solution sans la trouver, et à vouloir terminer doctrinalement un litige que les siècles ont laissé pendant; autant il est permis, sans blesser les règles de la sagesse et de la modestie, de proposer quelques éclair*cissements nouveaux, quelques essais de coordination nouvelle, qui ne tendent au contraire qu'à écarter toute prétention de décision doctrinale et de dogmatisme absolu, dans des choses où, pour se servir des expressions qu'employait, il y a vingt-trois siècles, le père de l'histoire (Polymn., 50) « il ne paraît pas qu'un homme puisse parvenir à connaître comme il le faudrait ce qui est absolument certain. » Eidévau de ἄνθρωπον ἐόντα, ὅπως χρή, τὸ βέβαιον, δοκέω μὲν οὐδαμῶς. FIN DU TOME SECOND ET DERNIER. ERRATA. T. I, p. 290, ligne 8, en remontant, Stagyrite, lisez Stagirite. p. 329, ligne 4, en remontant, Persos, lisez Persas. T. II, p. 27, dernière ligne, parallélipipède, lisez parallélépipède. p. 69, ligne 18 en remontant, dessein, lisez dessin. - DU TOME SECOND. Pages. CHAPITRE XIV. Du langage. XV. Des racines logiques et des définitions. - truction logique et du syllogisme. - XVII. De l'analyse et de la synthèse. Des jugements XVIII. Application à la théorie de l'organisation du droit XIX. Application à l'organisation judiciaire, et no- XX. Du contraste de l'histoire et de la science, et de 26 58 90 446 145 477 216 256 XXI. Du contraste de la science et de la philosophie, et de la philosophie des sciences. XXII. De la coordination des connaissances humaines. XXIII. Des caractères scientifiques de la psychologie et de son rang parmi les sciences XXIV. Examen de quelques systèmes philosophiques, |