Comment ils témoignaient leurs respects aux grands, 151. A quel usage ils mettaient l'éponge, ibid. Com- ment rafraichissaient leur vin, 151. Avaient des cuisines ROMMERO (Julien), gouverneur d'Yvoy, 12. RONSARD. Excellent poëte français au jugement de Mon- Rossignols. Instruisent leurs petits à chanter, 232, 233. Ruses de guerre. Condamnées chez les anciens, 10. Au- RUSTICUS. Pourquoi loué par Plutarque et par Montaigne, 181. Sacrifices humains. En usage dans presque toutes les re- Sage. En quoi il diffère du fou par rapport aux passions, 20. Dans la conduite de la vie, le sage est déterminé par Sagesse. Quelles en sont les marques, 70. Quel est son but, Sagesse et ignorance. Parviennent aux mêmes fins, 157. SALONE. Succès étonnant que ses habitants, réduits à l'ex- SALSBERI (Guillaume, comte de), 131. SANCHO, douzième roi de Navarre, surnommé le Trem- Satisfaction. Après la mort, de nul poids, 13. Savants. Méprisables, parce qu'ils sont mal appris, 55. Ne s'appliquent qu'à remplir la mémoire, 57. Ne son- gent qu'à faire une vaine montre de leur science, ibid. Sottise d'un Romain qui se croyait savant, parce qu'il avait des savants à ses gages, ibid. Caractère des faux savants, 58. Surnommés lettres-ferits en Périgord; si- gnification de ce mot, ibid. Savants qui recherchent la vérité, comparés aux épis de blé, 253. S'ils peuvent prétendre à quelque recommandation par leurs écrits, 339. Le principal savoir de notre siècle est de savoir en- Sauvages de l'Amérique. Leur constance lorsqu'ils sont faits prisonniers, 100. Chanson guerrière d'un prison- nier sauvage, ibid. Chanson amoureuse d'un sauvage SCEVA, centurion de l'armée de César. Combien de Science de gueule. Plaisamment tournée en ridicule, 155. SCIPION l'Africain. Son intrépidité, 53. A vécu la belle moitié de sa vie de la gloire acquise en sa jeunesse, 165. Accusé devant le peuple, dédaigne fièrement de se jus- SCIPION le Jeune. Ce qu'il répondit à un jeune homme qui faisait manger ses soldats, 203. SCIPION, beau-père de Pompée. Acquit beaucoup de gloire SCRIBONIA, dame romaine. Pourquoi elle conseille à son SCYTHES. Comment excusèrent leur fuite à Darius qui les leurs chevaux, 148. Par combien de meurtres ils hono- raient leurs rois morts, 230 et suiv. SÉBASTIEN, roi de Portugal, 350. SEBOND (Raymond). Apologie de sa Théologie naturelle, 218 et suiv. Montaigne le traduisit de l'espagnol en fran- SÉJAN. Pourquoi sa fille fut forcée par le bourreau avant SELEUCUS, roi. Le peu de cas qu'il faisait de la royauté, SELIM Ir. Ce qu'il pensait des victoires gagnées en l'ab- Semence. Par quel moyen elle devient prolifique, 285. SÉNÈQUE. Conseil fort extraordinaire qu'il donne à un de ses amis, 103. Comparé avec Plutarque, 206. Sénèque prétend ne devoir sa vertu qu'à lui-même, 246. Com- ment il élève le sage au-dessus de Dieu, 247. Pensée de Sénèque critiquée avec raison, 311. Sénèque comparé avec le cardinal de Lorraine, 371. Portrait injuste que l'historien Dion a fait de ce philosophe, ibid. Sénèque prêt à mourir par l'ordre de Néron : ce qu'il dit à ses efforts qu'il fit pour se préparer contre la mort, 543 et Sens. Si l'expérience des sens peut mettre fin à l'incerti. SERVITUDE VOLONTAIRE. Titre d'un ouvrage de la Boëtie, SÉVÉRUS. Voyez CASSIUS. SEXTILIA, OU SEXTITIA, dame romaine. Pourquoi se donne SFORCE (Ludovic-Marie), dixième duc de Milan. Sa SFORCE (François III), fils du précédent, 15. Singes d'une grandeur extraordinaire qu'Alexandre ren- contra dans les Indes; comment ils furent attrapés, 455. Société. Ceux qui se dérobent aux offices communs de la SOCRATE. Ce que c'était que son Démon, 19. Comment il se joue d'un sophiste qui n'avait rien gagné à Sparte, 61. Réflexions sur ce qu'il répondit à celui qui lui demanda d'où il était, 68. Son opinion sur ce que doivent faire les jeunes gens, les hommes faits et les vieillards, 114. Pour- quoi il fut estimé le scul sage, 189. Comment s'essayait à la vertu, 211. Pourquoi la vertu lui devint aisée, ibid. La gaieté qui accompagna sa mort la met au-dessus de celle de Caton, 212. Ce qui lui fit donner le nom de Sage, 251. Réponse de Socrate à ceux qui lui deman- daient ce qu'il savait, 253. Il ne faisait cas que de la science des mœurs, 257. Pourquoi se comparait aux sa- ges femmes, 258. Ses idées confuses de la Divinité, 261. Ce qu'il demandait aux dieux, 296. Noble constance dont sa mort fut accompagnée, 313. Il était de beaucoup supé- rieur à Alexandre, 418. Pourquoi il ne s'opposa que mol- lement au dessein que ses ennemis avaient de le faire mourir, 422. Avec quelle fierté il se retira après que l'armée où il combattait eut été mise en déroute, 467. Ce qu'il dit en voyant quantité de joyaux et de meubles de prix, 527. Comment il conseillait qu'on se défendit contre l'amour, 530. Admirable par la simplicité de ses discours et de sa conduite, 542. Son caractère, qui nous a été transmis par des témoins très-fidèles et très-éclairés, ibid. Discours plein de simplicité qu'il fit à ses juges, 550 et suiv. En quoi consiste la noblesse et l'excellence Soi. Combien il importe de savoir être à soi, 113. C'est Soldat. Venant à guérir d'une maladie qui lui rendait la Soldats. Comment leur lâcheté doit être punie, 22. S'ils Soleil. Son adoration, culte le plus excusable, 260. qu'on s'y propose, ibid. Elle ne nous dégage point de SOLON. Réflexions sur le mot de ce philosophe, que nul homme ne peut être dit heureux avant sa mort, 6 et 26. Ce qu'il répondit à ceux qui l'exhortaient à ne pas ré- Sommeil. Ce n'est pas sans raison qu'on lui trouve de la SOPHRONIE (Sainte). Mort de cette vierge, 178. Sorciers. Raisons qui obligeaient Montaigne à ne rien dé- cider sur le chapitre des sorciers, et à traiter de chimè- res la plupart des contes qu'on en fait, 539. Il est porté à croire que ceux qu'on traite de sorciers ont l'imagina- Sot. Il est impossible de traiter de bonne foi avec un sot, 482. Comment un sot dit quelquefois une chose sensée, 488. Ce qu'il y a de plus déplaisant dans le sot, c'est qu'il admire tout ce qu'il dit, ibid. Sottise. Ne pouvoir souffrir la sottise est une maladie de l'esprit fort incommode, 480, 483 et 547. L'extérieur grave et la fortune de celui qui parle donnent souvent du poids Soumission. Adoucit un cœur irrité, 1. Sourds naturels. Pourquoi ne parlent point, 229. SPARTIATES. Pourquoi ils refusèrent le prix de la valeur à un de leurs citoyens qui s'était le plus distingué dans Spectacles publics. Combien utiles dans les grandes villes, 79. Légère description de ceux que les empereurs ro- mains donnaient au peuple, 471. SPECSIPPUS, philosophe. Fausse tradition sur sa mort, 29. Il mit fin lui-même à sa vie, 175. Son opinion sur SPURINA, jeune Toscan doué d'une beauté singulière. Pourquoi se défigure tout le visage, 378. En quoi son action était digne de blame, ibid. de sa patrie, où il avait tout perdu, 113. Comment il Stoïciens. Appellent misérables et fous tous les hommes, STRATON, philosophe. Ne reconnaissait pour Dieu que le STRATONICE, femme de Déjotarus. Vertu de cette prin- STROZZI, maréchal de France, 341 et 379. SUBRIUS FLAVIUS. Sa constance sur le point d'être mis Succès. N'est pas une preuve d'habileté, 486. SUFFOLC (duc de), Périt victime de la mauvaise foi de Suicide. Sépulture ignominieuse ordonnée par les lois de Sujets. S'il leur est permis de se rebeller et armer contre Supérieur. Ce qu'il doit surtout attendre de ses sujets, 24. SYLLA. Se montre inexorable à Péruse, 2. Comment ré- SYLVIUS, médecin célèbre du temps de Montaigne. Con- T. Table. Quelle était la place d'honneur à table chez les an- TAGÈS. Auteur de l'art de deviner parmi les Toscans, 18. TAMBURLAN OU TAMERLAN, 61 et 149. TASSO (Torquato), le célèbre poëte, devenu fou quelque TAUREA JUBELLIUS. Sa mort généreuse, 179. Temps. Incertitude de son compte par les années, 536. nom, 117. En quoi Montaigne le trouve admirable, 205. TÉRÈS, roi de Thrace. Sa passion pour la guerre, 126. Terreurs paniques. Ce qu'on entend par là, 26. marier, 127. Mot de lui à ce sujet, 194. Son opinion sur THALESTRIS, reine des Amazones. Pourquoi elle alla trou- THÉANO, femme de Pythagore. Ce qu'elle disait d'une THÉBAINS. Adoucis par la fermeté d'Épaminondas, 2. THÉODORUS. Ce qu'il répondit à Lysimachus, qui menaçait Théologie et philosophie. Se mêlent de régler toutes les THEON le Philosophe. Se promenait en songeant tout en- THEOPHILE, empereur. Forcé par un de ses chefs à sc THÉOPOMPE, roi de Sparte. Refuse un éloge pour le don- THOMAS (Simon ), médecin, 36. Thons. Semblent avoir quelque teinture de mathémati- THRACE. Ses habitants tiraient des flèches contre le ciel THRASONIDES, jeune homme grec. Pourquoi refuse de THURIENS. Ce que leur législateur ordonna contre ceux qui TIBÈRE. Refuse son consentement à un acte perfide qui Tigre. Exemple de générosité de cet animal, 241. Tigres TIMOLÉON. Comment sauvé d'un assassinat, 105. Pourquoi TIMON, surnomé le Misanthrope. Juge moins mordant Trahison utile. Préférée à l'honnêteté hasardeuse, 411. Traitres. Tenus pour maudits par ceux mêmes qui les ré- TRAPEZONCE, c'est-à-dire, George de Trébizonde, dialec- TRIPOLI (Raymond, comte de), 366. Tristesse. Passion méprisable, 3. Ses effets, ibid. Lors- TRIVULCE (Théodore). Mots remarquables qu'il dit au su- TULLIUS MARCELLINUS, jeune romain. Avec quelle fermeté TURCS. Comment se nourrissent dans leurs armées, 148. Ont des aumônes et des hôpitaux pour les bêtes, 218. Fondement le plus commun de leur courage, 365. Turcs fanatiques se font honneur de ravaler leur propre na- ture, 457. TURNEBUS (Adrianus). Son caractère, 58. Mis par Mon- taigne au rang des meilleurs poetes latins de son temps, Tyran. Comment défini par Platon, 135. Tyrans ingénieux URGULANIA, aieule de Plautius Silvanus, 313. V. Vaillance. A ses limites comme les autres vertus, 21. Est Vaincus morts. Pleurés par leurs vainqueurs, 109 ct suiv. VARRON. Le plus subtil et le plus savant auteur latin, au VAUX (Henri de), chevalier champenois, 11. VELLY (le seigneur du), ambassadeur de France à Vengeance. Celle qui nous porte jusqu'à tuer notre en- nemi, devient par cela même inutile, 356. Moyen de dis- siper un violent désir de vengeance, 432. Vertu. Comment la volupté en est le but et le fruit, 27. Le mépris de la mort est un de ses principaux bienfaits, 28. Est le but de la sagesse, 70. Son vrai portrait, ibid. Comment doit être représentée aux jeunes gens, ibid. Est facile à acquérir; est la source des vrais plaisirs, ibid. Son véritable emploi, ibid. Si elle peut être re- cherchée avec trop d'ardeur, 92. Motifs vicieux détrui- sent son essence, 108. Se contente de soi, 113. Actions de vertu excessive, 114. Veut être recherchée unique- ment pour elle-même, 168. La vertu est supérieure à ce qu'on appelle bonté naturelle, 210. Doit être accompa- gnée de difliculté, 211 et suiv. Comment elle devient aisée dans les âmes nobles comme étaient celles de So- crate et de Caton, ibid. et suiv. La vertu a différents degrés, 213. Elle est désirable, indépendamment de la gloire qui peut l'accompagner, 319. Serait une chose frivole, si elle tirait sa recommandation de la gloire, peut être employée à la conduite d'un état corrompu, 519. VERVINS (le seigneur de ), condamné à mort, 22. Vétements. De l'usage de se vêtir, 106. Veuve. Qui se trouve grosse sans savoir à quelle occasion elle l'était devenue, 170. On doit laisser aux veuves de quoi maintenir leur état, 198. Viandes. Farcies de drogues odoriférantes, 159. VIBIUS VIRIUS, sénateur de Capoue. Comment lui et vingt- sept sénateurs de Capoue se donnent la mort, 179 et Vices. Prennent pied dès la plus tendre enfance, et de- vraient être corrigés au plus tôt, 41 et suiv. Ne sont pas tous également énormes, 169. Un vice n'entraîne pas tous les vices à sa suite, 214 et suiv. Vices déguisés sous le nom de vertus, 409. Douleur qui accompagne le Victoire. N'était point acquise, chez les Grecs, à celui qui Vie. Le mépris qu'on en fait, fondement le plus assuré de Vieilles gens. Ce que c'est que leur sagesse, 421. Leurs dé- Vieillesse. Mourir de vieillesse, chose singulière et extraor- dinaire, 164. Quelle étude convient à la vieillesse, 362. Si la vieillesse doit nous empêcher de voyager, 510. Vierge. Ne pouvait être mise à mort parmi les Romains, 412. VILLEGAIGNON (Nic. Durand de), chevalier de Malte, 95. Vin. Gelé et distribué par morceaux, 107. La délicatesse Platon le défendait aux enfants, 172. Restrictions requises dans l'usage du vin, ibid. Vin pur, contraire à la vieil- VIRGILE. Cas que Montaigne faisait de ses Géorgiques et du cinquième livre de l'Énéide, 205. Si l'on peut lui comparer Lucrèce ou l'Arioste, ibid. Ce qu'il doit à Visions et enchantements. N'ont de crédit que par la puis- VIVES, cité par Montaigne, 39. Voix. Qualifiée par Zénon. fleur de la beauté, 305. Com- Voyages. De quelle utilité ils sont à un jeune homme, 65. Vue. Comment elle en impose à l'esprit, 306. W. WITOLDE, prince de Lithuanie. Pourquoi ordonna que les XÉNOCRATE. Établit huit dieux, 261. Comment il maintint sa XÉNOPHANES. Le seul philosophe théiste qui ait rejeté toute sorte de divination, 19. Son opinion sur la nature de ZALEUCUS. Lois qu'il fit pour corriger le luxe, 137. ZAMOLXIS, divinité des Gètes, 264. ZÉNOBIE. Rare exemple de continence conjugale, 93. ZÉNON d'Élée. Opinion qu'on lui attribue, 261. ZÉNON de Citium. Avait deux sortes de disciples, d'un gé- ZEUXIDAMUS. Réponse de ce roi de Sparte, 74. FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES. |