manuscrits par des copistes demi-savants. Un scribe, cité par Cobet, avoue, sur la marge d'un manuscrit de Plutarque, que, désespérant de lire son modèle, il a remplacé le texte illisible par du grec de sa façon. Madvig, d'autre part, a raillé avec son esprit habituel (Advers., I, 10) les critiques qui se figurent les copistes comme des hommes pleins d'astuce et de malice, plutôt trompeurs que trompés. Admirons, au contraire, sinon leur pénétration, du moins leur patience à copier des textes dont l'intérêt devait être pour eux des plus médiocres 9.

Dans l'étude des confusions qui peuvent se produire entre les lettres, il

1. Mabillon admettait que l'on dictait les manuscrits; mais Madvig (Advers., I, p. 10) dit que rien ne peut autoriser cette hypothèse.

2. « A vrai dire, la science des lapsus est encore à faire. » (Tournier.) Mais sera-t-elle jamais faite? La science des erreurs humaines serait la science de l'infini.

3. Ainsi, toutes les éditions du Traité de la Concupiscence portent : «On en voit qui passent leur vie... à rendre agréables des choses non seulement inutiles, mais encore dangereuses, comme à chanter un amour feint ou agréable. » (Éd. Vivès, VII, 449.) Il faut lire véritable au lieu d'agréable (répétition du même mot un peu plus haut), comme je l'ai signalé (Rev. instr. publ., 13 juillet 1878). Le texte de Bossuet est un champ ouvert à la critique verbale. (Voy. Vaillant, Gandar, etc.)

4. Ainsi PR (primus) a souvent été transcrit Populus Romanus; VC, vir consularis. 5. Ou des noms propres pour des noms communs. Dans Plutarque (An sen. sit ger. resp., 27), au lieu de ἀνεχώρησε μὲν, ἐκράτει δὲ καὶ δίφρος ἔκειτο, Madvig corrige admirable ment: vzpnoe Mevexpáte..... Cf. Thurot, R. C., XI, 53.

6. Les critiques signalent dans les tragédies des tirades entières qui seraient l'œuvre de quelque vir otiosus d'Alexandrie ou du Bas-Empire; par ex. Antig., 905 sqq. On voudrait souvent que cela fût prouvé.

7. « Gloses explicatives qui n'expliquent rien. » (Thurot, R. C., XV, 19.)

8. Voici un exemple d'une belle correction. Dans Lucrèce (2, 42), on lisait : « Subsidiis magnis Epicuri constabilitas. » Bernays a remplacé Epicuri par hastatis, qui s'est glissé dans le vers suivant où il est inintelligible, et expliqué Epicuri par l'introduction dans le texte d'une glose grecque : subsidia = · ἐπικούροι. Madvig, Cobet et Weil ont fait beaucoup de conjectures semblables, qui restent acquises à la science.

9. C'était souvent des sortes de pensums, que les moines copiaient pro poena peccatorum. Voy. Mabillon, Traité des études monastiques, 1691.

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CONFUSIONS. HERMENEUTIQUE.

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faut en général se reporter à l'alphabet oncial, dans lequel étaient écrits les textes que nos copistes avaient sous les yeux. Ainsi Cobet a fait une correction certaine en remplaçant le mot cov des manuscrits par vetv, à la fin d'un vers iambique, l'o et le 0, l'ɛ et le o lunaire, ayant presque le même aspect dans l'écriture onciale1.

Herméneutique2. — L'herméneutique ou exégèse est l'art d'expliquer les textes (ars interpretandi, enarratio auctorum). C'est une science pédagogique qui repose sur la philologie. Les anciens, depuis l'époque alexandrine, l'ont cultivée avec ardeur; de là le grand nombre de nos scoliastes. Pour bien comprendre un auteur, il faut connaître les circonstances de milieu et de moment qui ont influé sur lui, l'état de la langue à son époque et son usage grammatical particulier, enfin le détail des institutions et des mœurs du pays où il a écrit. L'herméneutique est affaire de savoir et de goût, pour laquelle on ne peut donner que des règles générales. Hermann les a résumées ainsi : Haec (interpreti) tria diligenter sunt observanda : ut eorum, quibus opus est, nihil desit; ut nihil afferatur, quod non sit opus; ut, quae promuntur, recte exponantur. Comme modèle, on peut citer le commentaire du de Finibus de Madvig 3 éd., 1876.)

1. Principales confusions dans les manuscrits grecs :

ONCIALE a et S, y et T, S et λ, ri, n et π, & et o, n, is et x, 0 et o, μ et λλ, i et , w et oo. CURSIVE: a et λ, μ et », « et Ti, T, u et y, q et f.

MINUSCULE a et 8, n et x, u et v, etc., etc.

Comme une altération mécanique du copiste A peut avoir conduit le copiste B à une altération volontaire qu'aura reproduite le copiste C, auteur d'un manuscrit conservé, on comprend que l'on puisse proposer une très bonne correction d'après le contexte sans tenir compte des confusions paléographiques.- La connaissance de l'ancienne orthographe n'est pas sans importance pour la critique : « Pour savoir ce qu'a écrit un auteur, il est souvent fort utile de savoir comment il écrivait. » (Tournier.)

2. G. Hermann, Opusc., t. VII, p. 97; Schleiermacher, Herméneutique et critique, 1858 (all.). L'exégèse des monuments figurés est une forme de l'herméneutique (Bursian, Réunion des phil. à Augsbourg, 1862; cf. R. C., 1883, p. 507.)

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