Œuvres complètes, Zväzok 19Pourrat frères, 1836 |
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... long - temps , et qu'ils ont peintes avec tant d'éloquence . Après tout , entre la mort de Dioclétien et la naissance de saint Jérôme , il n'y a que vingt - huit ans . D'ailleurs , en faisant parler et agir saint Jérôme et saint Augus ...
... long - temps , et qu'ils ont peintes avec tant d'éloquence . Après tout , entre la mort de Dioclétien et la naissance de saint Jérôme , il n'y a que vingt - huit ans . D'ailleurs , en faisant parler et agir saint Jérôme et saint Augus ...
Strana 11
... long . J'ai commencé les Martyrs à Rome , dès l'année 1802 , quelques mois après la publication du Génie du Chris- tianisme . Depuis cette époque je n'ai pas cessé d'y tra- vailler . Les dépouillements que j'ai faits de divers au- teurs ...
... long . J'ai commencé les Martyrs à Rome , dès l'année 1802 , quelques mois après la publication du Génie du Chris- tianisme . Depuis cette époque je n'ai pas cessé d'y tra- vailler . Les dépouillements que j'ai faits de divers au- teurs ...
Strana 13
... long - temps débattue ; je me contenterai de rapporter les autorités . On demande s'il peut y avoir des poëmes en prose ? question qui , au fond , pourroit bien n'être qu'une dis- pute de mots . Aristote , dont les jugements sont des ...
... long - temps débattue ; je me contenterai de rapporter les autorités . On demande s'il peut y avoir des poëmes en prose ? question qui , au fond , pourroit bien n'être qu'une dis- pute de mots . Aristote , dont les jugements sont des ...
Strana 29
... silence le long des montagnes . Ses yeux erroient avec ra- vissement sur ces retraites enchantées , où les an- ciens avoient placé le berceau de Lycurgue et celui ६ de Jupiter , pour enseigner que la religion et LIVRE I. 29.
... silence le long des montagnes . Ses yeux erroient avec ra- vissement sur ces retraites enchantées , où les an- ciens avoient placé le berceau de Lycurgue et celui ६ de Jupiter , pour enseigner que la religion et LIVRE I. 29.
Strana 44
... long fer à cinq rangs présente à la flamme bruyante le reste des viandes sacrées ; le dos succulent de la victime et les morceaux les plus délicats sont servis aux voyageurs ; Démodocus reçoit une part trois fois plus grande que celle ...
... long fer à cinq rangs présente à la flamme bruyante le reste des viandes sacrées ; le dos succulent de la victime et les morceaux les plus délicats sont servis aux voyageurs ; Démodocus reçoit une part trois fois plus grande que celle ...
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anges autels avoient avoit Barbares beau bois bord bouclier c'étoit Camulogènes céleste Cérès César chants char chariots charme Chlodéric chose chré chrétiens ciel cœur combat connoître Constance Constantin coup couronne Cymodocée Cyrille d'Eudore d'Hiéroclès d'Homère Démodocus démons descendant Dieu dieux Dioclétien divin douleurs esclave étoient étoit Eudore Évandre faisoit fidèles fille fils de Lasthénès fleuve flots forêts Galérius Gaules Gaulois Grèce guerriers Hiéroclès Homère Homérides hommes Iliad j'ai j'avois j'étois Jérôme jeune joie jour Jupiter l'Alphée l'Église l'enfer l'Éternel l'Odyssée Ladon larmes Lasthénès légion livre lyre main Marcellin MARTYRS Mérovée Messénie milieu Milton mœurs montagnes mort mortels nuit Odyss passer PAUSANIAS père peuple Pharamond Philopomen pieds poëme poëtes porte prêtresse des Muses prince Psophis religion Romains Rome sacré sagesse saint Saliens Satan Seigneur Sicambres Strabon TACIT Taygète Télémaque temple terre tête tombeau trône venoient Vésuve victime vieillard VIII voyoit yeux Zacharie δὲ
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Strana 144 - L'amour de la patrie se ranimait au fond de mon cœur ; l'Arcadie se montrait à moi dans tous ses charmes. Que de fois durant les marches pénibles , sous les pluies et dans les fanges de la Batavie ; que de fois à l'abri des huttes des bergers où nous passions la nuit ; que de fois autour du feu que nous allumions pour nos veilles à la tête du camp ; que de fois , disje , avec...
Strana 151 - Le soleil du matin, s'échappant des replis d'un nuage d'or, verse tout à coup sa lumière sur les bois, l'océan et les deux armées. La terre paraît embrasée du feu des casques et des lances. Les instruments guerriers sonnent l'air antique de Jules César partant pour les Gaules.
Strana 142 - Il y avait pourtant un charme à ce réveil du guerrier échappé aux périls de la nuit. Je n'ai jamais entendu, sans une certaine joie belliqueuse, la fanfare du clairon, répétée par l'écho des rochers, et les premiers hennissements des chevaux, qui saluaient l'aurore.
Strana 116 - Hélas ! nous poursuivions nos faux plaisirs ! Attendre ou chercher une beauté coupable, la voir s'avancer dans une nacelle et nous sourire du milieu des flots, voguer avec elle sur la mer dont nous semions la surface de fleurs, suivre l'enchanteresse au fond de ce bois de myrtes et dans les champs heureux où Virgile plaça l'Elysée : telle était l'occupation de nos jours, source intarissable de larmes et de repentir.
Strana 152 - Victoire à l'empereur!» Les Barbares repoussent ce cri par un affreux mugissement : la foudre éclate avec moins de rage sur les sommets de l'Apennin, l'Etna gronde avec moins de violence lorsqu'il verse au sein des mers des torrents de feu , l'Océan bat ses rivages avec moins de fracas quand un tourbillon , descendu par l'ordre de l'Éternel, a déchaîné les cataractes de l'abîme.
Strana 30 - Si tu n'es pas un dieu caché sous la forme d'un mortel, tu es sans doute un étranger que les satyres ont égaré comme moi dans les bois. Dans quel port est entré ton vaisseau? Viens-tu de Tyr, si célèbre par la richesse de ses marchands? Viens-tu de la charmante Corinthe, où tes hôtes t'auront fait de riches présents? Es-tu de ceux qui trafiquent sur les mers jusqu'aux colonnes d'Hercule?
Strana 133 - ... objets éternellement immobiles. En vain, prêtant une oreille attentive, je cherche à saisir quelques sons pour me diriger à travers un abîme de silence, je n'entends que le battement de mon cœur dans le repos absolu de ces lieux. Je voulus retourner en arrière, mais il n'était plus temps : je pris une fausse route, et au lieu de sortir du dédale, je m'y enfonçai. De nouvelles avenues, qui s'ouvrent et se croisent de toutes parts, Augmentent à chaque instant mes perplexités. Plus je...
Strana 94 - ... fin des fontaines ; ces innombrables statues qui ressemblent à un peuple immobile au milieu d'un peuple agité ; ces monuments de tous les âges et de tous les pays ; ces travaux des rois, des consuls, des Césars ; ces obélisques ravis à l'Egypte, ces tombeaux enlevés à la Grèce.
Strana 87 - Les actions magnanimes sont celles dont le résultat prévu est le malheur et la mort. Après tout, qu'importent les revers, si notre nom prononcé dans la postérité va faire battre un cœur généreux deux mille ans après notre vie?