ART. VII. CALISTO AND MELIBEA. 1. Tragicomedia de Calisto y Melibea: en la qual se contiene de mas de su agradable et dulce estilo: muchas sentencias filosofales: et auisos muy necessarios para mancebos mostrandoles los engamos que estan encerrados en seruientes y alcahuetas: et nueugmente annadido et tractado de Centurio. COLOPHON. Descriue el tiempo en que la obra se imprimio : El carro de sebo despues de hauer dado` A phebo en su casa tienen posentado Wood Fig. Black Letter. 8.° Sig. M. 4. EXTRA RARE. 2. Celestina. Tragicomedia de Calisto y Melibea. En la qual se contienen, de mas de su agradabile y dulce estilo, muchas sententias filosophales, y auisos muy necessarios para mancebos: Mostrandoles los Engannos que estan encerrados en Sirvientes y Alcahvetas. En la oficina Plantiniana. 1599. 16.0 pp. 311. RARE. At the end are the following lines, which are not in the former edition: « Declara vn_secreto, que el Autor encubrio en los metros que puso al principio del libro. Ni quiere mi pluma, ni manda razon, Que quede la fama de a queste gran hombre, Ni su digna gloria, ni su claro nombre BRUNET, gives the following account of the different editions, of this work: « La Célestine, ou tragi-comédie de Caliste et Melibèe, a eté écrite originairement en espagnol, vers la fin du 15.e siècle; le premier acte est attribué à Rodriguez Cota, et les vingt autres à Fernand de Royas, de Rojas, ou de Roxas. L'édition la plus ancienne que nous connoissons du texte espagnol, est celle de Séville, 1501, in-4. goth. TRÈS-RARE (à la Biblioth. du roi, y. 6310); il y en a plusieurs autres faites postérieurement, mais qui n'ont pas une trèsgrande valeur dans ce nombre nous citerons celle de Séville, 1533, pet. in-8.o goth. fig., vend. 2 liv. 15 sch. Blandford, et celles d'Anvers, 1595, in-8.o, e. 1599, in-16. peu connues l'une et l'autre. L'édition de Rouen, 1634, in-8,, ainsi que celle de Pampelune, 1633, in-8.o, contiennent une nouvelle traduction française, à côté du texte espagnol. V. I. p. 363. The first edition of the French translation is Paris, Cousteau et Galiot Du Pré, 1527, in-8.o goth. It was trans lated into Italian by Alfonso Ordognez, and printed at Venice, in 1505, in-4.° PROFIGUE. Profigue dando razones porque se mouio a acabar esta obra. Y vi in Salamanca la obra presente A fiar de alcahueta ni falso siruiente. Fue tanto breue quanto muy sotil Si fin diera enesta su propia escriptura : En tosca ni griega ni en castellana : Al qual Jesu christo resciba en su gloria Amonesta alos qué aman que siervan Vos los que amays tomad este enxemplo De muertos Ꭹ biuos y propios culpados Fin. O damas matronas: mancebos: casados: A todo correr deneys de huyr No os lance cupido sus tiros dorados. >> « RODRIGUEZ COTA, di Toledo, Poeta tragico, autore della Tragicomedia di Calisto e Melibea. Questa composizione é una spezie di misto-comico, pieno di sentenze, di avvertimenti morali, e di esempi alti ad istruire il lettore. Gasparo Bartio Tedesco, grande amatore de' libri spagnuoli, ha tradotto quest' Opera in Latino, nè fa difficoltà di chiamarli divina. Giacomo de Lavardin l'ha messa in Francese, ma la sua versione non molte contribuisce a conservar l'alta idea data dal traduttore Tedesco. Peraltro questa produzione di Cota è una delle migliori che siano state scritte in lingua Spagnuola. Esso fioriva nel secolo XVI. » Diz. Storico, Tomo iv. p. 569. ART. VIII. AGNES PRINCESSE DE BOURGOGNE, NOVELLE. A Cologne, M. DC. LXXVII. in-12.o pp. 129. This Novel is probably the same as mentioned in the Bibliothèque des Romans, with the date of Paris, 1680, iu-12.0, in the following words; which call its existence into doubt: il nous « Tel est le titre d'un Roman que nous trouvons rapporté dans l'ancien Bibliothèque des Romans de l'Abbé Lenglet; mais c'est tout ce que nous en avons pu nous procurer de l'ouvrage, et nous ignorons absolument quel en est l'Auteur. Si quelqu'un possède ce Roman, fera plaisir de nous le communiquer. Si nous ne pouvons parvenir à le trouver, nous aurons lieu de croire que ce n'est que par l'effet d'un mal-entendu que l'Abbé Lenglet a placé ce livre dans sa Bibliothèque, et que c'est peut-être le même qu'Adelaïde de Bourgogne, dont nous avons parlé dans notre volume du mois de Mai dernier, d'autant plus qu'Adelaïde de Bourgogne a été imprimé précisément la même année que la véritable ou prétendu Agnes de Bourgoigne. D'ailleurs, quoiqu'il y eut eu plusieurs Duchesses et Princesses de Bourgogne du nom d'Agnès, nous n'en connoissons aucune dont les ouvertures aient été assez intéressantes pour fournir la matière d'un Roman historique. (Aoust, 1778, p. 205.) D |