Contes de BalzacW.R. Jenkins, 1893 - 219 strán (strany) |
Iné vydania - Zobraziť všetky
Časté výrazy a frázy
Adélaïde âme assez Assistant Professor author avoué Balzac baronne Boucard Brigitte Carentan client cloth cœur colonel Chabert comte Chabert comte Ferraud comtesse Ferraud d'Adélaïde Delbecq Derville Dieu Director of French dit-il doute EDMONDO DE AMICIS enfants English notes êtes Eugénie Grandet explanatory notes Eylau F. C. DE SUMICHRAST femme first fortune French at Harvard gens Godeschal great Groslay half HECTOR MALOT HENRI DE BORNIER Hippolyte j'ai jeta jeune fille jeune homme jour l'avoué l'inconnu laissa Languages life Louis XVI madame de Dey maison maître clerc malheur mariage ment mère misère monsieur mort Mucius Scævola notes in English pages panthère Parisian life pauvre peintre pendant pensée peut-être physionomie prêtre Professor in French Provençal regard répondit reprit réquisitionnaire resta rouge Rouville s'écria Schinner secret sentiment serait seul silence Simonnin soir sorte stories story tête tion trouvait vieillard vieille dame vieux soldat visage voix work years yeux
Populárne pasáže
Strana 43 - La mort de la comtesse fut causée par un sentiment plus grave, et sans doute par quelque vision terrible. A l'heure précise où madame de Dey mourait à Carentan, son fils était fusillé dans le Morbihan. Nous pouvons joindre ce fait tragique à toutes les observations sur les sympathies qui méconnaissent les lois de l'espace ; documents que rassemblent avec une savante curiosité quelques hommes de solitude, et qui serviront un jour à asseoir les bases d'une science nouvelle à laquelle il...
Strana 223 - Attention is called to the following series. They are of great value to the student as well as to the general reader of French. The romances and plays are interesting as stories, representative of the authors, of high literary value and pure in morality. They are tastefully printed, cheap and suitable for the class-room or library. Many have notes in English. ROMANS CHOISIS.
Strana 30 - Elle tomba dans son fauteuil, comme anéantie. Pendant que le vieux négociant cherchait ses lunettes et les nettoyait, elle leva les yeux sur lui, le contempla pour la première fois avec curiosité ; puis, d'une voix altérée : — Je me fie à vous, lui dit-elle doucement.
Strana 217 - En le regardant attentivement, ils s'aperçurent qu'il venait de déjeuner autre part qu'à l'établissement. — Bonjour, colonel Chabert, lui dit Derville. — Pas Chabert! pas Chabert! je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant.
Strana 219 - J'ai vu brûler des testaments ; j'ai vu des mères dépouillant leurs enfants , des maris volant leurs fcmmes , des femmes tuant leurs maris en se servant de l'amour qu'elles leur inspiraient pour les rendre fous ou imbéciles, afin de vivre en paix avec un amant. J'ai vu des femmes donnant à l'enfant d'un premier lit des goûts qui devaient amener sa mort , afin d'enrichir l'enfant de l'amour.
Strana 30 - Plus 20 hardi, le vieux négociant se présenta dans la matinée chez madame de Dey. Fort du service qu'il voulait lui rendre, il exigea d'être introduit auprès d'elle, et resta stupéfait en l'apercevant dans le jardin, occupée à couper les dernières fleurs de ses plates-bandes pour en garnir des vases.
Strana 35 - Elle examina de nouveau si tout était en ordre dans l'appartement. Un bon feu brillait dans la cheminée; les volets étaient soigneusement fermés; les meubles reluisaient de propreté; la manière dont avait été fait le lit, prouvait que la comtesse s'était occupée avec Brigitte des moindres détails; et ses espérances se trahissaient dans les soins délicats qui paraissaient avoir été pris dans cette chambre où se respiraient cl la gracieuse douceur de l'amour et ses plus chastes caresses...
Strana 40 - ... mais elle avait pâli, mais les muscles de son visage s'étaient contractés par la nécessité où elle se trouvait d'afficher une fermeté trompeuse, et l'œil implacable de l'accusateur public ne perdit aucun de ses mouvements. — Eh ! bien, recevez-le, reprit le magistrat révolutionnaire; mais qu'il ne reste pas plus tard que sept heures du matin sous votre toit. Demain, au jour, armé d'une dénonciation que je me ferai faire, je viendrai chez vous... Elle le regarda d'un air stupide qui...