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prédit la rapidité des conquêtes d'Alexandre le grand, 184,
185.
DÉLIBÉRATION. Délibération des Lacédémoniens au sujet de l'or
et de l'argent que Lysandre avoit apportés d'Athénes, III. 313.
Sagesse des délibérations dans le sénat romain, 372.

DÉMARATE. Entretien de Démarate avec Xerxès, lorsqu'il étoit
sur le point d'entrer dans la Grèce, rapporté par Sénéque, II
136. et suiv. par Hérodote, III. 321.

DÉMOCRATIE. Ce que c'est, IV. 122. Comment elle s'établit, 135.
DEMOSTHENE. Idée abrégée de sa vie, II. 288. et suiv. Tour su-
blime par lequel il relève le courage des Athéniens, 77. Pensée
de Cicéron sur la vanité de Démosthène, 141. Sa réponse à un
Athénien qui se plaignoit froidement d'un outrage, 217. Extraits
des hilippiques de Démosthène, 235 et suiv. Sujet et extrait
de la harangue pour Ctésiphon, 250. et suiv. Jugement sur Dé-
mosthène, de Denys d'Halicarnasse, 260.; de Cicéron, ibid.
de l'auteur, 262. V. Comparaisons.

DENYS (d'Halicarnasse ). Cet auteur établit d'excellens principes
pour l'étude de l'Histoire, III. 199.

DENYS (le premier ), tyran de Syracuse. Comparaison de son rẻ-
gne avec celui de Timoléon, III. 358. Comparaison de sa vie
avec celle de Platon et d'Architas, 360. et suiv.

DONYS (le jeune ). Quelle étoit sa vie dans les commencemens de
son règne, III. 345. Dion le détermine à faire venir Platon à
sa cour. Le fruit qu'il tire de ses leçons, 346. et suiv. Denys éloi-
gne de sa cour Dion et Platon, 349.

DESCRIPTIONS. Exemples de descriptions poétiques, 1.415. et suiv.
Descriptions oratoires, li. 31. Descriptions tirées de l'Ecriture
sainte, 394. et suiv.

DÉSINTÉRESSEMENT, du portier d'un maître de pension de Mi-
lan, It1.26. de quelques soldats qui refusent de prendre de l'ar-
gent que leur officier leur offroit pour les animer à poursuivre l'en-
nemi, ib. d'Aristide, 279. de Périclės, 268. et suiv.; de Paul- Emile,
IV. 69 et suiv.; du grand Scipion, 143. Le désintéressement régnoir
à Rome dans tous les ordres de l'Etat, 116, et suiv.

DESPRÉAUX (Boileau ). On peut prendre dans ces ouvrages et dans
les belles tragédies de Racine, une idée de notre poésie, I.
182.
DEVOTION. Devoir d'un Principal sur les pratiques de dévotion
qu'il doit inspirer aux écoliers, IV. 398.

DIANE-ORTHIA. Déesse honorée à Lacédémone, III. 304.
DIEU. Sans la connoissance de Dieu point de véritable vertu,
III. 105. Dieu se forme un peuple dépositaire de la vérité et de
la religion, 110. Dessein de Dieu dans la suite des événemens
arrivés au peuple Juif dans l'ancien testament 126. Dieu est jaloux
contre quiconque ose usurper sa gloire, 171. Patience de Dieu
à souffrir Sennachérib; et raison de cette patience et sa lenteur
à délivrer Jérusalem, 174. Dieu décide en maître du sort des
empires, 181, 174. Voy. Providence.

DIEUX. Comment Homère décrit leurs combats, I. 348. Onel
respectce poëte inspire pour ces dieux. 385. Etrange idée qu'il

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nous en donne, 448. Reproche que lui fait Cicéron à ce sujet
ibid. Homère connoît que c'est de Dieu que viennent tous les
biens, tous les talens, tous les succès, 449.
DIGAMMA FOLIOUM.e que c'étoit, I. 342.

DIGNITÉS. Les dignités ne procurent point par elles-mêmes une
véritable gloire, III. 59. Elles sont un véritable fardeau, 60.
Les dignités n'ont de grand que le danger que les environne,

62.
DIODORE de Sicile. Mot grec de cet auteur mal traduit, I. 259.
DION, ami et discipline de Platon, III. 345. Il persuade à Denys,
de faire venir Platon à sa cour, 346. Qualités de Dion, 350. I
entreprend de délivrer Syracuse, 351. Mort de Dion, 353. II
manquoit de douceur et d'affabilité, 354. Avis salutaires qu'il
donnoit à Denys, ibid.

DISCIPLINE. Sévérité des Romains pour la discipline militaire,
IV. 104.

DISTRIBUTIONS. Figure de rhétorique; exemples, II. 180.
DIVINITÉ. Les païens ont avoué que la Divinitè avoit présidoit à
la fondation de l'empire romain, III. 363. IV. 98. Le premier
devoir de l'homine regarde la Divinité, IV. 221. et suiv.
DODART, médecin. Son portrait, II. 47.

DOMESTIQUES. Devoirs d'un Principal envers les domestiques de
son collège, IV. 388.

DOMITIUS APER, fameux orateur, Dans quel rang il plaçoit Vir-
gile après Homère, I. 441.

DUBOIS (M.) Idée de la préface que cet académicien avoit mise à
la tête de sa traduction des sermons de S. Augustin, II. 334.
DUEL, inconnu aux Grecs et aux Romains, I. 121.

E

ECHARD. Auteur d'un Abrégé de l'Histoire romaine, I: 72, et
IV. 446.

ECLIPSE. Causes des éclipses de soleil et de lune, IV. 253. et suiv.
ECOLES PUBLIQUES. Si elles sont préférables aux éducations par-
ticulières, IV. 253. et suiv. Ordre et réglemens qui s'obser-
voient dans les écoles des Perses, III. 213. et suiv.

ECOLIERS. Devoir des écoliers envers leurs maîtres, IV. 470.
Portrait d'un écolier parfait, 472. Modèle d'un bon écolier dans
le fils de Quintilien, 479; dans S. Basile et S. Grégoire, 476.
ECRITURE. Beau vers sur l'invention de l'écriture, I. 338.
ECRITURE SAINTE. Elle doit faire la principale étude d'um
prédicateur II. 369. Eloquence de l'Ecriture sainte

2

379. et suiv. Simplicité des écritures mystérieuses, 383.
Simplicité et grandeur des écritures, 385. et suiv. La beauté de
l'Ecriture sainte vient des choses et non des mots, 391. En-
droits sublimes de l'écriture sainte, ibid. Endroits tendres et
touchans, 410. Caractères, 415.

EDUCATION. Excellence de l'éducation de la jeunesse, III. 345.
Mauvaise éducation, source de toutes sortes de vices, 346. Im-
portance de la bonne éducation, IV. 283. Différence entre les
lois et la bonne éducation, 284. et suiv. Combien les anciens

et des magistrats, par rapport à l'éducation, 287. Avis géné-
raux sur l'éducation de la jeunesse, 300. et suiv. Quel but on
doit se proposer dans l'éducation, 301. Avec quel soin on doit
étudier le caractère des enfans, pour travailler avec succès à
leur éducation, 304. V. ENFANS.

EGLISE. L'église est le royaume de Dieu, le terme de tous ses
desseins, III. 186. IV. 178. Elle sera toujours victorieuse, III.
110. Elle survivra à la ruine de tous les royaumes, 181.
EGYPTE. Il y avoit dans ce royaume un tribunal où on jugeoit les
morts, II.49. et III. 10.

ELEGANCE du latin. In quoi elle consiste, I. 322. Expressions élé-
gantes, et délicates, 323. et suiv.

ELEVATION, Ce qui constitue la véritable élévation, III. 30.
ELOCUTION. Elle n'est que le vêtement et la parure du discours,
II. 112. Elle est essentielle pour l'éloquence, 148.

ELOQUENCE, On y parvient, 1.o par la connoissance des précep-
tes, I. 1. 2.o par la lecture des auteurs, 51, 3.o parla com-
position, 9. Eloquence du barreau, 231. Modèles d'éloquence
qu'il convient de se proposer au barreau, 232. Comparaison de
l'éloquence de Démosthène et de Cicéron, 268. Ce qui a fait
dégénérer l'éloquence à Athènes et à Rome, 277. Ce qu'on doit
le plus craindre pour l'éloquence française, 279. Comparaison
de l'éloquence sublime avec un beau bâtiment, 283. Eloquence
qui convient à un rapporteur, 284.

ELOQUENT. Différence entre un homme éloquent et un homme
disert, II. 82. et suiv.

EMILE (Paul.) Il est fait consul et chargé de la guerre con-
tre Persée, IV51. Victoire et triomphe de Paul-Emile: ses bel-
les qualités, 59.

EMULATION. Comment on peut l'entretenir parmi les jeunes gens
II. 16. Bel exemple d'émulation sans jalousie dans Cicéron et
Hortensius, II. 299. et 329. C'est l'émulation qui fait fleurir
les arts et les sciences, II. 293.

ENFANT. A quel âge en peut commencer à les faire étudier, I.
2. A quelle sorte d'étude peur-on les appliquer depuis environ
l'âge de trois ans jusqu'aux six ou sept. 5. Un maître doit
travailler à s'en faire aimer, IV. 311. Quel usage il faut fai-
re des châtimens avec eux, 316. Des réprimandes, 326 et suiv.
On doit parler raison aux enfans, 331 Il faut les accoutumer a
être vrais, 335; les former à la politesse, à la propreté, à l'exac-
titude, 337; leur rendre l'étude aimable, 339; leur accorder
du repos et de la récréation, 344.; les porter au bien par ses
discours et par exemples, 347. Piété et religion des enfans,
350, Comment on élevoit les enfans chez les Perses, III. 212.
et suiv.; à Sparte, 317.Physique des enfans, IV.255. et suiv.
Voyez Education.

EFAMINONDAS. Il se rendit la pauvreté familière, III. 337. Ses
liaisons avec Pélopidas, '338. Il a été considéré comme le pre-
mier homme de la Grèce, 341. Son portrait, 342. Son habi-
leté dans le metier de la guerre, 343.

EPHORES. Leur autorité, III, 297.

EPICTETE, philosophe stoïcien, IV. 222. et suiv. Son maître lui
casse la jambe: avec quel sang-froid il souffre, 223.
EPIGRAMMATUM DELECTUS, Son utilité, 1, 430.

EPITHÈTE, Les poètes s'en servent plus souvent et plus librement
que les orateurs, I. 413. Exemples d'épithètes bien choisies,
414. Combien elles contribuent à la beauté et à la force du dis-
cours, 413.

EQUIPAGE. Les grands équlpages ne contribuent point à la vérita-
ble grandeur: III. 36. et 361.

EQUITÉ des Romains pour entreprendre et déclarer la guerre, IV.

IOI. et suiv.

ERUDITION. L'érudition et la composition doivent se prêter un mu-
tuel secours, IV. 197.

ESCHINE. Extraits de sa harangue contre Ctésiphon, II. 244. ct
suiv. Succès de cette harangue, 258. Exil d'Eschine, et les pre-
mières leçons qu'il donne à Rhodes, ibid. Eloquence d'Eschi-
ne comparée à celle de Démosthène, 260.

ESCLAVES. Les esclaves pouvoient devenir citoyens à Rome, III.
368. Avantage de cette police, ibid.

ESPRIT. Comparaison entre la culture des terres et celle de l'es-
prit, I. 100. L'étude donne à l'esprit de l'élévation et de l'éten-
due >
101.; le rend capable de tout, 1oz. L'esprit seul ne fait
pas la solide gloire des hommes, III. 74.

ETAT. Comparaison d'un Etat avec le corps humain, IV. 132, 154.
EтHOS. Ce que c'est, II. 223. Exemple de l'éthos, 235.

ETIENNE (Robert), imprimeur. Belle économie de sa maisou, IV.
443.

ETRIER. Il n'étoit point en usage chez les anciens, IV. 200.
ETUDE. Elle forme l'esprit, I. 101. Elle doit avoir pour fin de nous
rendre meilleurs, 106. Elle nous fait vivre agréablement avec
nous-mêmes et avec les autres, 107. et suiv. Voyez Esprit.
But qu'on doit se proposer dans l'étude des enfans, V. 302.
Il faut tâcher de li leur rendre aimable, 340 Moyen qu'un prin-
cipal peut employer pour le succès des études dans son collé-
ge: 361. et suiv. Etudes que doivent faire les maîtres, 438.
EVANGILE. C'est la règle sûre et invariable pour juger de toutes
choses, III. 17.

EXEMPLE. Force du bon exemple, IV. 349. et 354.

EXERCICE. Ce qu'on entend par exercice, IV. 406. S'il est à
propos de faire parler latin dans les exercices, 407. Comment il
faut faire les exercices, 409. et suiv. Manière d'interroger à un
exercice, ibid. Matière des excrcices, 410. et suiv.
EXCLAMATIONS Figure de rhétorique, II. 188.

EXORDE. L'exorde d'un discours doit être simple et modeste, II.
60. Exception de cette régle, 62. Bel exemple d'un exorde par
insinuation,-211. et suiv. 72.

EXTEACTION. La noblesse de l'extraction est naturellement res-
pectée, III. 68. Il y a beaucoup de grandeur d'âme à ne pas
oublier la bassesse de son extraction, 72 et suiv.

EZECHIAS, roi de Juda. Il exhorte son peuple à mettre sa confian
ce én Dieu, III. 165. Sa douleur au sujet des blasphêmes de

Rabsacès, 166. Confiance en Dieu; caractère dominant d'Ezéchias, 176.

F

FABIUS MAXIMUs. Il est créé dictateur et chargé de la guerre contre Annibal, IV. 9. Modération et générosité de Fabius envers Minucius, son maître de cavalerie, 10. Fabius rassure les magistrats dans Rome, après la bataille de Cannes, 15. il traverse les desseins de Scipion, 25. Il réunissoit en sa personne les qualités essentielles à un bon général, 70. Examen des raisons de sa conduite à l'égard d'Annibal, 71. Sa jalousie contre Scipion fait une tache à sa réputation, 72.

FABLE. Origine de la Fable, IV. 180. Son utilité, 186.
FABLES DE PHEDRE. Explication de la fable du Loup et de la Gr.e,
I. 298.

FABLES DE LA FONTAINE. On fera apprendre par cœur aux enfans les fables de la Fontaine, en choisissant d'abord les plus courtes et les plus agréables, I. 20.

FAGON. Trait de son éloge par M. de la Fontenelle, 11.50. FALISQUES. Perfidie d'un maître d'école qui enseignoit les enfans des Falisques, I. 292.

FASTE. Parallèle du faste et de la simplicité de plusieurs grands hommes, III 52.

FENELON. Comment il voudroit, qu'on enseignât la religion, II

273. Il préfère Démosthène à Cicéron, et pourquoi, 273. FERMETE des Romains dans leurs résolutions, IV. Icz. et suiv.

et

FERTE (le maréchal de la ). Comment il reçut un mémoire qu'on lui présentoit pour les provisions de son fils, III. 58. FIGURES de rhétorique. Ce que c'est, II. 170. Leur usage. ibid. Figures de mots, 171. et suiv. Figures des pensées, 188. suiv. On doit user sobrement des figures, 203. Il s'en trouve de toutes les espèces dans l'Ecriture sainte, 205. et suiv. FILLES. Leur éducation ne doit par être négligée, I. 28. Necessité et manière de former les mœurs des filles dès la plus tendre enfance, 29. Des études qui peuvent convenir aux jeunes filles, 36. et suiv. Doit-on permettre aux filles d'apprendre la langue latine, ibid. Avantages de l'étude de l'Histoire pour les jeunes Demoiselles, 47. Le travail des mains ne peut que leur faire beaucoup d'honneur, 73. Les soins domestiques et le gougernement intérieur de la maison sont, à proprement parler, la science des femmes, 76.

FLAMINIUS, consul, vaincu par Annibal, IV. 8.

FLAMININUS ( Tit. Quintius ). Il contraint Philippe à demander la paix, IV. 37. Reconnoissance des Grecs envers Flamininus, 39. FLATTERIE. C'est la peste des cours et la ruine des princes, III. 348. FLÉCHIER. Caractère de son éloquence, II. 42. On peut lui appliquer ce que dit Cicéron de Callidius, orateur doux et fleuri, 281.

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