Études sur la littérature française au dix-neuvième siècle, Zväzok 1Chez les éditeurs, 1849 - 1262 strán (strany) |
Iné vydania - Zobraziť všetky
Études sur la littérature française au dix-neuvième siècle, Zväzok 1 Alexandre Rodolphe Vinet Úplné zobrazenie - 1857 |
Études sur la littérature française au dix-neuvième siècle, Zväzok 1 Alexandre Rodolphe Vinet Úplné zobrazenie - 1849 |
Časté výrazy a frázy
admirable aime âme assez Atala beau beautés Benjamin Constant bon sens bonheur briand carac caractère catholicisme chant chap charme Chateau Chateaubriand chose chré chrétien ciel cœur Congrès de Vérone Corinne critique Cymodocée d'Atala Delphine Dieu dire divine doute écrits écrivains époque esprit eût femme Génie du Christianisme gloire goût historique hommes humaine idées j'ai jamais juger l'Allemagne l'âme l'amour l'auteur l'autre l'écrivain l'esprit l'Essai l'histoire l'homme Léonce liberté littéraire littérature Livre Ier lui-même Madame de Staël Madame Necker malheur Martyrs ment mieux Milton mœurs monde morale mort n'en nature Necker nisme noble œuvre OEuvres complètes ouvrage Paradis Perdu parler parole passions pensée peuple peut-être philosophie plutôt poëme poésie poëte poétique politique premier principe qu'un raison Rancé religion René reste Révolution Révolution française rien roman scène semble sentiment serait sérieux seul siècle sorte style sublime sujet système talent teaubriand teur théisme tion trouve vérité vrai
Populárne pasáže
Strana 375 - Lorsque, dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur; lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien paraît, chargé de la vengeance des peuples. C'est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l'empire...
Strana 417 - M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée : De ce bienheureux sang tu me vois baptisée...
Strana 455 - O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir...
Strana 261 - Je n'ai point cédé, j'en conviens, à de grandes lumières surnaturelles : ma conviction est sortie du cœur; j'ai pleuré et j'ai cru.
Strana 413 - Pharamond! Pharamond! nous avons combattu « avec l'épée. « Nous avons lancé la francisque à deux tranchants; « la sueur tombait du front des guerriers et ruisselait « le long de leurs bras. Les aigles et les oiseaux aux « pieds jaunes poussaient des cris de joie; le corbeau « nageait dans le sang des morts; tout l'Océan n'était « qu'une plaie : les vierges ont pleuré longtemps !
Strana 468 - De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
Strana 261 - Le souvenir de mes égarements répandit sur ses derniers jours une grande amertume; elle chargea, en mourant, une de mes sœurs de me rappeler à cette religion dans laquelle j'avais été élevé. Ma sœur me manda le dernier vœu de ma mère : quand la lettre me parvint au-delà des mers, ma sœur elle-même n'existait plus ; elle était morte aussi des suites de son emprisonnement.
Strana 473 - Ces chantres sont de race divine, ils possèdent le seul talent incontestable dont le ciel ait fait présent à la terre. Leur vie est à la fois naïve et sublime; ils célèbrent les dieux avec une bouche d'or, et sont les plus simples des hommes; ils causent comme...
Strana 200 - Non : l'amour que je sens pour cette jeune veuve Ne ferme point mes yeux aux défauts qu'on lui treuve ; Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier a les voir, comme à les condamner.
Strana 254 - La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champs cultivés, l'imagination cherche à s'étendre; elle rencontre de toutes parts les habitations des hommes : mais dans ces...