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historique desdits individus cumulards, | a
etc. Paris, N. Pichard, 1820, in-18.
HOMME QUI S'EST MARIÉ SEPT FOIS
(Un, ps. [P. CUISIN].

Le Guide des épouseurs pour 1825, ou le Conjugalisme Etrennes aux futures. Paris, au Palais-Royal, 1825, in-18, fig.

Cet ouvrage est la reproduction de celui publié en 1823 sous le titre de : le Conjugalisme... par le Vicomte de S***.

HOMME RAISONNABLE (Un), aut. dég. [M.-P.-J. GALLIMARD].

Ce qu'on dit des femmes et ce que j'en pense. Paris, 1805, in-8.

HOMME RETIRÉ DU MONDE (Un), 'ps. [Jean-Pierre-Louis DE LA ROCHE-DU-MAINE, marquis de LUCHET, né a Saintes le 13 janvier 1740, mort à Paris en 1792]. Les Folies philosophiques. 1784, 2 vol.

in-8.

+HOMME SCAVANT ET BIEN EXPERT EN LA MATIÈRE (Un) [Eloi MAGNAN].

Commentaires très-excellents de l'hystoire des plantes, composez premierement en latin par Leonarth Fousch, et depuis nouvellem. trad. en lang. franç., par—. Paris, J. Gazeau, 1549, in-fol.

+ HOMME SEUL (Un) [GALLAIS].

Extrait d'un Dictionnaire inutile, composé par une société en commandite, et rédigé par. A 500 lieues de l'Assemblée nationale, 1790, in-8.

HOMME VOLANT (Un), ps. [Nic.-Edme RETIF DE LA BRETONNE].

La Découverte australe, ou le Dédale français; nouvelle très-philosophique, suivie de la lettre d'un singe. Leipzig et Paris (1781), 4 vol. in-12.

+Le fanx titre porte : « Euvres posthumes de N*** (Nicolas ?). (Euvre Sde ».

Voir sur cet ouvrage le travail de Monselet sur Rétif, p. 134. Ce n'est qu'une imitation du «< Voyage de Gulliver et de l'Ile inconnue » (par Swift et Grevel. Le livre n'eut aucun succès; l'auteur s'en plaiguit sans se décourager : J'ai entendu dire à quelques-uns que dans ce siècle esprité personne ne l'avait Compris à Paris, excepté deux médecins, MM. Guibert de Préval et Lebègue de Presles. »

La base du système physique développé dans cette

b

+ HONNÊTE FEMME (Une) [NicolasEdme RÉTIF DE LA BRETONNE ou RESTIF...].

Le Mimographe, ou Idées d' pour la réformation du théâtre national. Amst. et La Haye (Paris), 1780, in-8.

Vuir l'ouvrage de M. Monselet. p. 114. + HONNÈTE FILLE (Une) [Alfred DELVAU].

Mémoires d'-, avec le portrait de l'auteur, gr. sur acier par Staal. Paris, A. Faure, 1865, in-12.

+ HONNÊTE HOMME (Un) [l'abbé PRÉVOST].

Mémoires d'-. Amsterdam (Paris), 1745, in-12.-Nouvelle édition, aug. d'un second volume, par M. de M... (de Mauvillon). Dresde, 1753, 2 vol. in-12.

HONNÈTE HOMME (Un), auteur deguisé c[Nic.-Edme RÉTIF DE LA BRETONNE].

e

1. Le Pornographe, ou Idées d'- sur un projet de règlement pour les prostituées. Londres, Nourse, 1769, in-8.

Il existe d'autres éditions. Londres (La Haye), 1770, 1774, 1776, in-8. Voir l'ouvrage de M. Monselet, p. 112. L'édition de 1776 est la plus complète et la meilleure. Il existe des contrefaçons faites en province. On a d'ailleurs avancé que le « Pornographe » n'était pas de Rétif. Le nom de Linguet a été prononcé, et, d'après M. Paul Lacroix, Ginguené serait le véritable auteur des divers «< Graphes », Rétif s'étant borné à y faire des interpolations qui tranchent d'une manière marquée.

+Voir « Enigmes et Découvertes bibliographiques », par P. L. Jacob, bibliophile, 1866, in-12, p. 50.

Suivant la note manuscrite d'un amateur, M. de N., la première édition, Londres et La Haye, (Paris), 1769, serait moins complète et plus intéressante que les autres. Elle avait une épître dédicatoire qui a été supprimée, et tous les exemplaires commencent à la p. 7, après le faux titre et le titre.

L'exemplaire de la Bibliothèque Impér., au lieu de l'adresse Paris, Delalain.., donnée par M. Monselet, porte La Haie, Gosse junior et Petit. 01. B-r.

+ II. Le Thesmographe, ou Idées d' — sur un projet de règlement proposé à toutes les nations de l'Europe, pour opérer une réforme générale des lois; avec des notes historiques. La Haye et Paris, 1789, 2 part. en 1 vol. in-8, 590 pag.

HONNÊTE HOMME (Un), auteur déguisé

Arange production est qu'originairement il n'y eut qu'un f[ le marq. de LALLY-TOLLENDAL].

send animal et qu'un seul végétal sur notre globe. Ce sont les différences de sol et de température qui ont amené la variété des êtres et produit des animaux mixtes.

+ HONGROIS (Un) [le D' Maurice HERCZEGHY].

La Question austro-hongroise, esquisse historique et critique dédiée à l'unité italienne, par-. Turin, C. Schiapatti, 1863,

in-8.

Essai sur quelques changements qu'on pourrait faire dès à présent dans les lois criminelles de la France, par-, qui, depuis qu'il connaît ces lois, n'est pas bien sûr qu'il ne sera pas pendu un jour. 1787,

in-8.

HONNÊTE HOMME (Un), auteur déguisé [Nic.-Jos. SÉLIS].

Lettre à un père de famille, sur les pe

tits spectacle de Paris. Paris, Garnery, a 1789, in-8.

+ HONORABLE MEMBRE DE LA CHAMBRE (Un) [H.-J. DOLEZ].

Réponse à —— sur un fait particulier relatif à l'enseignement religieux dans les colléges, par Mgr l'évêque de Liége (van Bommel). Liege, 1841, in-8.

HONORAIRE (Un) des académies des sciences d'Amiens, Arras, etc.

Le Produit et le droit des communes et autres biens, ou l'Encyclopédie rurale, économique et civile. Paris, 1782, in-8. HONORÉ, auteur dramatique, ps. [Dominique BOUTARD].

Pour la liste de ses pièces, voy. le t. II de la « France littéraire », à Boutard.

+ HONORÉ [Charles-Honoré REMY, auteur dramatique, né en 1793, mort en 1858].

Pour la liste de ses pièces, voyez la <«< France littéraire », t. XII, p. 98, et le «< Catalogue général » de M. Otto Lorenz, t. II, p. 611.

HONORÉ DE SAINTE-MARIE, nom de religion [Blaise VANZELLE, religieux carme déchaussé, connu sous le nom de].

Pour la liste de ses ouvrages, voy. le tome IV de la « France littéraire », à HONORÉ DE SAINTE-MARIE.

+HONORIUS (le pape), auteur supposé. Le Grémoire (sic) du Pape Honorius,avec un recueil de secrets magiques. Rome, 1670, in-12, 136 pag.

Il existe plusieurs éditions qui offrent entre elles des différences.

C'est un recueil de conjurations magiques et de recettes de la force de celle-ci : « Pour marcher sans se lasser, écrivez sur trois billets, Gaspard, Melchior, Balthazar >>.

HOOKER (R.), ps. [William WEBSTER].

Voy. aux Anonymes, « Essai sur l'honneur ».
+ HORACE.

Des critiques modernes regardent comme supposées et interpolées quelques-unes des compositions publiées sous le nom de ce poëte célèbre. Un érudit hollandais, M. P. Hofmann Peerlkampf, a rejeté comme non au

thentiques ou interpolées des odes et des strophes

entières du poëte. Dans l'édition qu'il a donnée des Odes (Harlemii, V. Loojes, 1834, in-8), les vers indiqués comme intercalations sont imprimés en italiques; ils montent à plus de 600, soit au sixième environ de la totalité de ceux dont se compose cette partie des œuvres d'Horace.

Voir un article de M. Berger de Xivrey dans le << Journal des Débats », 9 août 1838, et la « Biblio

théque universelle » de Genève, t. LVIII.

Les hypothèses du philologue hollandais ont été prises en sérieuse considération par des érudits tels que

b

C

Meineke et Linker; Bentley avait déjà émis des idées dans le même sens.

+ HORACE [LA HARPE].

Réponse d'à M. de V** (de Voltaire). 1772, in-8, 29 p.

L'Epître de Voltaire avait été imprimée la même année.

HORACE, auteur déguisé [Horace RAISSON].

La Salle nouvelle, vaudeville improvisé pour le théâtre de Sens. Sens, de l'imp. de Tarbé (décembre 1833), in-8.

+ HORAPOLLE, auteur supposé.

Les Hieroglyphes, dits de-, traduits du grec par Regnier. Paris, 1779, ou avec un nouveau titre daté de 1782, in-12.

Il existait déjà deux traductions françaises. Paris, 1543 et 1553, in-8.

Le texte grec fut imprimé pour la première fois à Venise, en 1505, à la suite de l'Esope publié par Alde Manuce; la plus ancienne édition séparée est de Paris, 1521, in-4. Voir au « Manuel du libraire » pour ce qui concerne les éditions suivantes.

Hoffmann a enregistré dans son « Lexicon bibliographicum », Lipsia. 1833, t. II, p. 525, les éditions et traductions d'Horapollon. Voir aussi Fabricius, «Bibliotheca græca », t. I, p. 100, édition de Harles.

L'ouvrage se présente comme écrit en égyptien par Horus Apollon ou Horapollo Niliaque et traduit en grec par un certain Philippe, resté inconnu; la critique moderne pense qu'il y a là réellement le travail d'un égyptien qui vivait vers le commencement du cinquième siècle, et, quant au traducteur grec, il faut le reporter au quinzième siècle. Le second livre des Hiéroglyphes », bien inférieur au premier, a subi des remaniements et des additions. On remarque bien des idées qui semblent étrangères à l'antiquité égyptienne. Observons toutefois que Champollion a reconnu que ce livre fournit quelques indications précieuses (voir le « Précis du système hiéroglyphique des anciens Egyptiens », p. 347 et suiv.). Citons aussi les écrits de M. de Goulianof: Essais sur les hiéroglyphes d'Horapollon. Paris, 1827, in-4, et de Ch. Lenormant : « Recherches sur l'origine et l'utilité actuelle des hiéroglyphes d'Horapollon », Paris, 1838, in-8, et renvoyons pour les détails qui ne sauraient trouver place ici à l'article de M. W. Brunet de Presles, inséré dans l'Encyclopédie des gens du monde » et reproduit avec des additions dans la « Nouvelle Biographie génénérale », t. XXV, col. 166-169.

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botomia, etc., libri (Ed. Hermanno Nue-a nario. Argentorati, 1532, in-fol.

HORATIUS GENTILIS PERUSINUS, ps. [Nicolaus BOURBON].

Horatii Gentilis Perusini de Mamurio dictatore epigrammata.

Impr. dans le tome II, p. 280 de l'Histoire de Pierre de Montmaur », professeur royal en langue grecque dans l'Université de Paris, par Albert-Henri de Sallengre. La Haye, 1715, 2 vol. in-8. C'est un recueil de toutes les pièces qui ont été faites contre ce fameux parasite du dix-septième siècle, ou à son occasion, avec une préface de l'éditeur, qui en explique toutes les particularités.

En 1722, époque où parurent les Jugements des savants de Baillet, avec les notes de La Monnoye, on ne connaissait pas encore l'auteur dont on trouve dans ce recueil des Hendécasyllabes et des Scazons, sous le Dom d'Horatius Gentilis, le même La Monnoye nous apprend, dans de nouvelles notes manuscrites, que M. de La Croze, bibliothécaire du roi de Prusse, lui a mandé avoir vu le nom de Nicolas Bourbon à la marge des Hendécasyllabes et des Scazons du faux Horatius Gentilis. A. A. B-r.

HORDT (le comte de), auteur supposé [J.-Alex. BORRELLY].

Mémoires du (rédigés par Borrelly, mais publiés sans son concours). Berlin, Samuel Pitra, et Paris, Buisson, 1788, 2 vol. in-8.

b

Voyez la préface de la nouvelle rédaction de ces Mémoires, publiés par Borrelly, à Paris, chez Buisson, en/ 1805, 2 vol. in-8. A. A. B-r.

HOREL (Jacob de), ministre de la parole de Dieu, ps. [le P. ISNARD, jésuite].

Le Mercure réformé, apportant consolation à messieurs et révérends pères les ministres du Diois et Valentinois. A la Rochelle, par Guillaume du Coing, 1620,

in-12.

Voyez les Mémoires de l'abbé d'Artigny, t. VI, p. 172.
A. A. Br.

+Cet ouvrage de controverse fut composé à l'occasion de la conversion de Mme Du Port. On en trouve le titre, qui n'occupe pas moins de 20 lignes, dans la « Biographie du Dauphiné », par Ad. Rochas (Paris, 1856), t. II, art. Marcel-Blain.

HORLOGER ANGLOIS (Un), ps. [P.-L. MAUREAU DE MAUPERTUIS].

Lettre d' à un astronome de Pékin, traduite par M.***. Année 1740, in-12. C'est une satire assez plaisante composée par de Mau- f

pertuis contre MM. Cassini, au sujet de la mesure de la Terre. On n'en a tiré que quatre exemplaires, dont un a été donné à M. d'Argenson, qui engagea M. de Maupertuis à faire imprimer ce badinage, lequel n'est que le résultat d'une conversation qu'il avait eue chez ce ministre M Guérin, qui l'avait imprimé, avait conservé un exemplaire d'épreuves : c'est celui que j'ai lu. Article du P. Brotier, jésuite). A. A. B-r. HORMISDAS-PEATH (sir), ps. [Jacq.Aug.-Simon COLLIN, de Plancy).

Voyage au centre de la Terre, ou Aventures diverses de Clairency et de ses compagnons, dans le Spitzberg, au Pôle-Nord, et dans les pays inconnus; trad. de l'angl. par Jacq. Saint-Albin (autre masque de M. Collin). Paris, Caillot et fils, 1821, 3 vol. in-12.

+HORN [EINHORN, économiste et publiciste].

Pour la liste de ses publications, voy. le « Catalogue général » de M. Otto Lorenz. + HORNE (W. O.) [Guillaume OERTEL, mort en 1868].

Diamantina, trad. de l'allemand. Neufchatel, 1862, in-18

Plusieurs romans de cet écrivain ont passé dans la langue française. Voir le « Catalogue général de la librairie française », par M. Otto Lorenz, t. II, p. 614. + HORNEVILLE (la comtesse d') [SIMON].

Mémoires-. Paris, l'auteur, 1739, 1740, 2 vol. in-12.

HORSTIUS, pseud. [Jacques MERLO, docte curé de Cologne, mort en 1644, auteur du << Paradisus animæ Christianæ. »].

Voyez le tome IV de la « France littéraire », à HORSTIUS.

HOTTINGA (Dominique de), Frison, voleur littéraire [COLLANGE].

Polygraphie de Tritheme, traduite en françois, par-. Embden, 1620, in-4.

Cette traduction n'est autre qu'une nouvelle édition de celle donnée par Collange, en 1540, dans le même format. Dom. de Hottinga y mit son nom, et osa parler. dans la préface, des longues veilles que ce travail lui avait coûtées, sans faire la moindre mention de l'auteur ou du traducteur.

Lud. LALANNE. Curios. littér. p. 144. HOUSSAYE (1) (Arsène), plagiaire. [Arsène HOUSSET, né le 28 mars 1815].

Histoire de la peinture flamande et hollandaise. Paris, Hetzel, 1846, in-fol. de 100 planches, avec texte.-2e édition. Paris, Sartorius, 1847, 2 vol. in-8, avec 2 portr.

Le Charivari » dans son numéro du 8 août 1847, contient la réclamation suivante :

Monsieur,

A M. le rédacteur du « Charivari »,

Dans votre numéro du 30 juillet dernier, vous dites que l'histoire de la peinture flamande et hollandaise était un ouvrage à faire, et que M. Houssaye vient de combler cette lacune. Vous avez pu être induit en erreur à cet égard, mais vous avez trop de loyauté pour ne pas me permettre de répondre. Lorsque le livre de

(1) D'aucuns veulent que la véritable orthographe du nom de cet écrivain soit Housset.

M. Houssaye parut, à la fin de décembre 1846, j'avais | a | dignités de l'Église, colligées de quantité

déjà publié trois volumes sur cette matière. L'auteur des Onze maîtresses délaissées » le savait si bien qu'il s'est emparé non seulement de mon titre, mais d'une partie de mes idées, du résultat de mes recherches, de faits que j'avais découverts, et a même copié textuellement plusieurs passages. Voilà ce que je le défie de nier; s'il l'essaie, je mettrai sous les yeux du public toutes les preuves de ce que j'avance.

Agréez, je vous prie, le témoignage de ma parfaite considération, Alfred MICHIELS.

Peu de temps après parut une brochure intitulée : b « Un Entrepreneur de littérature »; par Jules Perrier. Sceaux, de l'impr. de E. Dépée, 1847, in-8, 44 pag.

Dans cette brochure, l'auteur, après avoir signalé un bon nombre de bévues et de contre-sens de M. A. Houssaye, démontre que le volume publié par lui ne renferme rien de neuf; que les planches sont celles de la « Galerie des peintres flamands, hollandais et allemands» de Lebrun, commencée en 1777, et terminée en 1796, collection de 212 planches, et dont les beaux exemplaires, c'est-à-dire de bonnes épreuves, s'achètent, à l'heure qu'il est, cent francs. Celles du volume de

M. Houssaye ont été faites avec des planches usées, hors de service cent d'entre ces planches ont été retouchées tant bien que mal: elles ont fourni des épreuves grossières, très-inférieures à celles de Lebrun. Quant au texte, il est emprunté, partie à la « Vie des peintres flamands, allemands et hollandais », de Descamps, 4 vol. in-8, et partie aux trois premiers volumes de l'ouvrage que M. Alfred Michiels avait publié auparavant sous le même titre que celui de M. A. Houssaye.

M. A. Houssaye répondit à cette brochure par une autre intitulée :

Un Martyr littéraire, touchantes révélations. Paris, typogr. d'A. René (1847), in-8, 16 pag.

Des personnalités contre M. A. Michiels, voilà ce que l'on trouve dans cet écrit, mais de la justification de M. Houssaye pas un mot.

Cette polémique violente se termina par une réponse de M. Alfred Michiels, intitulée :

« Les Nouvelles Fourberies de Scapin». Paris, Moreau, 1847, in-12, 36 pag., en caractères compactes.

+ HOUSSAYE (Edouard) [Aristide HOUSSET, frère du précédent.]

+ HOUSSAYE (Henri) [Henri Housset, fils d'Arsène, né en 1845].

Histoire d'Appelles. Paris, 1867, in-8. Quelques autres travaux sur la Grèce antique et sur l'archéologie.

+ HOUX-MARC (E.) [Eugène MARCHOUX, mort en 1857].

Les Cris de Paris avec leur intonation et leur musique. Paris, 1831, in-18.

Plusieurs autres ouvrages indiqués dans le « Catalogue de la librairie française », de M. Otto Lorenz, t. II, p. 619.

HOZIER (L.-Pierre d'), apocr. [Louis DE CORMIS, sieur DE BEAURECUEIL, président à mortier au parlement d'Aix]."

Tables contenant les noms des Provençaux illustres par leurs actions et faits militaires, par leur élévation aux grandes

d'histoires chrétiennes et militaires, imprimées ou manuscrites, chartres d'église, grefs et autres monuments publics. Aix, 1677, in-fol.

+H. P. [H. PIKKERT].

Le Nouveau secrétaire, contenant diverses lettres choisies et familières, par—. Paris, 1688, in-12. V. T.

+ H. P. D. L. D. E. D. [Henri-Philippe DE LIMIERS].

Histoire du règne de Louis XIV. Amst., 1717, 7 vol. in-12. - Ibid., 1719, 12 v. in-12. (Rouen), 1720, 2 vol. in-4.

+H. R. [Heribert RoswEYDE].

I. La Forêt des Hermites et des Hermittesses d'Egypte et de la Palestine, représentée en figures en taille-douce de l'invention d'Abraham Blommaert; tiré de la vie des Pères, par- Anvers, Jérôme Verdussen, 1619, in-4.

II. Imitation de Jésus-Christ, divisée en quatre livres, par Thomas A. Kempis, chanoine régulier. Traduction nouvelle par—, de la Compagnie de Jésus. Caen, P. Chalopin, 1750, in-24.

L'éditeur a sans doute voulu désigner par les lettres initiales H. R. le P. Heribert Rosweyde; mais la traduction qu'il présente est celle de Jean Cusson, publiée pour la première fois en 1673, c'est-à-dire quarantequatre ans après la mort du jésuite A. A. B-r.

+H. R. [Hyacinthe RENARD]. L'Ange des Belges. Liege (Bruxelles), 1851, gr. in-8, 110 pag., portraits.

+ H. R. [le Dr H. RODRIGUES]. Des articles dans la « Nouvelle Biographie générale ».

+ HROSVITHE (ou RHOTSVITHA), aut. supp. [Conrad CELTES et autres].

Théâtre de —, religieuse allemande du Xe siècle, traduit pour la première fois en français avec le texte latin, revu sur le manuscrit de Munich, précédé d'une introduction et suivi de notes, par Ch. Magnin. Paris, B. Duprat, 1845, in-8 (1).

M. Magnin avait consacré à Hrosvithe un long article dans la «Biographie universelle (au supplément); il en avait parlé dans la Revue des Deux Mondes, 1839, t. IV, et il avait inséré dans le

(4) M. Patin a rendu compte du travail de M. Magnin dans le « Journal des Savants », octobre 1846. Voir aussi la « Bibliothèque universelle de Genève », 4e série, t. IV, 1847, et un article de M. Ed. du Méril, dans le « Journal des Savants de Normandie, » 1844, p. 949-958. Consulter également la « Revue de Philologie », t. I, p. 466, et la Revue de bibliographie analytique», 1845, p. 718, ainsi que les «Etudes de critique, de M. Meyer, 1850, p. 78.

▾ Théâtre européen », la traduction de trois pièces. | a | Paris, Eymery; Niort, Morisset, 1825, (Voir aussi Bruce Whyte Histoire des langues ro- in-8, 140 p. manes, t. I. p. 395, t. II, p. 396; Cyprien Robert

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dans l'Université catholique », t. VI, p. 419; Villemain, Littérature du moyen åge »; Ph. Chasles Hresvithe et ses contemporains dans la Revue des Der Mondes, 15 août 1845; l'article de M. Rosenwald dans la Nouvelle Biographie générale, t. XXV, cul. 327.

La première édition latine des œuvres de Hrosvitha illustris virgo et monialis» fut publiée à Nuremberg, par Conrad Celtes, en 1502, in-folio; une repression, augmentée de quelques éclaircissements, a cepablice en 1707; les six pièces de théatres ont été mises de nouveau au jour à Lubeck en 1857, (Voir le ! Manuel du Libraire.) et M. Vignon Rétif de la Bretonne a traduit librement en vers français (Paris, 1854, in-8) la portion que M. Magnin avait laissée de

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Les divers littérateurs qui s'étaient pendant quelques années fort occupés de Hroswithe, n'avaient pas élevé le moindre doute sur l'authenticité de ces écrits, mais cette illusion est aujourd'hui dissipée. Un érudit antrichien, M. J. Aschbach (« Hroswitha und Conrad Leltes, Vienne, 1867, in-8, et dans les « Procèsverbaux des séances de la classe de philosophie et d'histoire de l'Académie de Vienne », t. LVI, p. 3 et saiv.) a prouvé que les poésies attribuées à la religieuse de Gandersheim ont été forgées par Conrad Celtes et par divers membres de la Société Rhénane fondée en 1491; la « Légende de Saint-Gungolf» et les comedies Abraham, Calphurnius », ainsi que le drame Sapientia appartiennent à Celtes; les comédies ⚫ Gallicanus, Dulcidius et Callimachus, à Reuchlin »; le surplus a pour auteurs Hartmann d'Eslingen, J. Tunsel de Silberberg, Jodocus Sturlinus Sturnus de Smalcalde, Théodore Ulsenius et Janus Tolophus de Ratisbenne.

+II. S. [Horace SAY].

Des articles dans la « Décade philosophique ».

Il rédigea ce qui concernait la politique intérieure depats le mois de nívóse an IV (décembre 1796), jusqu'en floréal an V (avril 1797).

+ H. S. [Henri SIMON].

Avec C. Hubert: Les Enseignes parlantes, vaudeville. Paris, 1817, in-8.

+H. S. M. A. [Henri SAUVÉ, missionnaire apostolique].

Pie IX dans la voie du Calvaire, ou les XIV stations du Chemin de la Croix appliquées à N. T. S. P. le Pape, par-. Liège, Lardinois, 1860, in-12.

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II. Fables de Lessing, traduction interlinéaire, par- Metz, Hadamar, 1823, in-12.

Une autre édition, avec le texte en regard en caractères allemands et la traduction française, a été publiée par le même traducteur la même année.

+ H. T. [H. THIERS].

་་

Des articles dans la « Nouvelle Biographie générale »>.

+HT. [Me la comtesse d'Harcourt, née Elanie de Choiseul-Praslin].

Madame la duchesse d'Orléans Hélène de Mecklembourg.

Cet ouvrage, dont la première édition est de 1858, a été plusieurs fois réimprimé.

+ H....T [HUBERT, ex-chirurgien en chef des hôpitaux civils, docteur en médecine de la Faculté de Paris].

Réponses aux calomnies aussi grossières qu'absurdes contenues dans les quatre premières pages du second volume d'un prétendu roman intitulé: Barthèle (roman par Duronceray). (V. Lucius Dubitator, où il avait mis en scène quelques personnes de sa famille), par-. 14 p. in-8. (Sans nom d'imprimeur, s. l. n. d.). L. D. L. S. +H.....T (Me) [Madame HECQUET]. Histoire d'une jeune fille sauvage, trou vée dans les bois à l'âge de dix ans, publiée par-. Paris, 1753, in-12.

Suivant une lettre manuscrite de M. Abeille, La Condamine serait l'auteur de cette histoire.

H.....T DEVANTEUIL, [HERQUET DEVANTEUIL].

A. A. B-r.

aut. déguisé

Le Poëte désabusé, épitre. Paris, 1819, in-8, 14 pag.

HUART (Félix), ps. [Alfred LETELLIER]. Pour la liste de ses ouvrages, voy. le tome XI de la « France littéraire », à LETELLIER.

+HUBAINE (Em.) [le prince Napoléon BONAPARTE].

Le Gouvernement temporel des papes jugé par la diplomatie française. Paris, 1862, in-8; 2e édit., 1863.

+HUBER [et TURGOT].

La Mort d'Abel, poëme en cinq chants, trad, de l'allemand de Gessner, par Huber (en société avec Turgot, auquel il enseignait alors la langue allemande). Paris, Nyon aine, 1775, in-12.

HUBERT, ps. [Philippe-Jacques DE LAROCHE, aut. dramat.].

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