... d'argent, et vous ne voulez pas voir l'extrémité où vous êtes réduit. Parce que vous avez toujours été heureux, vous ne pouvez vous imaginer que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux, vous craignez qu'on ne vous les... Oeuvres choisies de Fénelon - Strana 419podľa François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825Úplné zobrazenie - O tejto knihe
| Garnier - 1787 - Počet stránok 532
...périfFent tous les jours des maladies caufées par la famine; enfin que votre falut éternel, qui cft incompatible avec cette idole de gloire. » Voilà , SIRE, l'état où vous êtes. Vous vivez comme ayant un bandeau fatal fur les yeux : vous vous flattez fur les fuccès journaliers qui ne décident... | |
| Daniel Pétillet - 1801 - Počet stránok 486
...sîez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; vous craignez qu'on ne vous les ourre , vous craignez d'être réduit à rabattre quelque...causées par la famine, enfin que votre salut éternel qui est incompatible avec cette sorte de gloire. Voilà , Sire, l'état où vous êtes ; vous vivez... | |
| Daniel A. Eichhorn - 1812 - Počet stránok 328
...cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; Vous craignez, qu'on ne Voua les ouvre j Vous craignez d'être réduit à rabattre quelque...de Votre gloire ; cette gloire, qui endurcit Votre coeur, Vous est plus chère, que la justice, que Votre propre repos, que la conservation de Vos peuples,... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - Počet stránok 640
...que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; vous craignez qu'on ne vous les ouvre ; vous craignez d'être réduit à rabattre...causées par la famine , enfin que votre salut éternel , qui est incompatible avec cette idole de gloire. » Voilà , sire , l'état où vous êtes. Vous... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - Počet stránok 638
...que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; vous craignez qu'on ne vous les ouvre ; vous craignez d'être réduit à rabattre...plus chère que la justice , que votre propre repos , qu* la conservation de vos peuples , qui périssent tous les jours des maladies causees par la famine... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - Počet stránok 704
...que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; vous craignez qu'on ne vous les ouvre ; vous craignez d'être réduit à rabattre...cœur , vous est plus chère que la justice , que voire propre repos , que li conservation de vos peuples , qui périssent tous les jours des maladies... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - Počet stránok 642
...que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; vous craignez qu'on ne vous les ouvre ; vous craignez d'être réduit à rabattre...cœur , vous est plus chère que la justice , que voire propre repos , que la conservation de vos peuples , qui périssent tous les jours des maladies... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - Počet stránok 688
...gloire : cette gloire , qui endurcit votre cœur , vous est plus chère que la justice . que voire propre repos , que la conservation de vos peuples...causées par la famine , enfin que votre salut éternel, qui est incompatible avec celle idole de gloire. » Voilà, sire, l'élat où vous êtes. Vous vivez... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - Počet stránok 234
...que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux ; vous craignez qu'on ne vous les ouvre ; vous craignez d'être réduit à rabattre...Voilà, SIRE , l'état où vous êtes. Vous vivez comme ayant unbandeaufatal sur les yeux; vous vous^flattez sur les succèsjournaliers qui ne décident... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1827 - Počet stránok 556
...que vous cessiez jamais de l'être. Vous craignez d'ouvrir les yeux; vous craignez qu'on ne vous les ouvre ; vous craignez d'être réduit à rabattre...gloire. Voilà, Sire, l'état où vous êtes. Vous vivez comme ayant un bandeau fatal sur les yeux; vous vous flattez sur les succès journaliers, qui ne décident... | |
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