Les quatre saisons du Parnasse, ou choix de poésies légeres depuis le commencement du XIXe siecle: avec des mélanges littéraires, et des notices sur les pieces nouvelles, Zväzok 8Mondelet, Pelicier et Mme Dubois, 1807 |
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... main , « Par ses bruyants refus irrite encor leur faim . « Celui de qui la main osa frapper son père , « Qui trompa son client , qui détesta son frère ; « Celui qui , pour lui seul accumulant son or , « Sous une avare clef renferma son ...
... main , « Par ses bruyants refus irrite encor leur faim . « Celui de qui la main osa frapper son père , « Qui trompa son client , qui détesta son frère ; « Celui qui , pour lui seul accumulant son or , « Sous une avare clef renferma son ...
Strana 16
... main dans la mienne , et , pour dernière grace , « Après un si long temps permets que je t'embrasse . » En parlant à son père Énée est attendri . De pleurs il veut baigner son visage chéri ; Mais l'ombre , que trois fois il croit avoir ...
... main dans la mienne , et , pour dernière grace , « Après un si long temps permets que je t'embrasse . » En parlant à son père Énée est attendri . De pleurs il veut baigner son visage chéri ; Mais l'ombre , que trois fois il croit avoir ...
Strana 29
... main monotone Pétrit sans grace aux bords du fleuve jaune . D'autres trésors conviennent à ces lieux . Simplicité , luxe de l'indigence , J'y viens sentir ta secrète influence ! Oui ; montrez - moi , sous ces plafonds fumeux , Près du ...
... main monotone Pétrit sans grace aux bords du fleuve jaune . D'autres trésors conviennent à ces lieux . Simplicité , luxe de l'indigence , J'y viens sentir ta secrète influence ! Oui ; montrez - moi , sous ces plafonds fumeux , Près du ...
Strana 33
... main brûlante , Unique et trop foible secours Qu'elle apportoit à sa douleur cruelle . Elle eût ainsi fini ses jours , Si son père , effrayé , n'eût amené près d'elle Le Druide du mont Hémos ...... Enfant infortuné , j'ai pitié de tes ...
... main brûlante , Unique et trop foible secours Qu'elle apportoit à sa douleur cruelle . Elle eût ainsi fini ses jours , Si son père , effrayé , n'eût amené près d'elle Le Druide du mont Hémos ...... Enfant infortuné , j'ai pitié de tes ...
Strana 42
... main , Son teint est pâle , son air sombre , Ses bras sont croisés sur son sein ; Fidèle aux lois qu'elle s'impose , Poussant des soupirs , des sanglots , Elle pleure sur des tombeaux Où nulle cendre ne repose . Vers vous elle porte ses ...
... main , Son teint est pâle , son air sombre , Ses bras sont croisés sur son sein ; Fidèle aux lois qu'elle s'impose , Poussant des soupirs , des sanglots , Elle pleure sur des tombeaux Où nulle cendre ne repose . Vers vous elle porte ses ...
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Strana 304 - Moi seul contre la noix, qu'arment ses dents de fer, Je fais, en le broyant, crier ton fruit amer; Charmé de ton parfum, c'est moi seul qui dans l'onde Infuse à mon foyer ta poussière féconde, Qui, tour à tour calmant, excitant tes bouillons, Suis d'un œil attentif tes légers tourbillons.
Strana 74 - ... pleurer la perte. Vous demandez déjà ce que c'était ; Vous le saurez. Il faut d'abord vous dire Qu'un jour Mahmoun, qui s'impatientait De vivre seul , à la belle Palmire , Qu'il crut aimer, par l'hymen fut lié , Puis eut un fils de sa tendre moitié. Bientôt ses goûts rentrèrent dans son âme; A l'alchimie il revint tout entier : Et le ménage , et le fils et la femme , Ne firent plus alors que l'ennuyer. C'est un grand tort , et pour moi je l'en blâme. Qu'arriva-t-il? qu'à lui-même...
Strana 305 - Japon l'émail reçoit tes ondes . Et seul tu réunis les tributs des deux Mondes. Viens donc , divin nectar , viens donc , inspire-moi , Je ne veux qu'un désert . mon Antigone et toi.
Strana 60 - D'un long cap où le vent tourne et change sans cesse, Le vaisseau , qu'un nocher dirige avec adresse, De ce souffle incertain suit tous les mouvements, Et tour-à-tour présente ou son front ou ses flancs.
Strana 304 - Aussi, quand mon palais est émoussé par l'âge, Avec plaisir encor je goûte ton breuvage. Que j'aime à préparer ton nectar précieux! Nul n'usurpe chez moi ce soin délicieux. Sur le réchaud brûlant moi seul tournant ta graine, A l'or de ta couleur fais succéder l'ébène, Moi seul contre la noix, qu'arment ses dents de fer, Je fais, en le broyant, crier ton fruit amer...
Strana 74 - C'est un grand tort, et pour moi, je l'en blâme. Qu'arriva-t-il ? qu'à lui-même laissé Le très-cher fils donna , le front baissé, Dans mille excès, pilla les caravanes, Battit les gens, enleva les sultanes , Fut grand ivrogne, et nargua Mahomet. Son père alors, mais trop tard, eut regret D'avoir ainsi négligé la culture Et les soins dus à sa progéniture. Mieux eût valu ne savoir presque rien, Et de son fils faire un homme de bien. Lorsque Mahmoun reçut de la nature L'ordre fatal d'aller...
Strana 305 - Mes pensers plus nombreux accourent à grands flots. Mon idée était triste, aride, dépouillée ; Elle rit, elle sort richement habillée, Et je crois, du génie éprouvant le réveil, Boire dans chaque goutte un rayon du soleil.
Strana 215 - Mais, en supposant que l'Espagne eût conservé sa prépondérance politique, il n'est pas démontré que sa langue fût devenue la langue usuelle de l'Europe. La majesté de sa prononciation invite à l'enflure et la simplicité de la pensée se perd dans la longueur des mots et sous la plénitude des désinences. On est tenté de croire qu'en espagnol la conversation n'a plus de familiarité, l'amitié plus d'épanchement, le commerce de la vie plus de liberté, et que l'amour y est toujours un...
Strana 128 - Qui siccis oculis monstra natantia, Qui vidit mare turgidum et Infames scopulos Acroceraunia ? Nequicquam deus abscidit Prudens Oceano dissociabili Terras si tamen impiae Non tangenda rates transiliunt vada. Audax omnia perpeti Gens humana ruit per vetitum nefas.
Strana 61 - L'auguste majesté qui sur ce front réside. • Sans doute j'aurais dû Fuir ce lieu retiré » Dont votre aspect divin fait un temple sacré : » Mais j'ai voulu vous voir pensive et solitaire : » A ce brûlant désir je n'ai pu me soustraire ; » Et, si c'est un forfait que de vous supplier, » Accusez vos attraits qui font tout oublier. » Oui , vous êtes de Dieu la plus brillante image ; » C'est en vous que la terre aime à lui rendre hommage, » Tout ce qui vit , d'amour, d'ivresse transporté...