523 - - persécutions fl la mort. 464 lère de distinction et conme lypique, n'était pas stilisanto 463 pour oj érer la justification de l'honne écheur. S18 ibid. l'obligation de la loi cérénioniale cessat à quelque beure, ibid. SECT. XI. - Les exemples de Jésus-Chrisl, de ses apo- ibid. au culle lévitique, ne sont point du tout incompatibles si!! 320 466 SECT. XII. — Enfin les oracles qui promettent le rappel ART. V. Jésus-Christ a prédit ces choses conme SECT. XIII. — Lcs Juifs rétorquent sans raison l'argu- 468 ment d'insulisance contre le sacrilice de la croix, sous pré- 469 relle. 526 472 SECT. XV. - Les Juifs prétendent aussi, contre toule expliquent mal et appliquent encore plus mal les oracles ibid. SECT. XVI. Plusieurs des prédictions qui regardaicnt 331 471 oracles qui regardaient le Messie, ils fureni sullisants pour 533 473 SÉCT. XVIII. – Les objections des Juifs contre l'appli- 536 478 512 480 contre lous les faux sages, où l'on fait voir que culle reli: 481 gion ne vous prescrit rien ni de dogme ni de ratique qui, 513 ilid. 415 484 SECT. IV, Réponses générales aus diverses raiso: 8 549 qu'il y a une différence réelle entre les choses qui ont contre la raison el celles qui sont au-dessus d'elle. 50 485 SECT. VI. — Deuxième réponse générale, lirée de ce 552 53 551 490 l'on impule à la réception des dogmes inco..préhensibles. 5:3 498 l'on fait contre le dogme de la Trinité, contre celui de 500 dans une seule essence divine est une doctrine du Noue 557 503 vire est aussi un dogme établi dans le Nouveau Testament. 559 503 508 Lraire now plus à la doctrine du Vieux Testament. 564 510 Carnation ne sont contraires à la saine raison. 568 567 511 SECT. XVII. - Le dogine de la satisfaction n'est point Secr. XVIII. - Le dogme de la satisfaction dans la de la raison appuyée de la foi. Le peuple sait que si *Ibid. 035 °577 fice sur ce fondement. C'est la conscience qui demande qu'on Ibid. Ibid. 580 Paul, David, Martial, Coufucius, liennent sur ce point le 626 532 des démonstrations qu'on emploie pour prouver l'existence Ibid. 584 Le dogmede l'existence de Dieu ne peut pas se contes- 62 583 ment exposée par ceux qui y croient. Moise, le plus aucien ibi.l. historiens, parfaitement instruit des choses anciennes qu' 587 conjectures des préadamistes. Moise seul croyable sur ce Ibid. 588 Préieution singulière des Arcadiens. L'estime que Pla- même, secondairement pour l'honne. 630 Ibid. 593 XI. – Pourquoi Dieu a créé dans le monde tant de cho- 631 595 Les nouvelles découvertes utiles à la religion; on en fera ibid. 632 ibid. 5997 XIII. Il existe un Dieu, qui est un elre immatériel el in- 653 598 tière. Pythagore reconnaissait l'immatérialité de Dieu. Le 653 599 L'idée de Dieu nous vient de Dieu même. L'homme a 600 sous des images corporelles. N. 1, 2, 3 el 4. ibid. XV. - Dieu est un être essentiellement immorlel et heureux. Sentiment de Socrate et des plus anciens philosophies ibid. XVII. - Les principes de Xénoplanes réfutent par nie ibid. ibid. nifestes que renferme le système de Spinosa. Ibid. ibid. les de la nature nous donnent la plus haule idée de la sa. ibid. 624) XIX. - Les miracles sont un témoignage incontestable 621 qu'il existe un Dieu qui les opére el qui est au-dessus de ibid. avoir un front d'airain pour en nier l'existence. Ce que 022 ouvrages ordinaires de la Olure. Les miracles pronrent IV. — Il est également facile à ious de connaitre que 623 XX. – L'idée d'un Eire infiniment parfait conduit à re- 639 Ibill. La révélation plus utile que le raisonnement. zbid. ibid ibid 036 Le libertinage des mæors, carse unique de l'irréligion. Vanité de ceux qui prétendent le contraire. Courroux 656 ibid. 642 IX. — Le ropre de la religion est de contenir les Ibid. ibid. Réclamation de Bayle contre ceux qui l'accusent d'en- ibid. seigné cette vérité. De quel poids doit êlre un pareil té ibid. 602 614 pulent une opinion contraire. L'empire des lois insullisant. ibid. Ibid. La crainte babituelle des châtiments de Dieu est une ibid. 615 XII. - Il est de l'intérêt du genre humain que les prine 666 ibid. Doctrine de Bayle, souvent contraire à cette doc- Ibid. fait par religion, c'est-à-dire par la crainte de Dieu et ibid. des chrétiens sur la Providence. N. 1. ibid. Contenter Dien et soi-même. La philosophie a toujours ibid. de Métellus. Autre arguinent de Plutarque. Argument de ibid. Plutarque. Argument de Juvénal. Combien ces autorités ibid. Bayle enseigne aussi la doctrine contraire. La religion ibid. justiliée des lurts que Bayle lui impute. Elle ne défend 648 ri IV. Raisonnements de nos pbilosophes semblables à Bizarrerie singulière de Bayle. Pensée de Sénèque. ceux de Nicodème. N. 1 et 2. servir Dieu enseignée par la nature. ibid. XVI. - Il ya une religion véritable, et c'esi Dieu qui Evidence de celle proposition. Leibnitz prouve la néces. l'a enseignée aux hommes. sité d'un culte public. N. 1 el 2. 649 Pensée sage de Cicéron. La religion plus ancienne que à l'adorer et à le servir. Sénèque et Aristole ne reconnais ble. ibid. Argument simple et solide de Leibnitz.. N. I et 2. ibid. mais cette croyance conduit à la religion. 650 de la religion à loul esprit nou prévenu. ibid. chrétiens. Aujourd'hui la morale n'est as plus respectée La religion la plus absurde ne l'est pas lant que l'irréli que la religion. N. 1. par intérêt de ceux qui le sont de bonne foi. N. 1'el 3. ibid. l'homme. N. 1. V. - La religion, très-propre à rendre les hommes XX. — Des personnes de lout élat peuvent pratiquer 681 ibid. de prendre les armes contre leur souverain. Témoignage VI. -- L'amour de la vertu ne suffit pas sans la religion de Tillemont. N. 1, 2 et 3. pour rendre l'homme solidement vertueux. 636 XXI. – La philosophie humaine insuffisante; religion Sans religion, point de véritable vertu. Vanité de la nécessaire aux maurs. providence pour être un honnête homme il faut encore N. 1, 2 et 3. 657 XXII. – L'incompréhensibilité des mystères de la relia Dénoxst. Evang. V1. (Quarante-une.) 690 683 iniracles rapportés dans les livres saints. N. 1. consiste à igaorer les choses que nous ne devons pas sa- une providence particulière. çite. Pensée de M. Nicole sur le même sujet. Priucije mérile. Son mépris pour les subtilités des philosophes qui fait une infinité de miracles. XXIII. - L'empire de la foi sur la.raison. 687 Montaigne sur les miracles. N. 1, 2 et 3. gieuses de Cicéron et de Platon. Restriction à la propo- mes por la voie des miracles. marqués par Leibniz avec la plus grande précision. Des des peuples. miracle, il ne faut plus demander pourquoi il l'a fait. PREMIERE PROPOSITION. – L'impiété volontaire est le Réflexion de M. Nicole adoptée par Bayle. plus haut degré de la malice humaine. ibid. VIII. – Ne croire à aucun présage ui à aucune fra silions affreuses de l'impie. Témoignage de Marc-Aurèle et plus de deux siècles avant sa naissance. ibid. CHAPITRE VI. – La spiritualité et l'immortalité de II. — L'effet propre de l'irréligion est u'anéantir nun lame. seulement toutes les verlus chrétiennes, mais encore PREMIERE PROPOSITION. — L'âme humaine perse, da 692 l'ane abiaine n'est point malière. 693 dorie philosophique. Réflexion de Leibnitz sur l'abus deb sages certains de la ruine des états. Ibid. vants contre le paradoxe de Toland. La parole de Dim cure aux galions l'esprit de religion. N. 1 et 2. 694 nolia raisva. N. 1, 2 et 3. IV. - Funestes effets de l'irréligion. 696 II. — Il est non seulemeat incomprébensible, mais le Caractère propre de l'esprit d'erreur. N. 1. Ibid. possible que la matière pense. y persiste par opiniâtreté et par vanité. 697 être des pensées, des réflexious, des sentiments. Abst- V]. - C'est une espèce d'alhéisme que de vivre sans dité du matérialisme. 698 Extravagance des matérialistes. Les inconvénients de l'irréligion sout absolument les n'est pas malière. înemes que ceux de l'athéisme. N. 1. Ibid. Déinonstration de celte vérité. folle et la plus brutale dont l'homme soit capable. 699 corps. VIII. — Le nombre des incrédules n'est pas si grand de notre âme après la mort. VI. — Le système des matérialis.es conduit nécessaire Pensée de Flularque. Pensée de Montaigne. Pensée de ment à mille absurdilés ridicules. trer un vrai incrédule, qu'un saint parfait. Ibid. CIIAPITRE VII. - La couscience. 703 seule verlu qui reste aur méchants. La faiblesse est dans X. - La plupart des impies sont très-ignorants. Ibid. le crime et non dans le remords N.1. rous. Soltise du pyrrhonisine. N. 1 et 2. noire raison. L'oubli de la religion a conduit les peuples N. 1. aus plus affreuses superstitions. Voulons-nous éloigner la IV.- Les paiens reconnaissaient la loi de la conscience, CHAPITRE V. - L'Ecriture sainte et les miracles._707 rieurs, etc. PREMIERE PROPOSITION. — La divinité de la sainle Ecri- Belle pensée de Cicéron sur ce sujet. Loi inpose aux Ibid. admirateurs de Bayle. Pensée de Sénèque. Peinture des savons comme nous sommes sûrs que les commentaires de méthée, image des remords. N. 1, 2 et . Maints si facile à déinontrer. N. 1, 2 et 3. II. – Les premiers ennemis de la foi chrélienne ne Bayle enseigne expressément que les véritables vertus, Celse convient de la vériié du récit de l'Evangile. La ceinte de la véritable religion. N. % religion chrétienne prêchée d'abord à Jérusalem. Les en- CHAPITRE VIII. - La verlu. III. - Les miracles sont l'auvre de Dieu et ils mani- II. – La verlu se connall Restent sa gloire, sa honté et sa justice. 710 Belles pensées de Cicéron et d'Antisthènes sur ce subuk 736 Ibid. eyle fait l'éloge de ces pensées. Sou mépris pour les Un peu de probite ne sudit pas : peu de religion ne sullit ibid. pas davantage. Conséquences à lirir de ce principe. 752 ibid. impies qui parlent sont ou d.'s hommes vains, vu des bom. 731 Bussy-R:Outiu en faveur de la piélė. Bayle admire l'ex- IV. -1 y ades règles de morale aussi certaines immua- cellent ouvrage d'Abbadie. N. 1 CL 2. Aus et indispensables que les règles du raisonnement. Ibid. CLAPITRE XII.- L'éducalion. iiis des pensées coatraires. N. 1 et 2. 732 tion il n'y aurait rien de si corrompu que les bommes. Ibid. V.- La verlui est aimable par elle-même. 733 Maxime excellente de Sénèque sur ce sujet. Conduite IT. - L'ordre de Dieu ou sa défense rend bonnes on abominable de l'empereur Heliogabale. Marc-Aurèle. Autre maxime de Marc-Aurèle. Contradiction gue à cet égard. N. 1 et 2. CHIAPITRE IX. -- Les passions. 733 Peinture de l'homme sans l'éducation. Belle peosée de PREMIERE PROPOSITION. Ce sont les passions qui reu- Juvénal. Ibid. IV. - L'instruction des enfaols doit commencer par la Du mal qu'elles font. La Providence sait en tirer beau- religion. II. La passion est toujours éloquente, elc. CHAPITRE XIII. La modestie et la puleur, Coaséquence à lirer de celle vérité. N. 1 el 2. ibid. PREMIERE PROPOSITION. – La licence des cyniques III. — Les passions nous cachent nos devoirs. 737 élait une abominable inpudence. Suites du péché originel. Nécessité du secours de la Justes reproches à faire à Bayle. grace. Coutradictions de Bayle. N. 1 et 2. ibid. II. - La liberté que donnaient aux femmes les lois de nous font violer les devoirs les plus indispensables. Ibid. Bayle réfule les raisons de Lycurgue. s'est rendu coupable à cet égard. Châtiment d'Archilogue. blamée par toutes les nations. ibid. Bayle en contradiction avec lui-même. Ses traits lay- Bayle assure qu'il n'a jamais enseigné d'autre morale. IV. – L'argument que l'on lire de la conduite des ani- Celles de Plutarque et de Cicéron. Bayle déclare la guerre Eloge des premiers chrétiens. contre les sociniens. N. 1 el 2. Ibid. Histoire de Lysserus, docteur luthérien. Témoignage VII. - La religion nous est nécessaire, etc. 742 ue Kemnitius , autre docteur luthérien, contre la polyga- nous est intéressé à la conservation de la religion. Maxime Ibid. CHAPITRE XIV. - La nécessité d'un tribunal ecclésias- CHAPITRE X. – La liberté, le péché originel, la pré- tique. 743 PREMIERE PROPOSITION. Les catholiques ont une voie humaine c'est anéantir la religion. Ibid. II. - Les protestants different en ce point des catholi- parfait de sa première origine. 745 Preuves et conséquences de celle conduile. Schismes Ibid. III. - Bayle dénorice ses adversaires, et soumet sa doc. 11. — Ledogme de la prédestination est ce dogme qu'il trine à la censure des synodes. faut adorer avec lui el avec l'espect. ibid. Concert de la puissance séculière et de la puissance ec- Bavle. Doctrinede Leibnitz sur cette matière. N. 1 et 2. 746 bunal. Bayle contraire au ministre Jurieu sur celle matiè- vine duit arrêter loute dispute sur celle matière. 747 La conduite de l'homme raisonuable à cel égard. Bayle blame Arminius. Folie des novateurs en lout genre. N. 1 PREMIERE PROPOSITION. Le dogme de la loléranca et 2. ibid Ibid. affreux de la réprobation absolue. pies sont intolérants. N. 1 et 3. Terle de Calvin. ibid. II. - Les novateurs ont mauvaise grâce à demander 772 749 L'Eglise aussi tolérande qu'elle doit l'être. Ibid. PREMIERE PROPOSITION. Les hommes sont tentés par III. - Les arrels qui su; priment et qui condamnent les 773 iv.- Les railleries contre la religion ne doivent point 773 ibid. plaisants qui l'imitent. Ces moqueurs gâteat l'esprit de la Bayle en contradiction avec lui-même. 751 jeunesse. Punilion de Diagoras. Punition de Protagor:1s. IV: - La vraie dévotion est celle du ceur. Ibid. Punilion de Sambicus. Examen des livres ordonné par les Culle intérieur et culle estérieur, lous deux néces-- lois de Platon. Sérérité d'Auguste en cette matière. Sévé- Ibid. rité des Turcs. Comment les Théers sont tolérés dans les 775 748 750 |