attribuée à Hermès, III, 6.—D'un Dieu unique, père des dieux, 44. De l'autorité générale comme règle de vérité, 160, 161.

Que

la philosophie est fausse parce qu'elle rejette la tradition, 234. Des sibylles chez les Romains, 346.

LAO-TSEU.

- Monuments de la philosophie chinoise, III, 67. LÉGISLATION, LÉGISLATEURS. · Lien de la législation et de la morale, I, Ils ont 29. Les législateurs ont-ils inventé la Religion? 66, 67.

sanctionné les lois par la Religion, 68. - Ont-ils inventé la morale?

70.

Toutes les législations qui excluent Dieu consacrent le règne de la force, 290, 291. Le christianisme abolit la barbarie des législations antiques, 337, 338.

=

LEIBNITZ. Que l'idolâtrie n'avoit aucun caractère de religion, II, 363. Il fait dépendre la foi de la volonté, III, 261. Son opinion sur le cartésianisme, IV, 194. - Prétend Il en attaque la base, 194. que la certitude de toute vérité dépend de la certitude de l'existence de Dieu, 195. Doute où il est conduit en cherchant la vérité par le raisonnement, 196, 197. - Il est conduit au scepticisme absolu, 229, 230.

LELAND. De la tradition de l'immortalité de l'âme, III, 92.- De la transmission de la loi primitive révélée, 208.- Des sophistes grecs qui rejetoient la tradition, 233.

LIBÉRATEUR. Voy. MÉDIATEUR.

LIBERTÉ. Liberté de l'homme, sa définition, I, 16. .

LINUS.
LOGIQUE.

D'un Dieu unique, III, 25; tout-puissant, 33.

selon' les

Les lois

- La logique n'est que la théorie de la foi, II, 149. Lot, Lois. Les lois sont l'unique garantie contre l'erreur protestants anglais, lord Shaftsbury et Hobbes, I, 57. Les lois doivent être mises au-dessus de la loi évangélique, 191. l'expression des rapports publics entre les êtres sociaux, 264. — La loi doit dériver de l'autorité et non de la volonté générale, 286, 287. Le règne de la loi chez les anciens, résultat de la force ou de la La loi devient avec le christianisme volonté générale, 288-291.

l'expression de l'ordre voulu de Dieu, 290.

Barbarie des lois païennes, 289. Les lois de la religion se modifient selon la nature des êtres, 220. La loi de la nature est le consentement commun. Voy. ce mot, II. La loi la meilleure est celle que proclame la plus

Lor PRIMITIVE. - Voy. RÉVÉLATION et RELIGION.

Rien n'est comparable à l'espèce de ligue qui se forma

sous Louis XIV, entre les hommes du plus haut génie et de la plus pure vertu, pour conquérir la vérité, IV, 192.

LUCAIN.

D'un Dieu unique, père des dieux, III, 44. Idée absolue de Dieu, 46.

LUCIEN. - Origine de l'idolâtrie chez les Égyptiens, II, 322.

Tradition d'un Dieu vengeur et rémunérateur, III, 17, 18.- Il oppose à un athée le consentement commun pour attester l'existence de Dieu, 168.. LUTHER. Il commença par reconnoître l'autorité de l'Église, I, 142. - Il met sa volonté au-dessus de la raison, 162.

lygamie, 191.

MACHIAVEL.
MACROBE.

MAHOMET.

Déteste les incrédules (citations), I, 305.

De l'idolâtrie, III, 81.

Autorisa la po

- Caractère divin de sa religion, selon les déistes anglois, I,

92. Est un envoyé de Dieu, selon Rousseau, 87, 93. Témoi

gne du don de prophétie, III, 386.

IV, 39. MAIMONIDE.

De l'idolâtrie, II, 315, 316.

Des miracles de Jésus-Christ,

MAISTRE (DE). De l'expiation par le sang, III, 145.

MALEBRANCHE. Il considère l'homme isolé à l'exemple de Descartes, IV, 183. Il prétend que tout a sa raison en Dieu, 184; que la certitude de nos idées dépend de la certitude de l'existence de Dieu, 185; qu'en cherchant la vérité en soi, on n'arrive à rien de certain, 186. Qu'il faut connoître Dieu pour être certain de la vérité de nos jugements, et que jusque-là nous ne saurions rien affirmer par nous-mêmes, pas même notre existence, 186, 187. Des hérétiques et du danger de soumettre la religion et la vérité à la foiblesse de la raison humaine, 187-190. Que l'évidence ou la raison individuelle, comme règle des jugements, conduit au scepticisme absolu, 229. Des objections de la critique, 297.

MANICHÉISME. - Traces du manichéisme, II, 329. citation de Bausobre, 339, 340.

MANITOUS. Culte des esprits en Amérique, II, 334.

MARC AURÈLE ANTONIN.

-

Du manichéisme,

Réflexion Dieu père de tout, III, 20.— De

la nécessité du culte, 83. Des philosophes qui cherchent en eux

mêmes la certitude, 233.

MARMONTEL.

Utilité de la confession, III, 283.

MATÉRIALISME. Double effet du matérialisme sur les mœurs, I, 299,

Des sens, principe de certitude du matérialisme, II, 70, 71. Absurdité du matérialisme, 159.

MAURICE, le savant.

attendue, III, 136.

Que la venue du Médiateur étoit généralement

MAXIME DE MADAURE.

teur, III, 21.

De la tradition d'un Dieu suprême, infini créa

Distingue le Dieu suprême des dieux tutélaires, II, De la tradition d'un Dieu unique et créateur, III,

MÉDIATEUR (Voy. Jésus-Christ, Rédempteur). · Caractère de l'athéisme et du déisme par rapport à la médiation, I, 388. - Le Médiateur établi par Dieu dans la société des Intelligences, 378, 380, 383. Il établit le fondement de la perpétuité de la religion dans notre nature, 385, 386. Caractères Il a reçu de Dieu la vérité, 386. des trois erreurs qui repoussent la médiation, 387, 388. La mission du Mosaïsme a été de préparer le genre humain à reconnoître le Médiateur, II, 296. L'origine du sabéisme est dans la croyance en des médiateurs, et son crime de leur avoir transporté le culte dû à Dieu, 313-316. — Qu'on a pu être sauvé sans connoître le Médiateur, 406-409. L'idée d'un Médiateur, liée à la doctrine de la chute, remonte à l'origine de tous les peuples, III, 119-121; tradition: Noé, 121; Job, 121. - Tradi Prophétie de Balaam, 122. tion rapportée par Plutarque, 124. - L'abus du dogme de la médiation a donné naissance à l'idolâtrie, 122. Un médiateur sera issu d'une vierge, disent les livres zends, 126, 127.

pée à la venue du Médiateur, 172–174.

venue.

-

Rapport entre le Médiateur de la trinité indienne, et celui de notre trinité, 128. – De la venue du Libérateur, 133. - Circonstances de sa venue dans les livres sacrés de la Chine, 137-139. Dialogue de Confucius sur sa venue en Occident, 141. — Tradition du Médiateur vainqueur du serpent, en Amérique, 143. De l'attente générale d'un roi sauveur, 150-152. Le christianisme est la religion primitive dévelopProphéties concernant sa Voy. JÉSUS-CHRist. De la sainteté du dogme de la rédemption, 270-272. La rédemption est fondée sur le sacrifice. Voy. HOMME et SACRIFICE. Du Verbe fait chair, IV, 60, 61; promis pour rédempteur, 62. Voy. JÉSUS-CHRIST. Il rachète le péché ou la triple corruption de l'intelligence, du cœur et des sens, par l'autorité qu'il reçoit de son père, 62 et suiv. Divinité de la rédemption; elle est la base du christianisme divin comme elle, 92, 93. Voy. JésusCHRIST. Perfection de la société dont la loi de rédemption ou de sacrifice est la base, 94-96. Il a institué une autorité à qui il a transmis le pouvoir reçu de son père pour enseigner sa loi aux nations, 95, 96.

-

Reproche aux

MÉNANDRE. Chaque homme a un démon, II, 317.
Grecs leurs superstitions: tradition d'un Dieu unique, III, 39.
sentiment sur l'idolâtrie approuvé par saint Justin, 80, 81.
MER ROUGE.

317.
MESSIE.
MEXIQUE.

--

-

-

Vérité du récit du passage de la mer Rouge, III, 316,

Voy, MÉDIATEUR et JÉSUS-CHRIST.

Tradition de la croyance au Dieu suprême, III, 75.
De la fête des morts, 105. Doctrine de la chute la femme au

-

serpent, 115, 144. Rapports entre la tradition mexicaine de la
purification et celle du christianisme, 117, 118. De l'expiation
par le sang, 146.

MIRACLES.

-

- Les faits miraculeux ne peuvent infirmer la vérité des Écri-
tures, III, 313.
Miracle, action divine qui accompagne et sanc-

tionne la parole du Révélateur, IV, 2.
pour rejeter les miracles, 4.

-

-

-

- Inconséquence des déistes
A quels caractères on reconnoît le
miracle, 5. Du pouvoir miraculeux : Dieu, les anges, 5.
ments de Rousseau et Voltaire pour nier les miracles, 6, 7, 8.
Les miracles avant Jésus-Christ sont des châtiments; depuis, des
bienfaits, 20. La croyance universelle aux miracles est universelle
et vraie, 27, 28. - Miracles de Jésus-Christ attestés par les Juifs,
29, 30; les martyrs, 31. Miracles de Jésus-Christ et des apôtres,
33; ombre de saint Pierre, 33; la Chananéenne, 34; le Centurion,
Lazare, 35, 36. Circonstance du miracle de la résurrection, 41-
Rousseau reconnoît la divinité du christianisme par les mira-
Pourquoi ne voit-on plus les mêmes miracles qu'autre-
Absurdité des philosophes qui niant le pouvoir
miraculeux, en reconnoissent les effets, 106.

MISSIONNAIRE. Objection de Rousseau sur la valeur du témoignage
d'un seul missionnaire; résutation, IV, 132-136.

MITHRA. Mithra, ou la Parole, médiateur dans le système théologi-
que des livres zends, III, 125, 126. Son rapport avec le fils de
Dieu dans notre trinité et dans celle de Platon, 128.

MŒURS. - Effets du matérialisme sur les mœurs, I, 298; chez les Grecs,
299; à Rome, 300.

Moïse. Antiquité du Pentateuque, III, 287.

Authenticité du Pen-
Preuve matérielle de cette authenticité, 297,

- Age du monde jusqu'à Moïse, 305. Exactitude des récits de

Moïse prouvée par la science, 306.
loi se trouve dans l'Inde, 312.

358.
MONTAIGNE.

-

-

La tradition des Ta les de la
Moïse annonça le Messie aux Juifs,

Constate le retour des incrédules à la religion, à leur lit
Cité par Pascal: il combat ceux qui cherchent la

vérité par la seule raison, IV, 209 et suiv. Il examine l'incertitude

des axiomes de géométrie, 212.

MONTESQUIEU. Il attribue la chute de l'empire romain à la philoso-
phie d'Épicure, I, 50. Témoigne que le christianisme a fait le

bonheur des nations, 333, 33.
réprimer, 370.

- Que la religion ne peut toujours
De la vraie notion de droit public donnée par le

christianisme, IV, 120.

MORALE. — Lien de la morale et de la législation, I, 29. -La morale
considérée indépendamment de la Religion, devient aussi probléma-
tique que la Religion même, 95. Le déisme se réduit aux dévoirs

-

de la morale, ou loi naturelle, 126.
nier toute morale; athéisme, 190, 191.

-

La Réformation conduite à

La philosophie, basant la

société sur la force, détruit toute morale et toute constitution, 292.
— La morale et la foi sont inséparables, II, 197. — L'idolâtrie n'a-
voit pas un corps de morale, 364. Unité de la morale du chris-
tianisme, 398-400. Quelques erreurs ne préjudicient pas à l'uni-
versalité de la morale, III, 154.- Sainteté de la morale évangélique,

276.

-

MORT. Mort de l'athée, I, 237, 238.- Mort du chrétien, 254–256.
De l'invocation de l'âme des morts, II, 360. Le culte de l'âme des
morts a donné naissance à l'idolâtrie, III, 89.

-

-

Du dogme des pei-

97. - Du bonheur

nes et des récompenses de l'âme après la mort,
des héros morts, 98. (Voy. VIE FUTURE et AME DES MORTS.) Des
prières pour les morts, 104. - Fête des morts, 105.
MOSAÏSME, Lois des Juifs. (Voy. Jurs.) — Le Mosaïsme n'étoit pas la re-
ligion proprement dite, II, 292; et n'étoit pas universel, 292-299.
Il présuppose la foi dans les vérités révélées, 294. Son objet
fut donc de raffermir la religion primitive révélée, 296. - Sa mis-
sion fut de préparer le monde à reconnoître le Sauveur, 296, 297.
- De sa fin; son état présent, 297, 298. Ce qu'il avoit de com-

-

mun avec la religion universelle; ce qu'il avoit de distinctif, 299.
Que les Juifs convenoient du temps de saint Justin qu'il existoit
une nouvelle loi divine, 396, 397.
drin. Voy. SANHÉDRIN.

- Des sectes religieuses de l'Orient, III, 58.- Sur Ahrimane,

principe du mal dans la religion de Zoroastre, 59.

MYSTIQUE. Sainteté du sacrifice mystique, III, 281.

Leur logique, I, 32. — Signe de leur décrépitude, 40, 41.

-

Elles ne peuvent subsister sans religion, 67, 68.
tue pas une société en un jour, 260.