William Cowper: sa correspondance et ses poésiesSandoz & Fischbacher, 1874 - 437 strán (strany) |
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... un fossoyeur qui travaillait à la lueur d'une lanterne . Un crâne humain jaillit sous la pioche , et vient frapper à la jambe Cowper , qui s'en va la conscience alarmée , mais remplie , disait - il , d'un des meilleurs enseigne- ments qu ...
... un fossoyeur qui travaillait à la lueur d'une lanterne . Un crâne humain jaillit sous la pioche , et vient frapper à la jambe Cowper , qui s'en va la conscience alarmée , mais remplie , disait - il , d'un des meilleurs enseigne- ments qu ...
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sa correspondance et ses poésies Léon Boucher. d'un chrétien qui sentait qu'il avait mal dépensé les plus belles années de sa jeunesse . Il est des gens trop sévères , comme il en est de trop indul- gents pour leurs fautes . Cowper était ...
sa correspondance et ses poésies Léon Boucher. d'un chrétien qui sentait qu'il avait mal dépensé les plus belles années de sa jeunesse . Il est des gens trop sévères , comme il en est de trop indul- gents pour leurs fautes . Cowper était ...
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... qu'elle l'éloigna d'un monde qui valait moins que lui . Toutefois , si l'emploi de son temps ne fut pas ce qu'il aurait pu être , il ne faudrait pas croire que ces onze années furent en- tièrement perdues pour le futur poète . D'abord ...
... qu'elle l'éloigna d'un monde qui valait moins que lui . Toutefois , si l'emploi de son temps ne fut pas ce qu'il aurait pu être , il ne faudrait pas croire que ces onze années furent en- tièrement perdues pour le futur poète . D'abord ...
Strana 22
... qu'un esprit torturé . Je n'y attendais au- cun secours de personne , tous les commis subal- ternes subissant l'influence de mon concurrent , et naturellement je n'en recevais aucun . On m'ou- vrait bien , il est vrai , ce qu'on n ...
... qu'un esprit torturé . Je n'y attendais au- cun secours de personne , tous les commis subal- ternes subissant l'influence de mon concurrent , et naturellement je n'en recevais aucun . On m'ou- vrait bien , il est vrai , ce qu'on n ...
Strana 28
... un asile con- fortable qu'un changement de religion me procu- rerait facilement . Cet expédient ne me plut pas médiocrement , et j'étais rentré chez moi pour faire le peu de paquets que comportait une réso- lution si prompte , lorsque ...
... un asile con- fortable qu'un changement de religion me procu- rerait facilement . Cet expédient ne me plut pas médiocrement , et j'étais rentré chez moi pour faire le peu de paquets que comportait une réso- lution si prompte , lorsque ...
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Strana 247 - He looks abroad into the varied field Of nature, and, though poor perhaps, compared With those whose mansions glitter in his sight, Calls the delightful scenery all his own. His are the mountains, and the valleys his, And the resplendent rivers. His to enjoy With a propriety that none can feel, But who, with filial confidence inspired, Can lift to heaven an unpresumptuous eye, And smiling say — " My Father made them all 1
Strana 167 - Said Gilpin — So am I ! But yet his horse was not a whit Inclined to tarry there ; For why? — his owner had a house Full ten miles off, at Ware. So like an arrow swift he flew, Shot by an archer strong ; So did he fly — which brings me to The middle of my song. Away went Gilpin out of breath, And sore against his will, Till at his friend the calender's His horse at last stood still.
Strana 5 - Say, wast thou conscious of the tears I shed ? Hover'd thy spirit o'er thy sorrowing son, Wretch even then, life's journey just begun? Perhaps thou gav'st me, though unfelt, a kiss, Perhaps a tear, if souls can weep in bliss — Ah, that maternal smile ! it answers — Yes.
Strana 172 - But not performing what he meant, And gladly would have done, The frighted steed he frighted more, And made him faster run. Away went Gilpin, and away Went post-boy at his heels, The post-boy's horse right glad to miss The lumbering of the wheels.
Strana 209 - As human nature's broadest, foulest blot, Chains him, and tasks him, and exacts his sweat With stripes, that mercy, with a bleeding heart, Weeps when she sees inflicted on a beast. Then what is man ? And what man, seeing this, And having human feelings, does not blush And hang his head, to think himself a man...
Strana 160 - For saddletree scarce reached had he, His journey to begin, When, turning round his head, he saw Three customers come in. So down he came ; for loss of time, Although it grieved him sore, Yet loss of pence, full well he knew, Would trouble him much more.
Strana 159 - He soon replied, I do admire Of womankind but one, And you are she, my dearest dear, Therefore it shall be done. I am a linendraper bold, As all the world doth know, And my good friend the calender Will lend his horse to go.
Strana 165 - Twas wonderful to view, How in a trice the turnpike men Their gates wide open threw.
Strana 215 - Nor less composure' waits upon the roar Of distant floods, or on the softer voice Of neighb'ring fountain, or of rills that slip Through the cleft rock, and, chiming as they fall Upon loose pebbles, lose themselves at length In matted grass, that with a, livelier green Betrays the secret of their silent course.
Strana 210 - Slaves cannot breathe in England ; if their lungs Receive our air, that moment they are free ; They touch our country, and their shackles fall.