Histoire des empereurs romains, depuis Auguste jusqu'à Constantin, Zväzok 1De l'imprimerie de Firmin Didot, 1824 |
Iné vydania - Zobraziť všetky
Časté výrazy a frázy
Agrippa armées armes Arminius assemblées Auguste avaient ayant C'était CÆSAR Caïus camp Cécina César Chérusques chevalier romain chevaliers citoyens commandement conduite consulat consuls crime d'Agrippa d'Au d'Auguste Dalmates décerner déja dieux Dion discours donner Drusus empereurs ennemis esclaves faisait femme fils fût Gallus Gaule Germains Germanicus gloire gouvernement grace guerre guste hommes honneurs jeux Julie jusqu'à l'em l'empereur l'empire laisser légions Livie lois Lucius César lui-même mains Marcellus Mécène ment Messala mille mort n'avait n'était nation nombre Octavien ordonna ordre paix Pannonie Pannoniens Parthes passer père peuple Phraate Pline Pollion porter pouvait préteurs prince prit provinces puissance qu'Auguste quàm Quirinius république reste Rhin Romains Rome s'était sédition Ségeste sénat sénateurs sentiments sesterces seul Sicambres soin soldats sort Suet Suétone Suèves sujet Tacite temple Tibère tion titre tranquille tribun triomphe troupes trouva Usipiens Varus Vell voulait voulut
Populárne pasáže
Strana 4 - D'un œil si différent tous deux l'ont regardé Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille, Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville ; L'autre, tout débonnaire, au milieu du sénat A vu trancher ses jours par un assassinat.
Strana 160 - Ils avoient une espèce de divination qui leur était propre , et qu'ils tiroient de leurs chevaux. On faisoit paître dans les bois sacrés , et l'on nourrissoit aux dépens du public, des chevaux blancs, que l'on n'assujettissoit à aucun travail qui eût pour objet le service des hommes. Lorsqu'il...
Strana 97 - ... un homme sans bras qui, avec son pied, bandait un arc et faisait partir la flèche-, il portait à la bouche une trompette dont il sonnait; en un mot il exécutait presque tous les mouvements que nous faisons avec nos mains; c'étaient des tigres, animaux qui n'avaient pas encore été vus à Rome ; des vipères d'une grandeur extraordinaire; un serpent de la longueur de dix coudées, une tortue de rivière qui avait trois coudées de long, et une perdrix plus grosse qu'un vautour. Avec les ambassadeurs...
Strana 263 - Quoi ! disait-il, je laisserai mon assassin libre et tranquille , et l'inquiétude sera pour moi ! Après que tant de guerres civiles ont respecté mes jours ; après que j'ai échappé...
Strana 125 - Il se fit un plaisir malin d'abaisser et d'écraser ceux devant lesquels il rut tremblé dans les temps précédens, et il fatigua les Gaulois en général par les vexations les plus criantes. Dion en cite un trait : comme les tributs se levaient et se payaient par mois, ce misérable profitant de nouveaux noms donnés à deux des mois de l'année, juillet et août, fit une année de quatorze mois, afin de tirer quatorze contributions au lieu de douze. « Auguste fut touché des plaintes qui s'élevèrent...
Strana 265 - Cinna, dans le camp de mes adversaires ; vous n'étiez pas seulement devenu mon ennemi, mais vous étiez né pour l'être. Dans de telles circonstances, je vous ai accordé la vie; je vous ai rendu tout votre patrimoine. Vous êtes aujourd'hui si riche et dans une situation si florissante, que les vainqueurs portent envie à la condition du vaincu. je vous ai accordé le sacerdoce, que vous m'avez demandé, en faisant un passe-droit à plusieurs...
Strana 264 - Cépion , pour ne point parler de tant d'autres que vous avez fait repentir de leur audace; essayez maintenant de la clémence ; pardonnez à Cinna ; il est découvert , il ne peut plus vous nuire ; et la grac* » que vous lui accorderez , peut vous procurer beau
Strana 266 - Auguste continua de parler sur ce ton pendant plus de deux heures , alongeant exprès la durée de la seule vengeance qu'il prétendoit exercer sur le coupable. Il finit, en lui disant: «Cinna, je vous ai autrefois donné « la vie comme à mon assassin : commencons , dès ce
Strana 243 - Il défendit que qui que ce fût , libre ou esclave , lui rendit visite sans sa permission expresse , et il se faisait donner le signalement de ceux qui la demandaient. Il ne lui envia pourtant pas la consolation d'avoir avec elle Scribonia , sa mère , qui l'accompagna dans son exil. Du reste , la sévérité d'Auguste à l'égard de Julie fut inexorable. Toute la grâce qu'il lui fit après cinq ans , ce fut de lui permettre de se transporter en terre ferme , dans la ville de Rhége ; mais il ne...
Strana 243 - ... ceux qui la demandaient. Il ne lui envia pourtant pas la consolation d'avoir avec elle Scribonia , sa mère , qui l'accompagna dans son exil. Du reste , la sévérité d'Auguste à l'égard de Julie fut inexorable. Toute la grâce qu'il lui fit après cinq ans , ce fut de lui permettre de se transporter en terre ferme , dans la ville de Rhége ; mais il ne voulut jamais entendre parler de la rappeler. Tibère l'en pria par lettres ; c'étaient des prières de bienséance , dont il n'était pas...