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CINEAS. Ses conseils à Pyrrhus, traduits de Plutarque, II, 10, note 2. CITEAUX. Réponse ingénieuse de Despréaux aux religieux de cette abbaye, II, 362, note a.

CIZERON-Rival, IV, viij, note a. Ses méprises sur François Bourdelin, 412, note b; sur le comte de Revel, 436, note a. Écrit les vers comme s'ils étoient de la prose, 495, note a. Se trompe au sujet d'une pièce attribuée à Despréaux, 590, note a, 648, note a. CLAUDE. Note biographique sur ce ministre protestant, II, 26, note 1. CLEMENGIS, historien. On paroît croire que Despréaux lui a emprunté l'incident du hibou, dans le Lutrin, II, 387, note b.

CLÉMENT (saint), III, 268, note a.

CLÉMENT (de Dijon). Note sur ce critique, I, xxj. Croit que Despréaux aurait dû plutôt imiter Horace que Juvénal, dans sa v2 satire, 154, note b. S'élève contre la prétendue esquisse en prose de la satire IX, 208, note a. Ne rend pas justice à Quinault, 278, note a. Fait l'éloge de deux vers de la satire x11, 356, note b. Vante quatre vers de cette pièce avec une qxagération ridicule, 371, note c. Affecte d'en louer deux autres de l'épître x1, critiqués par Voltaire, II, 140, note c. Éloge exagéré de deux vers de l'épître XII, 160, note a. Regarde la Henriade comme l'apprentissage d'un écolier, 261, note e. Sa réponse à une critique de Condillac, 286, note c. Défend Segrais contre Voltaire, 303, note d. Ses observatiors sur le Lutrin, 348, note a, 361, note b, 364, note 1, 373, note a, 375, note 1, 376, note a, 387, note a, 393, note à, 435, note a, 438, note a; sur l'ode sur la prise de Namur, 471, note a, 473, note b, 475, note a. Éloges qui sont d'une partialité ridicule, 481, note e, 484.

CLITARQUE, historien, III, 386, note a.

COCAGNE (pays de). Note sur l'origine de cette expression, I, 164,

note 2.

CODE (le). Ce qu'on entend par cet ouvrage, II, 418, note d.
COEFFETEAU. Note sur ce religieux, I, 191, note 1.

COFFIN, célèbre professeur de l'université de Paris, IV, 432, note c.
COHORN, ingénieur célèbre. Son entrevue avec Vauban, IV, 157,

note a.

COISLIN (le duc de) se distingue au passage du Rhin, II, 45, note c.

COLBERT. Ce ministre ne pouvoit supporter Suétone, ce que n'approuvoit pas Despréaux, I, 73, note a. Éloge délicat de sa prudence, 197, note 1. Sa femme l'appeloit mon bon, 265, note 1. Despréaux ambitionne son suffrage pour Racine et pour lui, II, 95, note c. Plaisir qu'il trouvoit dans la conversation de ces deux poëtes, 138, note 1. Ne pouvoit souffrir le comédien Poisson, 276, note 1. Se fait lire, la veille de sa mort, par l'abbé Gallois, les deux derniers chants du Lutrin, 413, note 1. Demande à lire l'Art Poëtique, avant d'accorder un privilège pour le faire imprimer, IV, 8, note a. ce que Charles Perrault dit de son caractère, 27, note a. Fait donner à Racine une charge de trésorier de France, 80, note a.

Il est

COLLETET (François). Note sur ce poëte famélique, I, 85, note I. un de ceux qui se trouvent en foule sous la plume du satirique, 172, note 2, 238, note a. Dans l'Art poétique, chant IV, il est encore fait mention de sa misère, II, 299, note b.

COMÉDIENS (les). Leur embarras pour bâtir un théâtre, IV, 72,

note a.

COMITOLO. Note sur ce jésuite, I, 352, note a.

CONDÉ (le grand). Despréaux défère à son conseil sur la 1oo épître, II, 3, note d. Brossette applique à ce prince un portrait de l'épît. I, 28, note b. Deux vers imités de Corneille sont appliqués à ce guerrier, dans l'épître iv, 49, note a. Condamne le rôle de Pyrrhus, dans Andromaque, 88, note b. Despréaux ambitionne son suffrage pour Racine et pour lui, 95, note a. Ce prince donnoit les livres qui l'ennuyoient à Pacolet, son valet-de-pied, 120, note 2. Il lisoit tout ce qui paroissoit, III, 280. Il reconnoît le sublime à ses effets décrits par Longin, 399, note a. CONDÉ (Henri-Jules de Bourbon), fils du précédent, passe le Rhin, II, 48, note c. Son suffrage ambitionné par Despréaux, 95, note b. Se met à Namur à la tête des assiégeants, IV, 152

CONDILLAC. Note sur cet écrivain, I, 49. Remarques dépourvues de justesse, ibidem, 98, note b, 132, note a, 136, note a, 201, note b, 202, note a, 339, note 1; II, 147, note a, 169, note c. Remarques rigoureuses, 175, note a. Remarqués dépourvues de justesse, 190, note a, 207, note a, 262, note a, 285, note c.

Distinction grammaticale qu'il paroít avoir établie l'un des premiers, III, 456, note c. Blame une peinture du corps humain faite par Platon, et citée avec éloge par Longin, 490, note 1. CONDORCET. Note sur cet académicien, qui fut l'éditeur des cinq derniers volumes d'éloges composés par d'Alembert, I, xxx. Son jugement sur Roberval, 301, note 1; sur la traduction de Vitruve, par Claude Perrault, III, 203, note a.

CONGRÈS. Deux vers de Despréaux contribuent à faire abolir cet usage indécent et absurde, I, 194, note 1.

CONRART. Despréaux substitue au nom de cet académicien celui de Billaine, I, 87, note c. Écrivit fort peu, II, 9, note 1.

CONTI (le prince de) fait changer deux vers dans la satire x, I, 270, note 1. Suivant Brossette, il donnoit la préférence à une épigramme fort médiocre, II, 507. Ce qu'il fait dire à Despréaux par Racine, afin de l'engager à répondre à Charles Perrault, III, 156. Son jugement sur le Parallèle des anciens et des modernes, par ce dernier, 280, note b. Élu roi de Pologne, il est prévenu par l'électeur de Saxe, son concurrent, IV, 306, note b. Veut inutilement faire admettre Chaulieu à l'académie françoise, 472, note a, 483, note b. CONTI (la princesse de), fille de Louis XIV, veuve dès 1685, IV, 94, note b. Son portrait inspire de l'amour au roi de Maroc, 306, note b. CORAS. Note biographique sur cet auteur, I, 213, note 1. Fragments de son poëme de David, ibidem. Sa réponse à Despréaux, 237, note 1. Admis chez la précieuse (madame Deshoulières), 305, note a. Peu importe à Racine et à Despréaux qu'il lise leurs vers, 92. Son poëme de Jonas cité dans l'épître Ix, II, 113, note b; dans l'épître x, 134, note a; dans le ve chant du Lutrin, 425, note a. CORBIN, avocat, conseiller du roi, etc., auteur d'un assez grand nombre de mauvais ouvrages, nommé dans l'Art Poétique, chant Iv, II, 282, note 3.

CORBIN, avocat très précoce, fils du précédent, II, épître II, 23, note 4. CORDELIERS (les), II, 329, note 1.

CORNEILLE (Pierre). Son éloge, I, 50, note b, 124. Parodie de deux de ses vers dans la vina satire, 193, note a. Brossette avance qu'il reçut de l'argent pour dédier à Montauron la tragédie de Cinna, 197, note 2. Allusion peu digne de Despréaux, 246, notes a et b.

Vers charmants sur la tragédie du Cid, 253, note a. Passage imité de l'une de ses comédies, 327, note a. Mots empruntés du Cid, dans la satire x1, 343, note b. Allusion à quelques uns de ses vers, II, 6, note a. Despréaux lui en emprunte deux qu'il retouche, 49, note a. Il en imite deux autres, 62, note a. Traits dirigés contre la tragédie d'Othon, 221, note a; contre celle d'Héraclius, note c. Despréaux, malgré l'opinion de Corneille, exclut de la scène les actions vraies, mais invraisemblables, 223, note d. Traits dirigés en général contre quelques endroits des pièces de celui-ci, suivant Brossette, 238, note a. Vers traduits par Corneille d'une élégie latine de Santeuil sur les charmes des fables anciennes, 248, note a. Ne distinguoit pas Lucain de Virgile, 289, note 1. On a peine à croire qu'il soit désigné dans le Ivo chant de l'Art Poétique, 294, note 1. Il prend en mauvaise part deux vers flatteurs, 300, note b. Le commencement de la Mort de Pompée critiqué par Despréaux et par Voltaire, III, 374, note a.”

CORNEILLE (Thomas) adoucit un trait hardi de don Juan dans le

Festin de Pierre, I, 94, note 1. N'est point l'auteur de l'opéra de Bellerophon, II, 566, note b. Son avis sur deux locutions qui partageoient l'académie françoise, IV, 399, note a.

CORNU (la), infame entremetteuse, I, 282, note 1.

COSTAR. Critique une comparaison de Longin, III, 392, note 1. COTEAUX (ordre des). Ce qu'on doit entendre par cette expression, I, 117, note 1.

COTIN (l'abbé). Note biographique sur cet auteur, I, 18. Despréaux avoue qu'il y a du génie dans ses écrits, 37. Ressentiment du prédicateur contre le satirique, III, note a. Ce dernier supprime quatre vers de la vin satire, qui étoient une répétition de ce qu'il avoit déja dit de Cotin, 201, note 1. Écrits de celui-ci contre Despréaux, 226, note 1. Raillerie excellente du satirique, 241, note a. Épigramme employée dans la 1x satire contre Cotin, et que Despréaux avoit faite contre Cassaigne dans la conversation, 247, note 1. Cotin accusoit Despréaux du crime de lèse-majesté divine et humaine, 259, note r. Mis en balance avec Aristote par la précieuse (madame Deshoulières), 306, note a. Accusé par Despréaux d'être l'auteur d'une pièce dangereuse, qu'il attribuoit à ce der

nier, II, 511, note 2. Épigramme contre lui, qui avoit d'abord été faite contre Quinault, 512, note 1.

COURTOIS, médecin, I, 300, note 1. Étoit partisan de la saignée, III, 116, note 1.

COUSTARD (M.), conseiller au parlement, ami de Despréaux, IV, 619,

note b.

CRATES, ancien poëte comique, II, 264, note b.

CRENET. Note sur ce marchand de vin, I, 114, note 2.

CRISSÉ (la comtesse de). Jouée dans les Plaideurs de Racine, I, 116, note 1. Est l'original du portrait de la plaideuse, satire x, 327,

note c.

note c;

CRITIQUES dont profite Despréaux, I, 136, note d, 154, note a, 176, note a, 320, note a; II, 5, note c, 74, note 1, 288, r III. 410, note a, 518, note a; IV, 213, notes a et c. CUBIÈRES (le chevalier de). Ses opinions sur Despréaux ont été réfutées par La Harpe avec trop d'appareil, I, xlj.

CUJAS, I, 216, note 7.

D.

DACIER. Sa réponse à Despréaux à l'égard de Massillon, I, 364, note a. Jugement du satirique sur ce savant, III, 370, note a. Le récit de ce dernier, au sujet de ses Remarques sur Longin, dément ce que Pradon avance contre Despréaux, 560, note a. Commet une méprise en parlant d'Isocrate, 565, note 2. Fait une remarque bien motivée, que Despréaux n'adopte pas, 567, note 15. Propose une version intolérable, 570, note 21. Une de ses observations est confirmée par Larcher, 582, note 44.

DACIER. (madame), femme du précédent, relève les bévues de Charles Perrault, et fait des observations sur les critiques de Despréaux lui-même, III, 231, note a, 233, note b. Jugement du satirique sur cette savante, 370, note a. Sa traduction d'Anacréon et de Sapho, 371, note a. Remarques sur la manière dont Despréaux a traduit des vers d'Homère, 405, note 2; sur l'intrépidité de Diomède, 476, note I.

DAGUESSEAU. Nommé avec éloge, I, 337, note 1. Justesse de son goût,

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