Johannes von Müller sämmtliche Werke, Zväzok 14

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In der J.G. Cotta'schen Buchhandlung, 1812
 

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Strana 60 - Full little knowest thou that hast not tried, What hell it is, in suing long to bide: To lose good days, that might be better spent; To waste long nights in pensive discontent; To speed today, to be put back tomorrow; To feed on hope, to pine with fear and sorrow; To have thy prince's grace, yet want her peers...
Strana 154 - Frédéric, je ne t'oublierai jamais tel, que je te vis dans ce moment divin ; dusse- je vivre cent ans et ne te revoir jamais, je me souviendrai toujours, que j'ai vu César et Alexandre! Je suis amoureux du roi. J'ai les yeux baignés de larmes en t'écrivant ce que tu vins de lire. De quoi ne parloit-il pas? de Tell, de la Valteline, des glaciers, de la population de la Suisse, du luxe, de Genève, de Rousseau, de l'empereur, de M.
Strana 155 - J'irai demain voir le husard de la chambre, je le supplierai de me faire revoir le roi, s'il est possible, pour un instant. Je ne sais ce que je vais faisant. Je voudrois me coucher , et je ne pourrai pas dormir. Je crains de voir d'autre homme après celui- ci.
Strana 245 - Paroissons, les bras entrelacés, aux yeux de tous les peu. pies, qui ne lisent pas dans ma langue, tels que les Allemands ont aimé de nous voir paroître ensemble à la tête de l'original! Je ne vous recommande, que la plus grande simplicité) et d'éviter, autant que vous pouvez, les termes abstraits: figurez -vous, que vous écrivez, comme on auroit écrit du tems des événemens, et que c'est moins pour des académiciens, que pou» les peuples: caí les académies périront, et non les peuples.
Strana 153 - Vous pas avec moi ! Vous ne m'auriez point vu redouter sa venue; je me disois seulement: tu vas maintenant voir celui, dont, si tu en es digne, tu entrelaceras un jour le nom avec le tien , comme Arrien passe avec Alexandre, et Voltaire avec le grand Henri dans la postérité reculée. Je m'occupois de ces pensées, j'attendois avidement l'instant du bonheur, dont je repaissois mon imagination, quand le husard vint m'avertir. J'entre. J'entendis une voix: „Ah, Mr. M., je suis bien aise de Vous...
Strana 60 - To fret thy soule with crosses and with cares ; To eate thy heart through comfortlesse dispaires ; To fawne, to crowche, to waite, to ride, to ronne, To spend, to give, to want, to be undonne.
Strana 257 - ... celles, que les sens nous fournissent, et que ceux-ci ne nous représentent, que le monde matériel, comment l'idée d'un esprit est -elle entrée dans la tête de tous les peuples,? Ce Platon est un grand maître de l'art de dialoguer. Chacun a son caractère et le soutient : rien de plus charmant, que le imier dialogue d'Alcibiade; je l'appellerais presque le plus beau morceau de la langue. Il a de plus une subtilité d'esprit, une finesse, qui exige une très -grande attention. J'ai lu tous...
Strana 153 - ... disois, le roi leva la tête, sa physiognomic fut comme celle du dieu de Cithère : Bonstetten, je n'ai jamais vu de vieillard plus jeune, jamais des yeux plus vifs, des traits plus fins, un visage plus doux.
Strana 405 - Etats jusqu' à l'époque, où ils ont pris une assiette fixe; et ce sera le destin des arrière - neveux de revenir, après des combats et des dévastations innombrables, au point où il eût été si aisé de se tenir aujourd'hui. Ce que je déplore, c'est que cette révolution n'est rien moins que favorable aux sciences morales ; toutes celles qui furent employées pour le soutien et l'explication de la religion, toutes celles qui...
Strana 279 - Je suis poursuivi par une tristesse involontaire, qui me fait ardemment souhaiter la fin de ma vie. Toutes les étourderies de ma jeunesse viennent se présenter à mon esprit, pour l'accabler, et pour déchirer mon coeur.

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