 ... d'Arsy. Lorsqu'il conçut le poëme de Suzanne, il allait en lire le plan et les fragments, et les soumettre au jugement des hôtes de Lucienne, dont il se sentait aimé et apprécié. Madame la comtesse Hocquart avait le brillant esprit de sa mère....  Bulletin de la Société archéologique de Sens - Strana 143podľa Société archéologique de Sens (France) - 1894Úplné zobrazenie - O tejto knihe
 | Revue nationale et étrangère - 1862 - Počet stránok 668
...comtesse Hocquart avait le brillant esprit de sa mère. Elle vivait encore il ya quelques années. Aimant à reporter sa pensée sur cette lointaine...esprit charmant (ce sont ses propres paroles), de cette imagination splendide, de cette âme facile à se passionner. Madame Laurent Lecoulteux1, la... | |
 | 1862 - Počet stránok 686
...comtesse Hocquart avait le brillant esprit de sa mère. Elle vivait encore il ya quelques années. Aimant à reporter sa pensée sur cette lointaine...esprit charmant (ce sont ses propres paroles), de cette imagination splendide, de cette âme facile à se passionner. Madame Laurent Lecoulteux1, la... | |
 | André Chénier - 1862 - Počet stránok 606
...comlesse Hocquart avait le brillant espril «le sa mère. Elle vivail encore il ya quelques années. Aimant à reporter sa pensée sur cette lointaine époque des mauvais jours, ce n'était jamais sans allendrissement que lui revenait le souvenir d'André Chénier. Elle parlait avec affection, avec admiration,... | |
 | André Chénier - 1872 - Počet stránok 658
...comtesse Hocquart avait le brillant esprit de sa mère. Elle vivait encore il ya quelques années. Aimant à reporter sa pensée sur cette lointaine...esprit charmant (ce sont ses propres paroles), de cette imagination splendide, de cette âme facile à se passionner. Madame Laurent Lecoulteux ', la... | |
 | Société archeologique de Sens - 1891 - Počet stránok 506
...sentait aimé el apprécié. M™e la comtesse Hocquarl avail le brillant esprit de sa mère. Elle vivail encore, il ya quelques années (1872). Aimant à reporter...Chénier. Elle parlait avec affection, avec admiration de cel espril charmant (ce sont ses propres paroles), de cette imagination splendide, de cette âme faoile... | |
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