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TABLE.

X. ENTRETIEN. De la magnificence de Dieu dans la grandeur & le nombre indefini de fes differens ouvrages. De la fimplicité & de la fecondité des voyes par lesquelles il les conferve & les dé velope. De la Providence de Dieu dans la premiere impression du mouvement qu'il communique à la matiere. Que ce premier pas de fa conduite, qui n'eft point déterminé par des loix generales, eft reglė par une fageffe infinie, page I XI. ENTRETIEN. Continuation du même fujet. De la Providence generale dans L'arrangement des corps, & dans les combinaisons infiniment infinies du phyfic avec le moral, du naturel avec le furnaturel, XII. ENTRETIEN. De la Providence divine dans les loix de l'union de l'ame &

que

Ι

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du corps, & Dieu nous unit par elles à tous fes ouvrages. Des loix de l'union de l'efprit avec la Raifon. C'est par ces deux fortes de loix que fe forment les focierez: Comment Dieu par les Anges diftribuë aux hommes les biens temporels, & Tome II.

á ij

par

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Fefus-Chrift la grace interieure & toutes fortes de biens. De la generalité de la Providence, XIII. ENTRETIEN. Qu'il ne faut point critiquer la maniere ordinaire de parler de la Providence. Quelles font les principales loix generales par lesquelles Dieu gouverne le monde. De la Providence de Dieu dans l'infaillibilité qu'il conferve à fon Eglife, XIV. EBTRETIEN.

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Continuation du même fujet. L'incomprehenfibilité de nos Myfteres est une preuve certaine de leur verité. Maniere d'éclaircir les dogmes de la Foi. De l'Incarnation de Jefus-Christ. Preuve de fa Divinité contre les Sociniens. Nulle creature, les Anges mêmes, ne peuvent adorer Dieu que par lui. Comment la foi en Fefus-Chrift nous rend agreables

à Dieu.

1. ENTRETIEN SUR LA MORT,

II. ENTRETIEN SUR LA MORT,
III. ENTRETIEN SUR LA MORT,

Fautes à corriger.

219

267

318

379

Page 17. lig. 26. ôtez auffi. 1. 27. lifez auffi l'unité.

P. 267. 1. 7. lifez étroite.

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P. 343. 1. 22. lifez n'auroient,

ENTRETIENS

ENTRETIENS

SUR LA

METAPHYSIQUE.

X. ENTRETIEN. De la magnificence de Dieu dans la grandeur & le nombre indefini de fes differens ouvrages. De la fimplicité de la fecondité des voyes par lesquelles il les conferve & les dévelope. De la Providence de Dieu dans la premiere impreffion du mouvement qu'il communique à la matiere. Que ce premier pas de fa conduite, qui n'eft point déterminé par des loix generales, est reglé par une Sageffe infinie.

HEOTIME. Que penfez

T vous, Arifte, de ces principes generaux qu'hier Theodore nous proposa ? Les

avez-vous toûjours fuivis

Leur ge

Tome II,

A

neralité, leur fublimité ne vous a-t'elle ni rebuté ni fatigué ? Pour moi, je vous l'avoue à ma confufion, j'ai voulu les fuivre: mais ils m'échappoient comme des phantômes, de forte que je me fuis donné bien de la peine affez inutilement.

ARISTE. Quand un principe n'a rien qui touche les fens, il eft bien difficile de le fuivre, & de le faifir: ce qu'on embraffe n'a point de corps, quel moyen de le retenir ?

THEO TIME. On prend cela tout naturellement pour un phantôme. Car l'efprit venant à fe diftraire, le principe s'éclipfe, & on eft tout furpris qu'on ne tient rien. On le reprend ce principe; mais il s'échappe de nouveau, Et quoi qu'il ne s'échappe que lors qu'on ferme les yeux, comme on les ferme fouvent fans s'en appercevoir, on croit que c'eft le principe qui s'évanouit, Voilà pourquoi on le regarde comme un phantôme qui nous fait illufion.

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ARISTE. Il eft vrai, Theotime; c'eft je croi pour cela que les principes generaux ont quelque reffemblance avec les chimeres, & que le commun des hommes, qui n'eft pas fait au travail

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