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LENTEUR. Sage lenteur de Roma ns pour en reprendre e déc larer la guerre, IV. 101.

LETTRES. Celles de Cicéron sont un modèle en fait de style épistolaire, II. 89.

Lors. Elles son le fondement des royaumes et des empires, IV. 284. Différence qu'il y a entre les lois e: la bonne éducation, 285.

LOISIR. Il étoit excessif à Sparte, III. 429.

LONGIN. Comment il décrit le sublime, II. 73.

LOUANGE. On doit les souffrir avec peine, [1..83. Usage des louanges dans l'éducat ion des enfans, IV. 332. Les louanges ne sont dues qu'à la vertu et au merite, 435. Prudence et discrétion nécessaires dans les louanges, ibid.

LOUIS XI, maria de ses propres deniers les trois filles du premier président de la Vacquerie, III.21.

LOUIS XIV. Eloge magnifique de ce prince par M. Racine, II. 94. Ses dernières paroles à Louis XV., III. 35. Il recommande la simplicité et la frugalité dans son code militaire, 58. Le siè cle de Louis XIV, a été pour nous ce que fut celui d'Auguste pour les Romains, IV. 195.

LOUVOIS (M. de ) loue et récompense le désintéressement des soldats, III. 27.

LUCULLUS. L'étude lui tint lieu d'expérience dans la guerre, I

104. II substitua la magnificence à la gloire des armes, III. 46 Repas somptueux qu'il donne à Pompée et à Cicéron, ibid. LUXE de la table. Il est porté à l'excès dans home, III. 46. Il ne sauroit procurer une solide gloire, 47. Plusieurs empereurs l'ont méprisé, 42 et 5o. Parallèle du luxe et de la modestie, 51. Le luxe banni de Sparte, 312. Il est la cause de la ruine des tats, 136. LYCURGUE. Son extraction, III, 295. Ses voyages, 296. 11 change le gouvernement de Sparte, 297: etsuiv. Ordonnance de Lycur gue, 372. Moyen qu'il emploie pour les rendre immortelles, 309 Sa mort, ibid. Choses louables dans les lois de Lycurgue, 310. Choses blâmables dans ces mêmes lois, 326. Réflexions sur le vol qu'il avoit permis aux Lacédémoniens, 332. et suiv. LISANDRE prend Âthènes, III, 313.

M

MABILLON (le P. ). Sa modération dans les disputes, III. 77. MAÎTRE. But qu'un maître doit se proposer dans l'éducation des enfans, IV. 301. Ce qu'il doit faire pour y réussir, 305. et suiv. Qualités d'un bon maître, 312. et suiv. Règles qu'il doit suivre dans les châtimens, 320.; dans les réprimandes,326. Un maître doit former ses disciples au bien par ses discours et par ses eemples, 347. Piété, religion et zèle qui conviennent à" inaître pour le salut des enfans 350. Avis très-utiles à un maître chrétien, 340. Etudes que doivent faire les maîtres, 438. MALHERBE. Vers enflés de ce poëte sur la patience de S. Pierre, II. 76.

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MALEBRANCHE. Endroit de M. de Fontenelle qui caractérise les Recherche de la vérité, II.48.

HANDONIUS, frère du roi des Ilergètes, se rend à la suite de Sch pion, IV. 23.

MARCELLE (Sainte). Belle parole de cette sainte, III. 1033 MARINE. Elle étoit interdite aux Lacédémoniens, III. 315. MARIUS. Ses belles qualités, IV. 154. Ses vices, 157. Ses guerres civiles avec Sylla, 169. Sa mort, ibid.

MASCARON. Caractère de son éloquence, II. 45:

MASINISSA, ami et allié des Romains, presse Scipion de passer en
Afrique, IV. 25. Il vient le joindre, 27.

MASSIEUX. Sa remarque sur le bouclier de Scipion, I. 119.
MATHEMATHIQUES. Utilité des mathématiques, IV, 238.
MATIÈRE. Divisible de la matière, IV. 249.

MECENE. Avec quelle liberté il parloit à Auguste, II. 142. L'avis qu'il donna à ce prince, lorsqu'il voulut se démettre de la souveraine autorité, IV. 176.

MELANIE (Ste.) Son humilité, III. 103. Son voyage à Nole pour visiter St.Paulin, 104.

MEMOIRE ( la). Ce que c'est, I. 347. Nécessité et manière de la cultiver, 348. Ce que pense Quintilien sur la mémoire artificielle, 351. Usage qu'en faisoit un curé de Languedoc, ibid. Comment on peut surmonter la dificulté naturelle de la mémoire des enfans, 353. et suiv. Réflexions sur le choix et le discernement dont on doit user en cultivant la mémoire 358. MENÉCRATE, médecin. Sa vanité, III. 75.

MENSONGE. Précaution dont il faut user en le punissant dans les enfans, IV. 322. Il faut leur donner une grande horreur de ce vice, 335.

MÈRES. Le soin de l'éducation de leurs enfans roule principalement sur elle. I. 16. et 34.

MESMES (Henri de ). Mémoires dans lesquels il rend compte de ses études, I. 248. Il refuse la charge d'avocat-général que le roi vouloit lui donner, et pourquoi, III. 94.

MESSIE. L'attente du Messie, caractère spécial du peuple de Dien III. 111.

MESURES, de temps, IV. 211.; itinéraires, ibid. des monnoies,

212.

METAPHORE. Sa nature, II. 171 Comment on peut en faire sentir la force et la beauté, 178. On ne doit point, dans la métaphore, passer d'une image à une autre, 174. Belles métaphores, tirées de l'Ecriture sainte, 400. et suiv.

MILAN. Désintéressement admirable du portier d'un maître de pen sion de cette ville, III. 26.

MILTON. Jugement sur son Paradis perdu, I. 389.

MINUCIUS, général de la cavalerie, essaye de décrier la conduite de Fabius, IV. 10. et suiv. Il reconnoît sa faute et la répare, 11. MIRACLES. Ils sont la première preuve de la certitude de la révélation divine, III. 112. Caractè: e des miracles, ibid.

MODERATION réciproque dn sénat et du peuple romain dans les disputés III. 398.; des Romains dans la victoi: e, Vl. 107 MOEURS. Soin de former les mo urs, I. 407. Comment en doit les for mer,111. Attention des païens sur ce point, 111, 125.

1

Moïse. Son cantique après le passage de la mer Rouge II. 421. Expliqué par M. Hersan, selon les règles de la rhétorique, 428.

MOLE ( premier président) arrête, par sa présence, une populace mutinée, III. 93.

MONGAULT (M. l'Abbé). Traduction de deux lettres de Cicéron à Atticus, I. 217. et suiv.

MONNOIE. Celle que Lycurgue introduisit, III. 298. Monnoies anciennes, IV.. 212; grecques, 213. ; romaines, ibid.

MONTAUSIER (Mad. de). Avec quelle constance elle souffrit sa longue maladie, II. 37.

MORT. Les païens croyoient que les vices étoient punis, et les vertus récompensées après la mort, I. 506.

MOTS. Il faut en remarquer la propriété dans les auteurs, I. 317. Combien le choix des mots donne des grâces aux pensées, II. 147. L'habitude rend ce choix facile, 151. L'arrangement des mots. plaît, et pourquoi, 157. Gradation de mots, où les expressions vont toujours en augmentant, t,167.

N

NARRATION. Si l'on doit faire entrer les grands mouvemens dans la narration, II. 218. Exemples de narration: du supplice de Gavius, 219; de l'aventure de Canius, 63. et suiv. du combat des Horaces et des Curiaces, 113.

NATURE. Elle plaît en tout, et doit régner surtout dans les ouvrages d'esprit, II. 91. La nature est perfectionnée par les préceptes dans l'éloquence, 1.

NEPTUNE. La rapidité de sa marche décrite par Homère, I. 445. Traduction de cet endroit par Boileau, ibid.

NERON. Comment, par son mauvais goût, il gâta une belle statne de Lisyppe, Il. 68.

NEWTON. Comment on a célébré ses obséques en Angleterre, IV.

209.

NICOLE. Ses Essais de morale conviennent au cours de philosophie, I. 182. Jugement de cet auteur sur Sénèque, II. 145. NIGER, empereur d'Orient, refuse le panégyriqué qu'on avoit fait à sa louange, IlI. 83.

NOBLESSE. La noblesse est naturellement respectée, III. 68. La véritable source de la noblesse est le mérite de la vertu, 70. La noblesse de la naissance est au-dessous de celle qui vient du mérite ; 71.

NOMBRE. En quci consiste le nombre et l'harmonie du discours, II. 160. Ciceron est le modèle du style nombreux et périodique, 161. Dans quels endroits le nombre doit principalement se faire sentir, 162. Périodes nombreuses de Cicéron, 164. NUMA POMPILIUS. Avec quelle répugnance il accepte la royauté, III. 61. et 376. Son portrait, 378. Il inspire aux Romains l'amour de l'agriculture, ibid. 11 adoucit leurs mœurs 382. Son règue tranquille et pacifique, 383. Il s'applique à donner à la reli gion du lustre et de la majesté, 385. Observations sur la sagesse de ses lois, 384.

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OBÉIR. La science d'obéir et de commander est la plus belle de toutes, III. 319.

OCHLOCRATIE. Ce que c'est, IV. 136

OCTAVE. I hérite des biens et du nom de César, IV. 165.

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Comment il gagne Cicéron. 166. Il est obsédé par les flatteurs 168. Il se ligue avec Lépide et Antoine, 174. Il consent à la pros→ cription de Cicéron, ibid. Portrait abrégé de son gouvernement 176. et suiv.

ODE. Pourquoi le début sublime convient à l'ode, H. 62. OISEAUX. Leur industrie merveilleuse, IV. 266. Diversité de leur pluinage, de leur chant et de leurs inclinations, 267. et suiv. OLIGARCHIE. Ce que c'est, IV. 135.

ORNEMENS. Dans quels discours on peut les étaler, II. 79. et suiv. Il faut les varier, 83. Différence des ornemens vrais et naturels d'avec ceux qui sont faux ou étrangers, 86. L'orateur chrétien ne doit ni les trop rechercher, ni les trop négliger, 335 et

suiv. ORPHÉE. Son retour des enfers décrit par Virgile, I. 417. Sa mort, 420. Le même sujet rendu par Ovide, ibid.

ORTOGRAPHE. Diverses remarques sur le soin qu'on doit prendre de la cultiver, et sur les règles qu'on y doit suivre, I. 174. OSSAT (Arnaud d'), cardinal. Son adresse dans les négociations, III. 42. Sa modestie et son abstinence, ibid. Il reçoit le chapeau de Cardinal pour récompense de son mérite, 71

OSTRACISME. Ce que c'étoit, III. 286. Ce que l'on doit penser de cette sorte de jugement, 289.

OVIDE. Utilité qu'on peut retirer de la lecture de ce poëte dans les classes, I. 429.

OUVRAGES D'ESPRIT. Principes pour en juger sainement, I. 434.

PACUVIUS. Voy. PÉROLLA.

P

PAIENS. Leur délicatesse dans la lecture des poètes, I. 374. PALLAVICIN. Mot de ce cardinal au sujet des ouvrages de Séné que, II. 145.

PANTHÉE, femme d'Abradate, III. 227.

L

PAPEBROCH, jésuite. Sa modération dans la dispute, III. 77. PARALLELE de M. de Turenne et du cardinal de Bouillon, II. 37. PARENS, (père et mère ). Du devoir des parens par rapport à l'éducation de leurs enfans, IV. 451. et suiva

PARRHASIUS, peintre célèbre, III. 294.

PARTICULES. Leur usage, I. 328.

PASCAL. Extrait de ses pensées sur la connoissance de l'homine, IV.

249. PASSAGES OBSCURS. Comment on doit des éclaircir, IL 331.et suiv. PASSIONS dans le discours: leur nature, f. 215. Comment on peut les exciter, 216. Quelle est proprement leur place 218. Sentimens qui ne consistent que dans un seul trait, ou dans un seul mot, 222. Passions douces. Voy. Ethos.: PATIENCE, jusqu'où les jeunes Lacédémoniens la portoient,

304

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PATRIE. Effet que produisit dans l'esprit des Romains l'amour de la patrie, IV. 292.

PATROCLE. Douleur des chevaux d'Achille à la mort de Patrocle, I. 447. Comment Antolique annonce cette mort à Achille, 463.

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PAUL (S.). Quelle étoit l'éloquence de cet Apôtre, II. 345. PAUL (L. Emilius ), consul, IV. 12. Il est blessé à mort à la ha taillede Cannes, 14.

PAUL-¡ MILE, Vainqueur de Persée. Soin qu'il prenoit de l'éducation de ses enfans, I. 105. Son bon goût à ordonner une fête. 154. Discours de ce Romain qui peuvent apprendre à un prince comment il doit soutenir sa mauvaise fortune, IV. 66. et suiv. PAUSANIAS, roi de Lacédémone. Il commande l'armée des Grecs à la journée de Platée, III. 254. Deux traits particuliers de son équité et de sa modération, ibid. et suiv. Son orgueil rend le gouvernement des Lacédémoniens odieux à tons les alliés,

255.

PAUVRETE. La pauvreté estimée et récompensée, III. 21. On ne doit pas regarder comme méprisables ceux qui mènent une vie pauvre, 52. et suiv. Sentimens d'Aristide sur les richesses et la pauvreté, 259.

PÉCHE ORIGINEL. Lumière des païens sur le péché originel, I.

133. et suiv.

PEDARÈTE. Sentimens nobles de ce Lacédémonien, III. 306. PÉLETIER (M. le ), contrôleur général des finances. Son désin、 téressement, III. 96.

PELOPIDAS. Parallèlle de ce Thébain avec Epaminondas, III. 337. Services importans qu'il rendit à sa patrie, 339. et suiv. Sa mort, 341.

PENSÉES. Elles sont comme le corps du discours, II. 112. En quoi consiste la justesse des pensées, 121. Comment on relève une pensée commune, 123. Pensées nobles, 124. Pensées agréables, 126. et suiv. Pensées délicates, 129. Pensées brillantes, 133, Usage légitime qu'on doit faire des pensées brillantes, ibid. Elles dominent dans les ouvrages de Sénèque, 235. Jugement de M. Nicole sur Sénèque, qui renferme d'excellentes règles sur les pensées. 145.

PERES et MÈRES. Comment Homère apprend à les respecter, I, 478. Voy. Parens.

PERES de l'Eglise. Combien les prédicateurs doivent les étudier II. 369. Extrait des Pères, 350. et suiv.

PERICLES. Son éducation et son caractère, III. 263. Son adresse à manier les esprits 264. Son autorité dans Athènes, d'où elle venoit principalement, 266. et suiv. Aussi grand capitaine que bon politique, 268. Il embellit la ville d'Athènes, par un grand nombre de beaux ouvrages, 270. Son mérite excite la jalousie contre lui, 271. Réflexions sur le caractère et sur, la conduite de Périclès, 276. Son administration a été blâmée par Platon, I, 110. Il ne parloit jamais au peuple qu'il ne s'y fût beaucoup preparé, II. 351.

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