Vie de Madame de Krudener, Zväzok 1Cherbuliez, 1849 - 400 strán (strany) |
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Strana 340 - J'avais à peine exprimé cette idée, que j'entends frapper à ma porte. C'était le prince Wolkonski, qui, de l'air le plus impatienté, me dit qu'il me troublait bien malgré lui, à cette heure indue, mais que c'était pour se débarrasser d'une femme qui voulait absolument me voir. Il me nomma en même temps Mme de Krùdener.
Strana 265 - Dieu nous a donné la 12 vie éternelle et cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie.
Strana 340 - Krudener ! m'écriai-je. Cette réponse si subite à ma pensée ne pouvait être un hasard. Je la vis sur-le-champ, et, comme si elle avait lu dans mon âme, elle m'adressa des paroles fortes et consolantes qui calmèrent le trouble dont j'étais obsédé depuis si longtemps.
Strana 14 - La place de Saint-Marc est la capitale de Venise, le salon de la bonne compagnie la nuit , et le lieu du rassemblement du peuple le jour. Là, des spectacles se succèdent; les cafés s'ouvrent et se referment sans cesse ; les boutiques étalent leur luxe ; l'Arménien fume silencieusement son cigare ; tandis que, voilée et d'un pas léger, la femme du noble Vénitien , cachant à moitié sa beauté et la montrant cependant avec art , traverse...
Strana 339 - Stourdza, demeurée en arrière avec l'Impératrice, et mon premier mouvement fut de prendre un livre que je porte toujours avec moi ; mais mon intelligence, obscurcie par de sombres nuages, ne se pénétrait point du sens de cette lecture. Mes idées étaient confuses et mon cœur oppressé. Je laissai tomber le livre, en pensant de quelle consolation m'aurait été, dans un moment pareil, l'entretien d'un ami pieux. Cette pensée vous rappela à mon souvenir; je me souvins aussi de ce que vous...
Strana 143 - Saône, ces délicieux environs de l'Isle-Barbe ! Que d'ombrages heureux, que de vallées mystérieuses, quels points de vue romantiques ! Quels lieux et quels amis ! Je me compose de tout cela une douce et touchante poésie, qui me fait rêver et quelquefois répandre des larmes. J'oublie alors que je suis loin de vous et de la ville que j'aime le plus au monde, de ce Lyon bâti tout exprès pour mon imagination et pour mon cœur.
Strana 303 - Aimer, c'est pour moi former aux choses saintes » Vous voudriez pouvoir me parler de tant de grandes et profondes beautés de l'âme de l'Empereur. Je crois en savoir déjà beaucoup sur lui. Je sais depuis longtemps que le Seigneur me donnera la joie de le voir. J'ai d'immenses choses à lui dire, car j'ai beaucoup éprouvé à son sujet ; le Seigneur seul peut préparer son cœur à les recevoir (1).
Strana 225 - Dieu ce qu'elle-même désirait si ardemment, qu'elle devienne toujours plus pure, plus susceptible, en se perfectionnant, de cette félicité céleste. Je la vois, des yeux de la pensée, radieuse, calme, souriant à ses douleurs passées. Je pense comme, au lit de la mort, quand tout disparaît, quand les illusions s'effacent et que les plaisirs s'enveloppent de deuil , je pense comme elle a accueilli ses douleurs, comme les sacrifices, les amertumes de sa vie en l'environnant lui auront paru radieuses...
Strana 339 - . me disait- il en me racontant la scène qu'on va lire, « et mon premier mouvement fut de prendre un livre que je porte toujours avec moi ; mais mon intelligence, obscurcie par de sombres nuages, ne se pénétrait point du sens de cette lecture ; mes idées étaient confuses, mon cœur oppressé.
Strana 215 - ... de la partie. Théâtrale d'un bout à l'autre de sa vie, elle ne tendit sa main aux pauvres que quand les heureux l'abandonnèrent, et même alors que voulait-elle? un parterre, fût-il en haillons : ce n'est pas là sainte Thérèse, qui aime le monde pour s'y divertir, et non pour briller, qui aime Dieu parce qu'il est grand, et non pour être vue le priant. Mystique et visant à faire école , à fonder, à innover en quelque chose, qu'atelle trouvé? rien : elle n'était pas même au courant...