Oeuvres complètes de H. de Balzac, Zväzok 18Alexandre Houssiaux, 1855 |
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... regard de voleur évaluant un trésor , ce geste de prévenu qui se dit : « j'ai » mes armes , » > m'ont fait comprendre un monde de choses . Il n'y a que vous autres femmes qui puissiez , comme nous et les préve- nus , lancer , dans une ...
... regard de voleur évaluant un trésor , ce geste de prévenu qui se dit : « j'ai » mes armes , » > m'ont fait comprendre un monde de choses . Il n'y a que vous autres femmes qui puissiez , comme nous et les préve- nus , lancer , dans une ...
Strana 15
... regard , d'une rougeur de Lucien devant ce Camusot , qui voit tout , qui ne manque pas de la finesse des juges ! car nous avons échangé , lorsqu'il m'a montré les lettres , un regard par lequel nous nous sommes sondés mutuellement , et ...
... regard , d'une rougeur de Lucien devant ce Camusot , qui voit tout , qui ne manque pas de la finesse des juges ! car nous avons échangé , lorsqu'il m'a montré les lettres , un regard par lequel nous nous sommes sondés mutuellement , et ...
Strana 17
... regard brûlant , comme l'éclair de la foudre quand elle tombe ; puis il s'affaissa sur son lit de camp en disant --Oh ! mon fils ! ... - Pauvre homme ! s'écria le médecin ému de ce terrible effort de la nature . En effet , cette ...
... regard brûlant , comme l'éclair de la foudre quand elle tombe ; puis il s'affaissa sur son lit de camp en disant --Oh ! mon fils ! ... - Pauvre homme ! s'écria le médecin ému de ce terrible effort de la nature . En effet , cette ...
Strana 22
... regard de mère à qui l'on ar- rache le corps de son fils , Jacques Collin s'affaissa sur lui - même . En regardant prendre le corps de Lucien , il laissa échapper un gé- missement qui fit hâter les porteurs . Le secrétaire du procureur ...
... regard de mère à qui l'on ar- rache le corps de son fils , Jacques Collin s'affaissa sur lui - même . En regardant prendre le corps de Lucien , il laissa échapper un gé- missement qui fit hâter les porteurs . Le secrétaire du procureur ...
Strana 39
... regard distrait que jette l'homme abîmé dans le désespoir sur tout ce qui l'entoure . - Ma foi oui , c'est Trompe - la - Mort , dit en se frottant les mains le Biffon . Oh ! c'est sa taille , sa carrure ; mais qu'a - t - il fait ? il ne ...
... regard distrait que jette l'homme abîmé dans le désespoir sur tout ce qui l'entoure . - Ma foi oui , c'est Trompe - la - Mort , dit en se frottant les mains le Biffon . Oh ! c'est sa taille , sa carrure ; mais qu'a - t - il fait ? il ne ...
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Oeuvres completes de H. de Balzac: Scenes de la vie parisienne, Zväzok 18 Honoré : de Balzac Úplné zobrazenie - 1855 |
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Adolphe affaire Aigues allez assez avez bagne belle Bibi-Lupin Blangy Blondet bois Bonnébault bourgeois Camusot Caroline cent Cerneux cher cheval chose comtesse Conches Conciergerie Corentin coup Courtecuisse curé dame demanda Dieu dire dit-il enfant Enfin êtes femme de chambre Fil-de-Soie fille forçat fortune Foullepointe garde Gaubertin gens glanage Godain Godefroid Gourdon Grand-I-Vert Grandlieu Halpersohn haute pègre heures j'ai Jacques Collin jeune homme jolie jours justice l'abbé Brossette laisser loutre Lucien Lupin madame de Fischtaminel madame Soudry mademoiselle Laguerre maire maison mari matin médecin ment mille monsieur Bernard monsieur de Grandville monsieur Gault monsieur le comte Montcornet Niseron passer pauvre paysans Péchina père Fourchon petit petite misère porte Pouraille procureur général regard régisseur répondit reprit reste rien Rigou Ronquerolles rue Chanoinesse s'écria sais Sarcus sera Sérizy seul Sibilet Socquard sorte Soulanges Tivoli Tonsard Trompe-la-Mort trouve Vatel Vaudoyer Vauthier Vermichel vieillard Ville-aux-Fayes vin cuit voilà voulait