TIMÉE (de Locres). D'un Dieu éternel et suprême, III, 11, 12. TITE LIVE. — Posthumius proscrit les dieux étrangers, II, 376, 377. - Est un temps de persécution et d'épreuves, I, 58, 59. – Elle résulte de l'indifférence, 60.
TOUR DE BABEL. Témoignage de la vérité du récit du déluge, III, 305. Souvenir de la tour de Babel dans l'Écriture chinoise, 305.
TRADITION. Son enchaînement jusqu'à Dieu, II, 107, 108. - Elle dé- pose que Dieu s'est révélé, 108-112, Réfutation de ceux qui re- jettent la révélation et la tradition, 108-114. La tradition atteste l'universalité de la religion avant Jésus-Christ, III, 172, 173, 214 et suiv. Chaque fois que le genre humain transgressa la loi de tradi- tion, Dieu le ramena dans sa voie par le châtiment : Adam, déluge, 188, 189. Que la tradition fut toujours la base de la religion uni- verselle, 191-193.- De l'autorité de la tradition dans la Grèce, 194. La tradition de l'unité de Dieu, 196 et suiv. Transmission de la tradition par la longue vie des premiers hommes, 197. - De la vérité de la tradition (dialogue de Platon), 210-213. La tradition atteste la sanction de la loi divine, 214 et suiv.; elle atteste que cette loi a été donnée par les anges ou esprits inférieurs, 217.- La croyance en la tradition enseignée par Socrate et Platon, 225, 226. - Du moyen de reconnoître la tradition, 226, 227. — Que la philosophie est fausse parce qu'elle rejette la tradition, 234. Que la perpétuité est le caractère de ce qui est vrai, 239, 241. La tradition est la base des croyances (Cicéron), 241.- Le raisonnement affoiblit l'au- torité de la tradition, 242. Conformité de la tradition universelle avec la doctrine de nos Livres saints, 248.- La tradition perpétue le témoignage de Dieu sur qui repose la loi évangélique, 252-255. · Dieu a voulu fixer la tradition par les Écritures, 288. · De l'autorité dépositaire de la tradition, 289, 290.- La tradition ou la parole ont, avant les Écritures, transmis la religion, 290, 291. — L'Écriture for- tifie l'autorité de la tradition, 292.- La tradition universelle prouve l'authenticité des Écritures, 307, 308. Le christianisme héritant, en la développant, de la doctrine de la tradition et de la synagogue, hérita de leur autorité, IV, 124-127. Défense de la doctrine de la tradition ou du sens commun, exposée dans l'Essai, 149, 243 et suiv. Résumé: en ébranlant la tradition, la philosophie a précipité les peuples dans l'erreur, 312-315.
TRINITÉ. Les Thibétains reconnoissoient la trinité, III, 64. - Rap- port entre Mithras, fils de Dieu, dans la trinité de Platon et la nôtre 128. De la sainteté du dogme de la trinité, 272, 273. Le dogme de la trinité et de la double nature du Messie tiré des livres zends, 362.
De l'unité et du développement dans l'unité, II, 387. L'unité est la base de l'autorité, 390-394. L'unité de la religion n'a point cessé, 390-398. - Unité du dogme, 396, 397; de la mo-
rale, 398; du culte chrétien, 400, 401. L'unité et l'universalité de la religion prouvent sa perpétuité, III, 185 et suiv, - L'unité d'en- seignement prouve la divinité de l'Écriture, 326.
UNIVERSALITÉ. Voy. CONSENTEMENT COMMUN, et TÉMOIGNAGE de l'existence de DIEU, III, chap. VI, VII, VIII. = Les Pères s'appuyoient sur l'uni- versalité de la religion primitive pour démontrer l'unité de Dieu, 158. Caractère de l'universalité de la religion avant Jésus- Christ, 172, 173. L'universalité de la raison humaine n'est autre chose que l'universalité de la religion, 176, 177. — L'universalité et l'unité de la religion prouvent la perpétuité, 185 et suiv. VALERIUS. D'un Dieu unique, père des dieux, III, 42, 43. WARBURTON. WATSON, évêque d'Angleterre.
- Est effrayé des destinées de l'Angleterre, I, 60.
Infirme la raison, II, 236, 237.
VEDAS (livres sacrés de l'Inde). 63, 64.
Admet le salut des déistes, I, 178.—
Citations croyances indiennes, III,
Établissent le principe de la tradition, 230, 231.
Son juge suprême est le consentement commun. Voy. ce La vérité attestée par le témoignage universel est la vérité suprême, II, 104, 105; c'est Dieu, 106. Cette vérité réunit tous les genres de certitude, 107-109.
- De la vérité naissent l'amour et
D'où la loi morale et les vérités
sociales; vérités de sentiment, 144. tuent la raison, 148; elles sont le fond du jugement, 149. ports entre notre intelligence et la vérité, 162. L'autorité est le principe de la vérité, 243, 244. Les Pères, les païens, les philo- sophes, les juifs, admettoient l'autorité générale comme règle de vérité, III, 158-165. L'antiquité reconnue pour marque de la vé- Que le symbole catholique renferme toutes les vérités révélées, 270. - Vérité des faits que contiennent les Écri- tures, 300 et suiv. — Le hasard n'imite jamais parfaitement la vérité, 341. - Vérité des prophéties, 344 et suiv. Que tout est vrai, que
tout est faux (dialogue entre un fou et un cartésien), IV, 144 et suiv. Du danger de soumettre la vérité et la religion à la foi- blesse de la raison humaine (Descartes), 180; (Malebranche), 187-191. De l'empire de l'erreur revêtu des apparences de la vérité, 239. VERS DORES. Des dieux divers, II, 338. Des hommes divins,
- En quoi consistoit la vertu à la chute de Rome, I, 51. — Elle
est inséparable de la religion, selon Rousseau, 73, 293. riorité des vertus des chrétiens sur celles des incrédules, 349. Peinture des vertus chrétiennes par Tertullien, 355, 357. Con- traste des vertus chrétiennes et des mœurs dépravées des Gentils; martyre de sainte Afre, 360, 561. L'exercice des vertus morales dépend de l'ordre dans les actions de l'homme, 397 et suiv. = Défi- nition de la vertu, II, 146.
VIE FUTURE. De l'immortalité de l'âme, II, 360 (III, 32); du culte des morts, 318, 319. = L'idolâtric a sa source dans le culte de l'âme des morts, III, 89. Du dogme des peines et des récompenses futures dans l'antiquité, 91; tradition, 92; id. Platon et les Grecs, 92, 93.- Paroles de Socrate sur la vie future analogues à celles d'un Indien, 95. Zénon et les Romains, Celse, 96. — Des trois états de l'âme après la mort, 97. - Du bonheur des héros après leur mort, 98. Dialogue de Scipion et de Paul Émile, 98, 99. doctrine de la vie future par Platon, 100-102. le consentement universel l'espérance d'une vie meilleure, 167. De l'antiquité du dogme de l'immortalité de l'âme, 242-244. VIRGILE.
Exposition de la Socrate appuie sur
Des génies tutélaires, II, 548. D'un Dieu unique, père des dieux, III, 43. Du nom Dieu employé d'une manière absolue, 46. Des peines et des récompenses, 100. Passage qui suppose l'idée de la chute originelle, 118, 119. – De la venue du Libérateur, 134, 135.
VISHNOU. Doctrine indienne, née de la religion de Brama, III, 62. VOLNEY.-Témoigne de l'attente universelle d'un Médiateur, III, 152. VOLTAIRE. Ce qu'est la loi naturelle, selon Voltaire, I, 126, 127. Anecdote sur sa mort, 239. — Son caractère d'orgueil et de volupté, 244. Que les philosophes anciens reconnoissoient un Dieu suprême, absolu, III, 46. Que l'immortalité de l'âme a été reconnue par toute l'antiquité, 88. De la doctrine de la chute, 116.
Que l'at- tente d'un Médiateur étoit universelle, 152. De l'universalité de la morale, 156. Que la véritable religion doit être nécessairement universelle, 170. Utilité de la confession, 283. Antiquité chi- mérique de l'histoire des Indiens soutenne par Voltaire, 307. nie la possibilité des miracles, IV, 7, 8. dans les sociétés chrétiennes, 117, 118.
XENOPHANES. D'un Dieu unique et très-grand, III, 28.
Zemble (Nouvelle-). — Tradition du Dieu suprême, III, 55.
Des expiations, des peines et des récompenses, ordonnées par les livres zends, III, 106, 107. Doctrine du péché originel, 112, 113. Du Médiateur, Mithra, dans le système théologique des
Le Médiateur sera issu d'une vierge, 127. Rapports entre la Parole des livres zends et le Verbe de Platon, 127, 128.
ZENON. De la vie future; des peines et des récompenses, III, 96.
Il détruit les objections contre l'authenticité des Écritures, III, 307.
- Il changea le caractère de l'idolâtrie chez les Perses, II, 332 (III, 59). Invocation à Zoroastre dans les livres zends, 362. La religion de Zoroastre se réduit à la pureté du culte, III, 59 et suiv. De la tradition du Médiateur, 125.
Son penchant et sa vénération pour les philosophes anciens, I, 54, 55, note.
FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE.
De la philosophie, de son origine et de ses divers
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