duit année commune, de1716. duction faite des Char- Sur ce pied il man- 144023027 1008161189. 691660368. duire que Il est resté dû à la 316540813. 1716. fin de 1714. En execution de la Déclaration En Pro- En Bil- 179920034 En Or- $311894388 EN 32284961) 1716. 'En Bil lets de 52319513 561280208 res, 8960635) en Total, 553094530. · Il faut déduire les deux derniers articles accolez, attendu qu'ils font partie des Ordonnances ou des Assignations sur le Trefor Rojal, & que fi les Tresoriers étoient paiez , ils aquitteroient leurs Billets ci à deduire 61280208. PARTANT, il ne: faut compter les Billets visez que pour 491814422. Les Dettes en Papiers qui existoient au ving Fevrier 1708. montoient à 482844001. AINSI, les Billets faits pour و 7 pour le service de l'etar, subsistans au premier Sep 1716. tembre 1715. n'excedent les Dettes en Papiers, reconnuës en 1708. que de 8970361. On peut même faire u. ne observa ion, que sur les 32284961. livres à quoi montoient ls Billets du Sieur le Gendre, il y en a pour près de quatré millions paiables en Rentes viageres ou en Promesses' de Gabelles. Il s'en (uit de l'exposition de toutes les depenses faites pendant fept années : I. Qu'il n'a pas été possible de les acquitter entieremini. i II. La comparaison des Papiers subfiftans au premier Septembre 1715. avec ceux qui existoient au premier Janvier 1708. prouve évidemment l'économie & l'arrangement avec lefquels les Finances ont été adminiftrées pendant ces sept années. III. Les depenles ont été plus fortes que pendant les années pieceden tes, à cause de la fterilité de l'année 1709. 1716. IV. La gelée des Oliviers, des Noiers, des Châtaigniers & des autres Arbres portant fruits, a été ineltimable pour les Provinces qui en ont fouffert. La mortalité des Bestiaux, les maladies populaires & les debordemens des Rivieres, ont causé des pertes immenses. Ces accidens avoient mis les Peu. ples hors d'état d'acquiser toutes les impositions ordinaires & extraordinaires, Le feu Roi en étant bien informé, jugea qu'il falloit accorder des décharges d'une partie des impositions. On les a expliquées. OUTRE ces décharges, le feu Roi fit remettre des sommes d'argent aliez considerables aux Evêques & aux Intendans, pour assister les pauvres. Ces décharges & les Fonds remis ont diminué d'autant les Fonds dont on avoit besoin pour les dépenses de l'Etat. V. On n'a pas laisé d'éteindre & de supprimer, nonobstant ces malheurs, les Billets de Monnoie , & d'autres Papiers & Dettes reconnuës au premier Janvier 1708. &. après |