Jésus devant Caïphe et Pilate. Refutation du chapitre de M. Salvador, intitulé Jugement et condamnation de Jésus. Seconde édition

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E. Garnot, 1840 - 120 strán (strany)
 

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Strana 93 - Jésus répondit : Mon royaume n'est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour que je ne fusse point livré aux Juifs ; mais mon royaume n'est point d'ici.
Strana 15 - Si nous suivons dans la pratique l'application de ces ivg'e« fondamentales, nous trouvons que l'on procédait de la manière suivante : An jour du jugement, les huissiers faisaient comparaître la personne accusée. Aux pieds des anciens étaient assis les hommes qui, sous le nom d'auditeurs ou de candidats , suivaient avec régularité les séances du conseil. Les pièces du procès étant lues, les témoins étaient successivement appelés. Le président adressait à chacun cette exhortation :...
Strana 54 - Jésus lui répondit : J'ai parlé publiquement à tout le monde; j'ai toujours enseigné dans la synagogue et dans le temple où tous les Juifs s'assemblent, et je n'ai rien dit en secret.
Strana 32 - Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu ! Voici, votre demeure va devenir déserte.
Strana 66 - Hébreux défendait encore) que l'accusé soit condamné sur sa seule déclaration, telle qu'il l'a traduite lui-même et lui seul ! Et c'est au milieu du plus violent transport de colère que cet accusateur, lui...
Strana 20 - ... Pendant le jour intermédiaire, ils ne devaient s'occuper que de la cause ; en même temps s'abstenir d'une nourriture trop abondante, de vin, de liqueurs, de tout ce qui eût pu rendre leurs esprits moins propres à la réflexion. Dans la matinée du troisième jour, ils revenaient sur le siége de la justice. Je persévère dans mon avis et je condamne, disait celui qui n'avait pas changé d'opinion ; mais celui qui avait condamné la première fois pouvait absoudre dans cette nouvelle séance,...
Strana 18 - Les témoins devaient certifierl'identité de la personne, déposer sur le mois, le jour, l'heure et les circonstances du crime. Après l'examen des preuves, les juges qui croyaient à l'innocence exposaient leurs motifs; ceux qui croyaient l'accusé coupable parlaient ensuite avec la plus grande modération. Si l'un des auditeurs ou candidats était chargé par l'accusé de sa défense, ou bien s'il voulait présenter en son propre nom des éclaircissements en faveur de l'innocence, on l'admettait...
Strana 16 - dommage. Si tu faisais condamner » injustement l'accusé : son sang, » même le sang de toute sa postérité , » dont tu aurais privé la terre , retom»berait sur toi; Dieu t'en demanderait compte, comme il demanda » compte a Caïn du sang d'Abel. «Parle.
Strana 107 - Lave tes mains, Pilate, elles sont teintes du sang innocent! Tu l'as octroyé par faiblesse, tu n'es pas moins coupable que si tu l'avais sacrifié par méchanceté ! Les générations ont redit jusqu'à nous : le Juste a souffert sous Ponce Pilate...
Strana 21 - ... suivait le condamné , et tournait sans cesse les yeux vers le point de départ. Sur ces entrefaites , si quelqu'un venait annoncer aux anciens de nouvelles preuves favorables, le premier prévôt agitait son drapeau , et l'autre dès qu'il l'avait apercu ramenait sur son cheval le condamné.

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