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Malherbe n'avait pas légiféré à ce sujet. Il avait seulement conseillé de s'abstenir de ce qui sentait trop le pédant: Caurus, Eurus, Zephyrus (Doctr., 169). Vaugelas fut le premier qui se hasarda à poser une règle, sans doute inspirée par les lectures de mode à la Cour. Mais en somme que conseille-t-il? De mettre à part les noms connus, qui se francisent, et les autres, qui demeurent tels quels. Une pareille règle ne réglait rien. Comment, dans une foule de cas, distinguer entre les noms connus et les noms rares1?

LES RÈGLES DE MÉNAGE.

Ménage, lui, se hasarda à un dénombrement (O., I, 314 et suiv.). Les catégories qu'il examina sont fort nombreuses, et je ne mentionnerai ici que les principales.

I. NOMS TERMINÉS EN A. Dans les noms d'hommes, avait dit Vaugelas (1, 147), la forme étrangère persiste, sauf dans Seneca; dans les noms de femmes, s'ils sont connus, on adopte une terminaison française: Agrippine, Cléopâtre. Ménage se borne à ajouter deux noms d'hommes à celui de Sénèque, savoir Columelle et Massinisse. Parmi les noms de femmes, il cite Julie, Livie, Octavie (O., I, 315-316). Dans cette classe, Th. Corneille, l'Académie (dans Vaug., I, 151) et Bouhours (Rem., 583) n'admettent la francisation que pour Livie, Octavie et Poppée3.

Dans les noms de choses, la forme en a devait demeurer: Etna, Ida. Toutefois on dit même en prose: entasser Osse sur Pélion (Mén., O., I, 317)'.

II. NOMS TERMINÉS EN E. Vaugelas n'en notait guère qu'un : Penelope, qui fùt francisé. Ménage distingue encore ici entre noms. d'hommes et noms de femmes. Les premiers, suivant lui, demeurent sans changement, sauf Osée pour Oséé (O., I, 317).

Parmi les noms de femmes, les uns se francisent: Ariadne, Béré

1. L'Anonyme de 1657 suit Vaugelas : « On ne peut pas donner de règle certaine pour la prononciation des noms propres, tantôt prononcés à la latine, tantôt à la française, si ce n'est que les noms les plus fréquentés sont plutôt et plus ordinairement habillés à la française: Socrate, Diogene, Antioque, Plutarque, Cyrus, Crassus, Cresus, Pyrrhus, Agrippa, Agrippine, Phidias, Epaminondas » (35).

2. L'Académie (dans Vaugelas, 1, 151) blame Agrippe de Corneille (III, 403, Cin., v. 394); on trouve Alosse (Boss., Hist. Univ., 53); Caligule (Corn., VI, 624, Oth., v. 4063, et Boyer, Bibl. Univ., 283); Cinne (Corn., X, 103, Poés. div., v. 10); Jugurthe (Id., X, 259, Poés. div., v. 105); Murêne (Id., III, 438, Cin., v. 1203). Boyer donne Columella (Bibl. Univ., 19), et Columelle (Ib., 272); Masinissa (Ib., 5), et Massinisse (lb., 150). Baoce est dans Racine (VI, 53, Rem. sur Pind.); Quinte (Id., V, 588, Martyrs d'Alex.).

3. Fauste (Corn., I, 71, Disc. de la trag.); Porcie (Rac., VI, 202, Liv. ann.); Boyer donne Porcia (Bibl. Univ., 13) et Porcie (lb., 238); Livia (Ib., 16); Octavia (Ib., 16), et Poppée (lb., 201).

4. «M. Desmarest, dans ses Remarques sur la Traduction de Longin de M. Des Préaux, prétend qu'il faut tousjours dire Ossa (Mén., O., I, 317); Boyer cite Ossa (Bibl. Univ., 5), et Osse » (Ib., 152).

nice, Hermione, Mariane (hébreu), Séméle, etc.; les autres demeurent: Agavé, Callirhoé, Circé, etc. (O., I, 319).

Ménage attribue cette diversité à ce que les premiers ont été faits de noms terminés en latin par a (O., I, 319). Il accepte Circe en vers, Séméle en prose, «< comme disent quelques-uns », mais exige en vers Séméle et Melpoméne (Ib., I, 320). Boyer donne Calliope ou Calliopée (Bibl. Univ., 358); Mariamne (Ib., 93); Semelé (Ib., 88). Pour les mots de deux syllabes en é, Th. Corneille (dans Vaug., I, 151) adopte la forme avec e ouvert : Daphné. Racine écrit Penelopé (VI, 58, Rem. s. l'Od.).

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III. NOMS TERMINÉS EN AS. Les noms d'hommes latins en as, observait Vaugelas, sont en petit nombre; les poètes commencent à dire Mécéne1. Les noms grecs changent la plupart as en e: Pythagore, Enée. On dit cependant Phidias, Epaminondas. Les noms hébreux se conservent: Josias.

Ménage répète à peu près: » les uns conservent leur terminaison, Epaminondas, Lysias, Ménelas, Pausanias, etc.; d'autres sont francisés: Amynte, Anaxagore, Enée, Pythagore; d'autres ont les deux formes: Mécénas, Mécéne, Protagoras, Protagore» (O., 1, 327-328). Les noms de femmes ne changent point leur terminaison: Olympias et non Olympie (Vaug., I, 148)2.

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IV. NOMS TERMINÉS EN O. Les noms d'hommes prennent la forme on en français: Cicéron, Varron, disait Vaugelas (I, 149); Ménage ajoute « à moins qu'ils ne soient peu connus »: Gillo, Labeo, Sannio (O., 1, 322). S'ils sont précédés d'un nom étranger, ils conservent leur forme: Strabon, mais Acilius Strabo (Vaug., I, 150; Mén., O., I, 322-323)3.

« Les noms de femmes ont tantost l'une et tantost l'autre terminaison » (Vaug., I, 150). On dit: Junon, Didon, mais Calypso, Clio, Sapho, Ino (Mén., O., I, 323)*.

V.

NOMS TERMINÉS EN ER.

Vaugelas ici encore appliquait sa règle: Alexandre, pour le grand Alexandre, mais pour lui seul

1. Patru trouvait Mecene insupportable, et il ne disait jamais Athenagore, Pythagore ni Anaxagore, parce que ces noms étaient peu connus (note, dans Vaug., I, 147). L'Académie distingue entre Mecenas favori d'Auguste, et Mecene employé pour désigner un protecteur de gens de Lettres (lb., I, 151).

Ménage dirait en vers Augée, Cynée (O.. I, 329). Boyer donne Amyntas (Bibl. Univ., 974); Athenagoras (Ib., 967); Aenéc (Ib., 199); Aeneas (Ib., 931); Protagoras (lb., 967); Augias ou Augie (lb., 935); Mecenas (Ib., 946). On trouve Mécène (Corn., III, 403, Cin., v. 394); Tirésie (Id., VI, 178, OEd., v. 1026; cf. Rac., VI, 234, Liv. ann., Soph.). Bossuet écrit Phinées (Hist. Univ., 19).

2. Olympias est dans Boyer (Bibl. Univ., 937).

3. Balzac a dit Marc Varron, ce qui fait voir que l'observation de M. de Vaugelas ne s'applique qu'aux noms qui ne sont pas connus (Mén., O., I, 323).

4. Boyer donne Inon et Ino (Bibl. Univ, 622).

(I, 148). Ménage ne change rien à cette doctrine. Certains prennent la forme française: Alcandre, Alexandre, Léandre, Ménandre, d'autres conservent la forme étrangère: Antipater, Arbiter, Esther, Jupiter, Teucer (O., I, 331)'.

VI. NOMS TERMINÉS EN ES. D'après Vaugelas, on disait: Demosthene, tandis qu'on conservait: Arsaces, Menes. Le plus souvent Xerxés, et au contraire: Artaxerce. Apelle en prose, Appellés en vers (I, 149). Ménage oppose Pericles, Simonides, Apelle (O., I, 332)2. NOMS TERMINÉS EN IS. Vaugelas s'en rapporte encore

VII. une fois à l'usage: Martial, mais Sisygambis (I, 149). Ménage distingue entre les noms, selon leur origine; ceux qui sont grecs retiennent tous en prose leur terminaison; ceux qui sont latins ont la terminaison étrangère: Cerealis, Vitalis, ou française: Juvenal, Martial. Il donne enfin un certain nombre de noms germaniques: Adelaïde, Alis, Aldegonde, Aramburge, Mathilde, etc. (O., I, 334-337)3. Ce sont ceux-là qui fournissent la masse la plus considérable. Où Vaugelas n'avait fait que donner quelques indications', Ménage classe et catalogue avec une rigueur et un zèle infatigables:

VIII.

NOMS TERMINÉS EN US.

Noms terminés en bus. Les noms conservent leur forme: Balbus, Phœbus, Probus (O., I, 342).

Noms terminés en cus, chus. On dit Ancus, Atticus, Bacchus,

1. Alemand, à propos de la règle de Vaugelas, estime que l'usage se moque des beaux projets des. grammairiens, et que d'ailleurs il y a toujours moyen d'éviter la confusion sans employer Alexander qui n'est guère dans l'usage moderne (Guer. civ. 109-115). Boyer dit Terpander (Bibl. Univ., 655), Teuce (Ib., 134) et Teucer (lb., 654). Racine écrit Antipatre (V, 518, Vie de Diog.).

2. Vaugelas veut qu'on dise Apelles en prose et Apelle dans les vers (I, 149). Ménage est du même avis pour la première partie de cette règle, mais tient aussi à Apelles dans les vers (O., I, 332-333). Boyer ne donne que Apelles (Bibl. Univ., 1099). Il dit Aristides (lb., 1091), Callisthenes (Ib., 1109), Diogenes (lb., 1108), Themistocles (Ib., 1402). On sait que La Fontaine a dit Simonide (I, 99); cf. Aristide (Boss., Hist. Univ., 54); Leotychides (Id., Ib., 54); Artaxerxe (Id., Ib., 55); Empedocle et Parmenides (Id.. Ib., 75). Ménage recommande Artaxerxe (0., I, 334), mais Boyer donne Artaxerces (Bibl. Univ., 1087).

3. Ménage cite M. d'Ablancourt dans la Préface de sa Traduction de Thucydide : « Je dis Phlionte et Myonte, comme l'on dit Amathonte et par la mesme raison, Elide et Calcide, non seulement du païs, mais des villes mesmes: parceque je voy qu'on dit Aulide et Eleusine, et non pas Aulis ny Eleusis. Ce n'est pas que je blame ceux qui en usent autrement, puisque je ne mets pas partout le génitif pour le nominatif, et que j'ay plus d'égard en cela à l'oreille ou à la coustume, qu'à autre chose » (O., I, 336-337). En vers on dit indifféremment Briseïs et Briseïde, Amaryllis et Amarylle. Ménage n'accepte pas Adon pour Adonis (O., I, 335-336), que Boyer donne sans préférence (Bibl. Univ., 609 et 1072). Ménage donne Alcestis, Atalantis (O., I, 335); Boyer Alceste (Bibl. Univ., 472), Atlantide (Ib., 173), mais Aulis (Ib., 1069).

«Cyclope n'est pas un nom propre, car on dit le Cyclope» (Mén., O., I, 344).

:

4. Vaugelas estimait que les noms de deux syllabes, sauf les noms de saints, demeuraient Cresus, Cyrus; que ceux de trois syllabes se francisaient généralement, pour peu qu'ils fussent connus: Tacite, Homere. Le poète s'appelait Stace, mais l'officier des gardes Statius.

Flaccus, Glaucus, etc., mais Aristarque, Lysimaque, Plutarque. On trouve la forme latine dans Gracchus au singulier, mais au pluriel on dit les Gracques (Ib., I, 342-343)1.

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Noms terminés en dus. Des noms latins conservent leur terminaison: Lepidus, Lydus; d'autres ne la gardent pas: Encelade (Ib., I, 343)2.

Noms terminés en fus. - Parmi les latins, Rufus garde sa terminaison. Les germaniques changent ulfus, en oul, ou : Marcou; cependant on dit Théodulfe, l'Evesque d'Orleans, et Marculfe, l'auteur des Formules (Ib., I, 344)3.

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Noms terminés en alus, allus. — On dit Céphale, Tantale, Héliogabale, mais Gallus. Toutefois on dit l'Abbaye de Saint Gal (Ib., I, 345).

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Noms terminés en elus, ellus. On dit Belus, Eutrapelus, et Marcellus en parlant du Romain. De même Metellus, Psellus (Ib., I, 345) 5.

Noms terminés en ilus, illus, ylus, yllus. phile, Eschyle, Mycile (Ib., 1, 345-346).

Noms terminés en aulus, olus.

On dit Zoile, Pam

On dit Aulus, mais Aulu-Gelle

qui est meilleur qu'Aule-Gelle, comme l'a dit Balzac

non Eolus (lb., I, 346)*.

Noms terminés en ulus.

(Ib., I, 346).

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Eole,

Ils demeurent: Catulus, Paterculus

Noms terminés en ullus. Catulle, Tibulle, mais Tullus, Luculle ou Lucullus (b., I, 346)*.

Noms terminés en mus. Cadmus, Firmus, Postumus, mais Aristodéme, Eudéme; Lygdamus en prose plutôt que Lygdame, Valére Maxime, mais Fabius Maximus (Ib., I, 347)9.

Noms terminés en ănus, ānus. On dit Stéphanus en parlant du Géographe (Ib., I, 347). Les mots en ānus ont pris en français

1. Glauque (Boyer, Bibl. Univ., 373); Inaque (Id., Ib., 365). Ménage impose les deux formes Inachus et Inaque (O.. I, 343). Racine dit Telemachus (VI, 61, Rem. s. l'Od.) 2. Lépide (Corn., III, 414, Cin., v. 598; cf. Boss., Hist. Univ., 92). Boyer donne Lepidus (Bibl. Univ., 1142).

3. Rufe (Rac., V, 581, Epître aux Philip.); Taphe (Id., VI, 61, Rem. s. l'Od.). 4. Largue, martyr (Boyer, Bibl. Univ., 228).

5. Euméle (d'Ablancourt, dans Mén., O., I, 345; cf. Boyer, Bibl. Univ., 272); Métel (Corn, III, 452, Cin., v. 1536).

6. Paul (Corn., III, 452, Cin.. v. 1536).

7. Romule (Corn., III, 285, Hor., v. 52).

8. Tulle (Corn., III, 347, Hor., v. 823); Luculle (Rac., VI, 293, Liv. ann., Lucullus (Id., III, 16, Mithrid., préf.).

Plut.);

9. Aristodemus (Boyer, Bibl. Üniv., 1146); Mome (Corn., VII, 368, Psyché).

les terminaisons an et ain: Colomban, Séjan, Trajan, mais Lucain, Sylvain. Vulcan et Vulcain sont bons (lb., I, 347-348)'.

Noms terminés en ianus. Ces noms prennent les terminaisons ien et ian. Cyprien, Diocletien, Domitien, Hadrien, Justinien, Tertullien, Vespasien, mais Ammian Marcellin, Elian, Oppian, Sévérian. Claudien, Hérodien, Priscien sont meilleurs que Claudian, etc. (Ib., I, 349), et l'on prononce maintenant Justinien et Tertullien (Ib., I, 350)2.

Noms terminés en enus. On dit Siléne, mais Labienus, Passiénus. Les pédans disent Galen, les autres Calien (Ib., I, 350). Noms terminés en ernus. On dit Maternus (Ib., I, 350).

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Noms terminés en inus. On dit Crispinus, Ninus, Sabinus, mais Alcuin, Antonin, Constantin, Tarquin (lb., I, 350-351).

Noms terminés en unus.

351).

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Noms terminés en pus. On dit Chrysippe, Esope, Ménippe, Philippe, mais Crispus en prose (Ib., I, 351)3.

Noms terminés en rus. On dit Phédre et Phédrus, Dejotarus, Cerbére, Sévére en parlant de l'Empereur, Sévérus en parlant du poète, Cyrus, mais Tityre, Porus, mais Apollodore, Héliodore, Stésichore, Théodore (Ib., I, 351-352)'.

Noms terminés en sus. naison (Ib., 1, 352)3.

Noms terminés en tus. Callistrate, Philostrate,

-

Crassus, Marsus retiennent leur termi

Les noms en ǎtus prennent la forme ate: Pisistrate, les noms. en atus conservent

1. Vulcan (Boyer, Bibl. Univ., 557); Vulcain (Id., Ib., 600). « M. d'Ablancourt, qui dans la prémiére édition de son Luciain avoit tousjours dit Vulcan, a dit Vulcain dans la derniére » (Mén., O., I, 348). Bien que Ménage, après Chapelain et contrairement à l'avis de Racan, préfère Vulcan en vers, Boileau a employé Vulcain (Sat., VI, v. 17). Renaud s'est prononcé contre la forme Vulcan (Man. de parl.. 563).

2. Boyer donne Cyprian, saint (Bibl. Univ., 563), et Cyprien, martyr (16., 583); Diocletian (Ib., 559); Domitian (lb., 559); Adrian (Ib., 563); Herodi n (lb., 560); Julian, empereur (16., 560); Julien, martyr (16., 580); Justinian (Ib., 561); Lucian (Ib., 559), « et Maximilian (1b., 560); Tertulien, jurisconsulte (1b., 580); Vespasian (1b, 563); Ulpian (lb., 562). Il dit aussi Claudion (lb., 560); Herodian (Ib., 560); Priscian (Ib., 559) et c'est comme parloit M. Chapelain » (Mén., O.. 1, 349). Voir Diocletian (Corn., V, 48, Théod., v. 35); Fabien (Id., III, 432, Cin., v. 1536); Martian (Id., V, 174, Hér., v. 415); Octavian (Id., V, 230, Hér., v. 1703); Turpilian (Id., VI, 577, Oth., v. 52); Valentinian (Id., VII, 450, Att., v. 1028); Virginian (Id., III, 451, Cin., v 1489); cf. Elien (Boss., Hist. Univ, 44).

3. ་་

En vers il faudroit dire Crispe ou dumoins on le pourroit dire » (Mén., O., I, 351). C'est la seule forme qu'on trouve dans Boyer (Bibl. Univ., 362) qui donne Lysippe (lb., 357) et Lysippus (Ib., 1153); Crispe (Corn., V, 157, Hér., v. 1) et Crispus (Id., V, 143, Avis au lect.)

4. Phædrus, disciple de Platon (Boyer, Bibl. Univ., 1156; il ne cite pas le fabuliste).

5. Cosse (Corn., III, 452, Cin.. v. 1536); Crasse (Id., IV, 68, Pomp., v. 990); Mopse (Id., VI, 343, Tois., v. 2093; cf. Boyer, Bibl. Univ., 162).

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