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DES
ENTRETIENS
I. NTRETIEN.
De l'ame,
E& qu'elle eft diftinguée du corps.
De la nature des idées. Que le monde
où nos corps habitent, & que nous regar-
dons, eft bien different de celuy que nous
voyons. Pag. I
II. ENTRETIEN. De l'exiften-
ce de Dieu. Que nous pouvons voir en luy
toutes chofes, & que rien de finy ne peut
le reprefenter. Deforte qu'il fuffit de
penfer à luy pour favoir qu'il eft.
36
ENTRETIEN. De la diffe-
rence qu'il y a entre nos fentimens & nos
idées. Qu'il ne faut juger des chofes que
par les idées qui les reprefentent, & nulle-
ment par les fentimens dont on eft touché
en leur prefence ou à leur occafion.
ENTRETIEN. En general
de la nature & des proprieter des fens. De
la fageffe des loix de l'union de l'ame &
du corps. Cette union changée en de-
pendance par le peché du premier hom-
IV.
6r
me.
104
V.
1
V. ENTRETIEN. De l'usage des
fens dans les fciences. Il y a dans nos fen-
timens idée claire, & fentiment confus.
L'idée n'appartient point au fentiment.
C'eft l'idée qui éclaire l'efprit, & le fenti-
ment qui l'applique & le rend attentif :
car c'est par le fentiment que l'idée intel-
ligible devient fenfible.
VI. ENTRETIEN.
145
Preuves de
l'existence des corps tirées de la révela-
tion. Deux fortes de revelations. D'où
vient que les révelations naturelles des
fentimens nous font une occafion d'erreur.
182
VII. ENTRETIEN. De l'inef-
ficace des caufes naturelles, ou de l'im-
puiffance des creatures. Que nous ne fom-
mes unis immediatement & directement
qu'à Dieu feul.
VIII. ENTRETIEN.
& de fes attributs.
214
De Dien
262
IX. ENTRETIEN. Que Dieu a-
git toûjours felon ce qu'il eft. Qu'il a tout
fait pour fa gloire en Jesus-Chrift, &
qu'il n'a point formé fes deffeins fans avoir
égard aux voyes de les executer. 311
X. ENTRETIEN. De la magni-
ficence de Dieu dans la grandeur & le
nombre indefiny de fes differens ouvrages.
De
358
Continua-
De la fimplicité & de la fecondité des
voyes par lesquelles il les conferve & les
développe. De la Providence de Dieu dans
la premiere impreffion du mouvement qu'il
communique à la matiere. Que ce pre-
mier pas de fa conduite, qui n'eft point dé-
terminé par des loix generales, eft reglé
par une fageffe infinie.
XI. ENTRETIEN.
tion du même fujet. De la Providence
generale dans l'arrangement des corps ; &
dans les combinaisons infiniment infinies
du phyfic avec le moral, du naturel a-
vec le furnaturel. 407
XII. ENTRETIEN. De la Pro-
vidence divine dans les loix de l'union de
l'ame & du corps, & que Dieu nous unit
par elles à tous fes ouvrages. Des loix de
Tunion de l'efprit avec la Raifon. C'est
par ces deux fortes de loix que fe for-
ment les Societez. Comment Dieu par les
Anges diftribue aux hommes les biens
temporels, & par Jesus-Chrift la grace
interieure & toutes fortes de biens. De la
Igeneralité de la Providence.
XIII. ENTRETIEN.
faut point critiquer la maniere ordinaire
de parler de la Providence. Quelles font
Les principales loix generales par lesquelles
456
Qu'il ne
Dieu gouverne le monde. De la Provi-
dence de Dieu dans l'infaillibilité qu'il
conferve à fon Eglife.
511
XIV. ENTRETIEN. Continua-
tion du même fujet. L'incomprehenfibilité
de nos myfteres eft une preuve démonftra-
tive de leur verité. Maniere d'éclaircir les
dogmes de la foy. De l'Incarnation de
Jesus-Chrift. Preuve de fa Divinité con-
tre les Seciniens. Nulle creature, les An-
ges mêmes ne peuvent adorer Dieu que par
luy. Comment la foy en Jafus-Chrift nous
rend agreables à Dieu.
561
L
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