Nec, tu cum obstiteris semel, instanti que negaris Nam luctata canis nodum abripit: attamen illi Cum fugit, a collo trahitur pars longa catena. Dave, cito, hoc credas jubeo! finire dolores Euge, puer, sapias: Diis depellentibus agnam Percute. Sed censen' plorabit, Dave, relicta? 1 Nugaris solea, puer, objurgabere rubra. Ne trepidare velis, atque arctos, rodere casses. dicas: Quidnam igitur faciam? ne nunc, cum accersat, et ultro Supplicet, accedam? Si totus et integer illinc Exieras, nec nunc. Hic, hic, quem quærimus, hic est÷ Non in festuca lictor quam jactat ineptus. Jus habet ille sui palpo, quem ducit hiantem Aprici meminisse senes. Quid pulchrius? At cam Vous épargnaient un jour, d'avoir brisé leurs chaînes. Dave voudrait sauver son maître Chérestrate (25 - Fort bien, mon jeune maître! allons, loin de ses charmes, Sacrifier aux Dieux qui vont vous délivrer. Mais..... Dave, penses-tu qu'elle en puisse pleurer? L'homme libre est celui qui, maître de lui-même Est-il maître de lui ce candidat servile (26 Herodis venere dies, unctaque fenestra Dispositæ pinguem nebulam vomuere lucernæ Portantes violas, rubrumque amplexa catinum Cauda natat thynni; tumet alba fidelia vino : Labra moves tacitus, recutitaque sabbata palles. Tunc nigri lemures, ovoque pericula rupto : Hinc grandes Galli, et cum sistro lusca sacerdos.. Incussere Deos inflantes corpora, si non Prædictum, ter mane caput gustaveris allî Dixeris hæc inter varicosos Centuriones SATIRE QUINTÆ FINIS. Que les fruits de ton champ, répandus par ta main, Et que Rome à jamais garde la souvenance De la fête de Flore et de tes grands travaux ! » (27 Que ces soins sont flatteurs! qu'ils sont doux ! qu'ils sont beaux! 270 Qu'un vin pur dans les airs exhale ses vapeurs, Et que le thon sacré nage dans l'eau rougeâtre, 280 Devient, suivant l'oracle, un remède à vos maux. (29 Si nos Centurions entendaient ce langage Le grand Vulfénius rirait de mon ouvrage; Et dirait hautement qu'à son avis, chez nous Cent philosophes Grecs ne valent pas cent sous. (30 FIN DE LA CINQUIÈME SATIRE. NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA CINQUIÈME SATIRE. 1) Pour chanter les malheurs du Parthe et nos exploits. L'empire des Parthes qui comprenait une grande contrée de l'Asie subsista jusqu'au règne d'Artaban iv, qui fut tué l'an 226 de J. C. Néron leur ayant fait la guerre, les avait contraints à demander la paix ; et cela grâces à la valeur et à l'habileté de Corbulon, général, qu'il avait chargé de cette expédition; ce qui n'empêcha pas à celui-ci d'être, dans la suite, une des victimes de la cruelle ingratitude du tyran. 2) Qui veulent mettre en vers un souper de Glycon. Il est probable que Perse veut parler ici d'un médecin de ce nom, qui fut accusé d'avoir empoisonné Vibius Pausa. Quelques commentateurs ont cru que c'était Glycon le tragédien; mais quel rapprochement peut avoir un homme de cette profession avec les horribles festins de Progné et de Thyeste dont il est parlé dans la même phrase? La plupart des éditions modernes de Perse portent: sæpe insulso cœ |