Œuvres de M.J. Chénier ..: précédés d'une notice sur Chénier, Zväzok 2Guillaume, 1824 |
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ACTE affreux AMÉLIE ANNE DE BOULEN ANTICLES avez Caïus CAÏUS GRACCHUS cher CHOEUR ciel cieux citoyens CLÉRAC cloître cœur consoler Corinthe CORNÉLIE coupable CRAMMER crime criminel cris cruel D'ELMANCE Daignez danse DÉMARISTE destins diadême Dieu Dieux dois douleur DRUSUS ÉLISABETH enfans épouse époux FÉNÉLON fille fils frère front FULVIUS fureur GEOLIER gloire GRACCHUS guerriers Hélas HÉLOÏSE HENRI infortunée ISAURE j'ai JEAN CALAS JEANNE SEYMOUR jour juge L'ABBESSE l'innocence l'orgueil LAVAÏSSE liberté LICINIA LICTEURS lieux loin lois long-temps LOUIS CALAS m'accable MADAME CALAS magistrats main malheur mère mort mortels mourir NORFOLK NORRIS OPIMIUS ORTAGORAS pardonne parens parler patriciens patrie père peuple PIERRE CALAS pitié pleurs punir Reine RELIGIEUX remords rien rois Romains sacré SALLE sang SCÈNE PREMIÈRE sénat serment seul soldats sort supplice tendresse TIMOLÉON TIMOPHANE tombeau tourmens tragédie trépas tribune trône tyrans vertu veux victime vieillard viens vœux voilà vois voix yeux
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Strana 155 - SALLE. 11 est, près des monts helvétiques, Un illustre vieillard, fléau des fanatiques, Ami du genre humain; depuis cinquante hivers Ses sublimes travaux ont instruit l'Univers: A ses contemporains prêchant la tolérance, Ses écrits sont toujours des bienfaits pour la France.
Strana 69 - Femmes, enfants, vieillards, regardaient en tremblant Ces augustes débris, ce front pâle et sanglant. Des vengeances des lois l'exécuteur farouche, Lui-même, consterné, les sanglots à la bouche, Détournait ses regards d'un spectacle odieux, Et s'étonnait des pleurs qui tombaient de ses yeux.
Strana 224 - Qui, versant des torrens de lumière enflammée, Mûris nos fertiles moissons ; Feu pur, œil éternel , âme et ressort du monde , Puisses-tu des Français admirer la splendeur ! Puisses- tu ne rien voir dans ta course féconde , Qui soit égal à leur grandeur ! Malheur au despotisme!
Strana 196 - Arrêtez : malheur à l'homicide ! • Le sang retombera sur sa tête perfide. "Des lois , et non du sang : ne souillez point vos mains. Romains , vous oseriez égorger des Romains ! Ah ! du sénat plutôt périssons les victimes ; Gardons l'humanité , laissons-lui tous les crimes.
Strana 239 - Vive à jamais , vive la liberté ! Reçois nos vœux , chère et sainte patrie ! Nous jurons d'obéir, de donner notre vie Pour nos lois, pour l'égalité; Que la France entière s'écrie : Vive à jamais, vive la liberté!
Strana 223 - Guèbre honore au pied de ses montagnes, En invoquant l'astre du ciel : Ici sont rassemblés sous ton regard immense, De l'Empire Français les fils et les soutiens. Célébrant devant toi leur bonheur qui commence, Égaux à leurs yeux comme aux tiens...
Strana 27 - Il voudrait sous vos yeux confondre les forfaits. HENRI. Il me délivrera d'un fardeau qui m'accable. Dès que je vis Seimour, Boulen devint coupable : Elle usurpe en ces lieux la place de Seimour. Que l'arrêt se prononce avant la fin du jour : D'un jugement public que l'appareil austère Présente la justice aux regards du vulgaire : A sa raison timide on doit en imposer, Le braver, s'il le faut , mais souvent l'abuser, IMêler adroitement la force et la prudence , Éterniser l'erreur qui fait...
Strana 387 - La tyrannie altière et de meurtres avide, D'un masque révéré couvrant son front livide, Usurpant sans pudeur le nom de liberté, Roule au sein de Corinthe un char ensanglanté.
Strana 257 - C'est là proprement le but que tout homme qui travaille pour le public doit se proposer. Et c'est ce que les premiers poètes tragiques avaient en vue sur toute chose. Leur théâtre était une école où la vertu n'était pas moins bien enseignée que dans les écoles des philosophes.
Strana 127 - LE RELIGIEUX. Je conçois la douleur qui doit vous déchirer. LOUIS CALAS, à La Salle. M'est-il donc à jamais défendu d'espérer ? Ne peut-on désarmer un cruel fanatisme? LA SALLE. Non ; ces grands tribunaux , rivaux du despotisme , Affectent son orgueil ainsi que sa fureur : Avant de s'avouer convaincus d'une erreur Ils laisseront traîner l'innocent au supplice; Après sa mort, peut-être, ils lui rendront justice : Tel est des parlemens l'esprit accoutumé.