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Comment ils témoignaient leurs respects aux grands,

151. A quel usage ils mettaient l'éponge, ibid. Com-

ment rafraichissaient leur vin, 151. Avaient des cuisines
portatives, ibid. Avaient des poissons dans leurs salles
basses, ibid. Quelle était chez eux la place d'honneur à
table, 152. S'ils se nommaient avant ou après ceux à
qui ils parlaient ou écrivaient, ibid. Leurs femmes se
baignaient avec les hommes, ibid. Ils payaient le bate-
lier en entrant dans le bateau, ibid. De quelle couleur
étaient les habits de deuil des dames romaines, ibid. Les
Romains portaient même accoutrement les jours de deuil
et les jours de fête, 157. Armes d'un piéton romain, 202.
Pour quelle raison les Romains se maintenaient conti-
nuellement en guerre, 352. De la grandeur romaine,
353. Pourquoi ils rendaient aux rois leurs royaumes
après les avoir conquis, 354. Sénat romain inexcusable
d'avoir violé un traité qu'il avait fait lui-même, 413.
Pourquoi les Romains ont refusé le triomphe à des gé-
néraux qui avaient remporté de grandes victoires, 486.
ROME. Etait plus vaillante avant qu'elle fût savante, 61 et
245. Inclination particulière que Montaigne avait pour
cette ville, 520 et suiv. Considérée comme la métropole
de toutes les nations chrétiennes, 521.

ROMMERO (Julien), gouverneur d'Yvoy, 12.

RONSARD. Excellent poëte français au jugement de Mon-

taigne, 341.

Rossignols. Instruisent leurs petits à chanter, 232, 233.

Ruses de guerre. Condamnées chez les anciens, 10. Au-

torisées chez nous,
ibid.

RUSTICUS. Pourquoi loué par Plutarque et par Montaigne,

181.

Sacrifices humains. En usage dans presque toutes les re-
ligions, 94. Comment pratiqués dans le nouveau monde,
ibid. Constance de ceux qu'on y sacrifiait, ibid. Com-
bien cet usage était farouche et insensé, 264.

Sage. En quoi il diffère du fou par rapport aux passions,

20. Dans la conduite de la vie, le sage est déterminé par

les apparences, 255, 256.

Sagesse. Quelles en sont les marques, 70. Quel est son but,
ibid. Comment définie par Sénèque, 166. Son caractère,
selon Montaigne, 437.

Sagesse et ignorance. Parviennent aux mêmes fins, 157.
SALLUSSES (François, marquis de), 18.

SALONE. Succès étonnant que ses habitants, réduits à l'ex-
trémité, eurent sur ceux qui les tenaient assiégés, 383.

SALSBERI (Guillaume, comte de), 131.

SANCHO, douzième roi de Navarre, surnommé le Trem-

blant, 157.

Satisfaction. Après la mort, de nul poids, 13.
SATURNINUS. Ce qu'il dit aux soldats qui l'avaient élu gé-
néral, 518 el 519.

Savants. Méprisables, parce qu'ils sont mal appris, 55.

Ne s'appliquent qu'à remplir la mémoire, 57. Ne son-

gent qu'à faire une vaine montre de leur science, ibid.

Sottise d'un Romain qui se croyait savant, parce qu'il

avait des savants à ses gages, ibid. Caractère des faux

savants, 58. Surnommés lettres-ferits en Périgord; si-

gnification de ce mot, ibid. Savants qui recherchent la

vérité, comparés aux épis de blé, 253. S'ils peuvent

prétendre à quelque recommandation par leurs écrits,

339. Le principal savoir de notre siècle est de savoir en-

tendre les savants, 559. D'un savant homme qui aimait

à étudier au milieu d'un grand bruit, 566 et suiv.

Sauvages de l'Amérique. Leur constance lorsqu'ils sont

faits prisonniers, 100. Chanson guerrière d'un prison-

nier sauvage, ibid. Chanson amoureuse d'un sauvage
d'Amérique, 101. Du langage de ces sauvages, ibid.
Sauvages venus en France: ce qu'ils jugèrent de nos
moeurs, ibid. Réponse qu'un de ces sauvages fit à Mon-
taigne, ibid. Voyez AMÉRIQUE.

SCEVA, centurion de l'armée de César. Combien de
coups il reçut sur son bouclier en soutenant une attaque,
383.
SCANDERBECH. Comment il fut apaisé par un soldat qui
l'avait irrité, 1. Ce qui suffisait, selon lui, à un chef de
guerre pour garantir sa réputation militaire, 382.
Science. N'est utile qu'autant qu'elle nous devient propre,
57. Doit être accompagnée de jugement, 59. Est dan-
gereuse pour qui n'en sait pas faire usage, 60 et suiv.
Quelle est la plus difficile et la plus importante, 63. De
quelle utilité est la science, ibid. Si elle exempte l'homme
des incommodités humaines, 245. Les sciences traitent
les choses avec trop d'art, 454. Étrange abus qu'on fait
de la science, 482. C'est un bien dont l'acquisition est
dangereuse, 543. Si, dans les maux de la vie, nous tirons
de grands secours des instructions de la science, 549 et

suiv.

Science de gueule. Plaisamment tournée en ridicule, 155.

SCIPION l'Africain. Son intrépidité, 53. A vécu la belle

moitié de sa vie de la gloire acquise en sa jeunesse, 165.

Accusé devant le peuple, dédaigne fièrement de se jus-

tifier, 183.

SCIPION le Jeune. Ce qu'il répondit à un jeune homme qui
lui faisait montre d'un beau bouclier, 202. Comment il

faisait manger ses soldats, 203.

SCIPION, beau-père de Pompée. Acquit beaucoup de gloire

par sa mort, 27.

SCRIBONIA, dame romaine. Pourquoi elle conseille à son
neveu de se tuer, 177.

SCYTHES. Comment excusèrent leur fuite à Darius qui les
poursuivait, 20. Les Scythes s'abreuvaient du sang de

leurs chevaux, 148. Par combien de meurtres ils hono-

raient leurs rois morts, 230 et suiv.

SÉBASTIEN, roi de Portugal, 350.

SEBOND (Raymond). Apologie de sa Théologie naturelle,

218 et suiv. Montaigne le traduisit de l'espagnol en fran-
çais, 219. Objection qu'on faisait contre ce livre, et ré-
ponse, ibid. et suiv. Autre objection contre la faiblesse
de ses arguments, réfutée par Montaigne, 223 et suiv.
SÉCHEL (Georges). Avec quelle horrible férocité il fut traité
après avoir été vaincu et pris par le vayvode de Tran-

sylvanie, 361.

SÉJAN. Pourquoi sa fille fut forcée par le bourreau avant

qu'il l'étranglat, 412.

SELEUCUS, roi. Le peu de cas qu'il faisait de la royauté,
134.

SELIM Ir. Ce qu'il pensait des victoires gagnées en l'ab-

sence du maître, 349.

Semence. Par quel moyen elle devient prolifique, 285.

SÉNÈQUE. Conseil fort extraordinaire qu'il donne à un de

ses amis, 103. Comparé avec Plutarque, 206. Sénèque

prétend ne devoir sa vertu qu'à lui-même, 246. Com-

ment il élève le sage au-dessus de Dieu, 247. Pensée de

Sénèque critiquée avec raison, 311. Sénèque comparé

avec le cardinal de Lorraine, 371. Portrait injuste que

l'historien Dion a fait de ce philosophe, ibid. Sénèque

prêt à mourir par l'ordre de Néron : ce qu'il dit à ses

amis et à sa femme, 385 et suiv. Preuve singulière de

l'affection que Sénèque avait pour sa femme, 387. Grands

efforts qu'il fit pour se préparer contre la mort, 543 et
suiv. Il s'accoutuma, pendant un an, à ne rien manger
qui eût eu vie, 567.

Sens. Si l'expérience des sens peut mettre fin à l'incerti.
tude philosophique, 275. Les sens sont le commence.
ment et la fin de nos connaissances, 302. Il y a lieu de
douter si l'homme est pourvu de tous les sens naturels,
303. Les sens ne trompent jamais, selon Épicure, 304 et
suiv. L'expérience démontre l'erreur de l'opération des
sens, 305. Les sens imposent quelquefois à notre raison,
ibid. Ils sont altérés par les passions de l'âme, 307. Con-
sidération sur les sens des animaux, ibid. Différence ex-
trême entre les effets de leurs sens et les effets des nôtres,
ibid. Combien le jugement de l'opération des sens est
incertain, 308. On ne peut juger définitivement d'une
chose par les apparences qu'on en reçoit par les sens, 309.
Senteurs étrangères. A bon droit suspectes, 158.
Sépulture des morts. Superstition cruelle et puérile des
Athéniens à ce sujet, 8. Comment punie, ibid.
SERTORIUS. Comment il débusqua ses ennemis d'un poste
inaccessible, 238.

SERVITUDE VOLONTAIRE. Titre d'un ouvrage de la Boëtie,
l'ami de Montaigne, 67.

SERVIUS le Grammairien. Comment se délivra de la goutte,

174.

SÉVÉRUS. Voyez CASSIUS.

SEXTILIA, OU SEXTITIA, dame romaine. Pourquoi se donne
la mort, 178.

SFORCE (Ludovic-Marie), dixième duc de Milan. Sa
captivité et sa mort, 26.

SFORCE (François III), fils du précédent, 15.
Silence. Est d'un merveilleux usage aux grands, 485.
Sincérité. Doit être inspirée de bonne heure aux enfants, 67
et suiv.

Singes d'une grandeur extraordinaire qu'Alexandre ren-

contra dans les Indes; comment ils furent attrapés, 455.

Société. Ceux qui se dérobent aux offices communs de la
société prennent le parti le plus commode, 378.

SOCRATE. Ce que c'était que son Démon, 19. Comment il

se joue d'un sophiste qui n'avait rien gagné à Sparte, 61.

Réflexions sur ce qu'il répondit à celui qui lui demanda

d'où il était, 68. Son opinion sur ce que doivent faire les

jeunes gens, les hommes faits et les vieillards, 114. Pour-

quoi il fut estimé le scul sage, 189. Comment s'essayait

à la vertu, 211. Pourquoi la vertu lui devint aisée, ibid.

La gaieté qui accompagna sa mort la met au-dessus de

celle de Caton, 212. Ce qui lui fit donner le nom de

Sage, 251. Réponse de Socrate à ceux qui lui deman-

daient ce qu'il savait, 253. Il ne faisait cas que de la

science des mœurs, 257. Pourquoi se comparait aux sa-

ges femmes, 258. Ses idées confuses de la Divinité, 261.

Ce qu'il demandait aux dieux, 296. Noble constance dont

sa mort fut accompagnée, 313. Il était de beaucoup supé-

rieur à Alexandre, 418. Pourquoi il ne s'opposa que mol-

lement au dessein que ses ennemis avaient de le faire

mourir, 422. Avec quelle fierté il se retira après que

l'armée où il combattait eut été mise en déroute, 467.

Ce qu'il dit en voyant quantité de joyaux et de meubles

de prix, 527. Comment il conseillait qu'on se défendit

contre l'amour, 530. Admirable par la simplicité de ses

discours et de sa conduite, 542. Son caractère, qui nous

a été transmis par des témoins très-fidèles et très-éclairés,

ibid. Discours plein de simplicité qu'il fit à ses juges,

550 et suiv. En quoi consiste la noblesse et l'excellence

de ce discours, 551 et suiv. Portrait abrégé de la no-

blesse et de la simplicité de l'âme de Socrate, 583.

Soi. Combien il importe de savoir être à soi, 113. C'est
une chose louable que d'être juste estimateur de soi-
même, 189. S'occuper de soi n'est pas se plaire en soi,
ibid. Que chacun doit se faire juge de soi-même, 416.
Soie (habits de). Quand les hommes commencèrent à en
mépriser l'usage en France, 137.

Soldat. Venant à guérir d'une maladie qui lui rendait la
vie odieuse, perdit toute sa valeur, 167. Autre soldat qui
n'est vaillant que pour regagner ce qu'il avait perdu,
ibid.

Soldats. Comment leur lâcheté doit être punie, 22. S'ils
doivent être richement armés, 143. S'il leur faut per-
mettre d'insulter l'ennemi, ibid. La vie de soldat est
agréable et très-noble, 575.

Soleil. Son adoration, culte le plus excusable, 260.
SOLIMAN II, empereur des Turcs, 334.
Solitude. L'ambition nous en donne le goût, 111. But

qu'on s'y propose, ibid. Elle ne nous dégage point de
nos vices, 112 et suiv. En quoi consiste la vraie solitude,
112. A qui elle convient le mieux, 113. Quelle occupation
il faut choisir à une telle vie, 115. Solitude recherchée
par dévotion; ce qu'on en doit juger, 115, 116. Le vrai
usage de la solitude, 116. Voyez Retraite.

SOLON. Réflexions sur le mot de ce philosophe, que nul

homme ne peut être dit heureux avant sa mort, 6 et 26.

Ce qu'il répondit à ceux qui l'exhortaient à ne pas ré-
pandre pour son fils mort des larmes inutiles, 299. H
permit aux femmes de se prostituer pour gagner lear
vie, 451.

Sommeil. Ce n'est pas sans raison qu'on lui trouve de la
ressemblance avec la mort, 184 et suiv. Est une voie na-
turelle pour entrer dans le cabinet des dieux, 291.
SOPHOCLE. Mourut de joie, 4. Censuré pour avoir loué un
beau garçon, 93. Jugement en sa faveur; s'il était bien

fondé, 168.

SOPHRONIE (Sainte). Mort de cette vierge, 178.

Sorciers. Raisons qui obligeaient Montaigne à ne rien dé-

cider sur le chapitre des sorciers, et à traiter de chimè-

res la plupart des contes qu'on en fait, 539. Il est porté

à croire que ceux qu'on traite de sorciers ont l'imagina-

tion blessée, 540.

Sot. Il est impossible de traiter de bonne foi avec un sot,

482. Comment un sot dit quelquefois une chose sensée,

488. Ce qu'il y a de plus déplaisant dans le sot, c'est

qu'il admire tout ce qu'il dit, ibid.

Sottise. Ne pouvoir souffrir la sottise est une maladie de

l'esprit fort incommode, 480, 483 et 547. L'extérieur grave

et la fortune de celui qui parle donnent souvent du poids

aux sottises qu'il dit, 484.

Soumission. Adoucit un cœur irrité, 1.

Sourds naturels. Pourquoi ne parlent point, 229.

SPARTIATES. Pourquoi ils refusèrent le prix de la valeur

à un de leurs citoyens qui s'était le plus distingué dans

un combat, 108.

Spectacles publics. Combien utiles dans les grandes villes,

79. Légère description de ceux que les empereurs ro-

mains donnaient au peuple, 471.

SPECSIPPUS, philosophe. Fausse tradition sur sa mort,

29. Il mit fin lui-même à sa vie, 175. Son opinion sur

la nature de Dieu, 261.

SPURINA, jeune Toscan doué d'une beauté singulière.

Pourquoi se défigure tout le visage, 378. En quoi son

action était digne de blame, ibid.

STATILIUS. Pourquoi refusa d'entrer dans la conspiration

contre César, 154.

STILPON, philosophe. Sa constance après l'embrasement

de sa patrie, où il avait tout perdu, 113. Comment il
hâta sa mort, 172. Il devait sa tempérance à ses soins,
214.

Stoïciens. Appellent misérables et fous tous les hommes,
excepté leur sage, 175. Pourquoi le fou, selon eux, ne
doit point renoncer à la vie, ibid.

STRATON, philosophe. Ne reconnaissait pour Dieu que le
mécanisme d'une nature insensible, 261 et 269. Où il
loge l'âme, 277.

STRATONICE, femme de Déjotarus. Vertu de cette prin-
cesse, 101.

STROZZI, maréchal de France, 341 et 379.

SUBRIUS FLAVIUS. Sa constance sur le point d'être mis
à mort, 431.

Succès. N'est pas une preuve d'habileté, 486.

SUFFOLC (duc de), Périt victime de la mauvaise foi de
Henri VII, roi d'Angleterre, 12.

Suicide. Sépulture ignominieuse ordonnée par les lois de
Platon pour ceux qui s'étaient tués eux-mêmes, 176.
Quelles sont les raisons les plus justes de se donner la
mort,
ibid.

Sujets. S'il leur est permis de se rebeller et armer contre
leur prince pour la défense de la religion, 221.
SULMONE (le prince de), 150.

Supérieur. Ce qu'il doit surtout attendre de ses sujets, 24.
Surnoms illustres. Donnés mal à propos à des esprits mé-
diocres, 155.

SYLLA. Se montre inexorable à Péruse, 2. Comment ré-
compense et punit un esclave pour avoir trahi son maî-
tre, 412.

SYLVIUS, médecin célèbre du temps de Montaigne. Con-
seillait de s'enivrer une fois tous les mois, 170.

T.

Table. Quelle était la place d'honneur à table chez les an-
ciens Romains, 152. Plaisirs de la table; comment mé-
nagés par les Grecs et par les Romains, 577.
TACITE. Son génie et son caractère, selon Montaigne,
490. Il a jugé de Pompée avec trop de sévérité, ibid. S'il
a bien jugé d'un mot de Tibère, écrivant au sénat, 491.
Blámé pour s'être excusé d'avoir parlé de soi dans son
Histoire, ibid. Tacite et tous les historiens sont louables
de rapporter des faits extraordinaires et des bruits po-
pulaires, ibid.

TAGÈS. Auteur de l'art de deviner parmi les Toscans, 18.
TALNA. Meurt de joie, 4.

TAMBURLAN OU TAMERLAN, 61 et 149.

TASSO (Torquato), le célèbre poëte, devenu fou quelque
temps avant sa mort, 248.

TAUREA JUBELLIUS. Sa mort généreuse, 179.
TAVERNA (Francisque), ambassadeur de François
Sforce, duc de Milan, 15.

Temps. Incertitude de son compte par les années, 536.
TÉRENCE. S'il est l'auteur des comédies publiées sous son

nom, 117. En quoi Montaigne le trouve admirable, 205.
Pourquoi il doit être placé fort au-dessus de Plaute, ibid.
Son éloge, ibid.

TÉRÈS, roi de Thrace. Sa passion pour la guerre, 126.
TERNATE, la principale ile des Moluques. On n'y entre-
prend jamais la guerre qu'après l'avoir déclarée d'une
manière fort particulière, 10.

Terreurs paniques. Ce qu'on entend par là, 26.
THALES. Ce qu'il fit pour répondre à ceux qui lui repro-
chaient de ne mépriser les richesses que parce qu'il igno-
rait l'art de s'enrichir, 56. Pourquoi ne voulait pas se

marier, 127. Mot de lui à ce sujet, 194. Son opinion sur
la nature de Dieu, 261. Reproche que lui fit une Milé-
sienne, et qui peut s'appliquer à quiconque se mêle de
philosophie, 274. Ce qu'il disait de la nature de notre âme,
277; et de la difficulté pour l'homme de se connaître,
285.

THALESTRIS, reine des Amazones. Pourquoi elle alla trou-
ver Alexandre, 460.

THÉANO, femme de Pythagore. Ce qu'elle disait d'une
femme couchée avec son mari, 38.

THÉBAINS. Adoucis par la fermeté d'Épaminondas, 2.
Cruautés exercées contre eux par Alexandre, 3.
THEMIXTITAN. Sacrifices sanglants offerts à cette divinité,
264.

THÉODORUS. Ce qu'il répondit à Lysimachus, qui menaçait
de le tuer, 120. Ne voulait pas que le sage se hasardat
pour le bien de son pays, 154. Niait ouvertement qu'il
y eût des dieux, 261.

Théologie et philosophie. Se mêlent de régler toutes les
actions des hommes, 93. La théologie ne doit avoir
rien à démêler avec les autres sciences, 162.

THEON le Philosophe. Se promenait en songeant tout en-
dormi, 576.

THEOPHILE, empereur. Forcé par un de ses chefs à sc
sauver par la fuite, après la déroute de son armée, 25.
THEOPHRASTE. Indéterminé dans ses opinions sur la nature
de Dieu, 261.

THÉOPOMPE, roi de Sparte. Refuse un éloge pour le don-
ner à son peuple, 131.

THOMAS (Simon ), médecin, 36.

Thons. Semblent avoir quelque teinture de mathémati-
ques, 241.

THRACE. Ses habitants tiraient des flèches contre le ciel
quand il tonnait, 9. En quoi les rois de Thrace se dis-
tinguaient de leur peuple, 133.

THRASONIDES, jeune homme grec. Pourquoi refuse de
jouir de sa maîtresse, 458.

THURIENS. Ce que leur législateur ordonna contre ceux qui
proposeraient ou l'abolition ou l'introduction d'une nou-
velle loi, 47.

TIBÈRE. Refuse son consentement à un acte perfide qui
aurait tourné à son avantage, 407.
TIGELLINUS. Sa mort pleine de mollesse, 29.

Tigre. Exemple de générosité de cet animal, 241. Tigres
attelés à un coche, 469.

TIMOLÉON. Comment sauvé d'un assassinat, 105. Pourquoi
il pleura son frère à qui il venait de donner la mort,
111. A quelles conditions il fut justifié de ce meurtre par
le sénat de Corinthe, 413.

TIMON, surnomé le Misanthrope. Juge moins mordant
que Diogène, 154.

Trahison utile. Préférée à l'honnêteté hasardeuse, 411.
Combien la trahison est funeste à qui se charge de l'exé-
cuter, ibid. En quel cas la trahison est excusable, ibid.
Trahisons punies par ceux qui les avaient commandées,
ibid. et suiv.

Traitres. Tenus pour maudits par ceux mêmes qui les ré-
compensent,
412.

TRAPEZONCE, c'est-à-dire, George de Trébizonde, dialec-
ticien, 232.

TRIPOLI (Raymond, comte de), 366.

Tristesse. Passion méprisable, 3. Ses effets, ibid. Lors-
qu'elle est extrême, ne se peut exprimer, 4. Exemple
mémorable d'une mort subite occasionnée par la tristesse,
ibid. Autres effets de cette passion, ibid.
TriVulce ( Alexandre). Sa mort, 10.

URGULANIA, aieule de Plautius Silvanus, 313.

V.

Vaillance. A ses limites comme les autres vertus, 21. Est
la première de toutes parmi les Français, 191. Ce qui
doit l'avoir mise en crédit parmi les hommes, ibid. C'é-
tait une vertu populaire en France du temps de Mon-
taigne, 342 et 459.

Vaincus morts. Pleurés par leurs vainqueurs, 109 ct suiv.
Valachi, courriers du Grand Seigneur. Ce qui fait qu'ils
vont avec une extrême diligence, 351.
VALENTINOIS. Voy. BORGIA.

VARRON. Le plus subtil et le plus savant auteur latin, au
jugement de Montaigne, 270. Comment il excusait les
absurdités de la religion romaine, 272. Quelles qualités
il demande dans des convives pour rendre un festin
agréable, 581.

VAUX (Henri de), chevalier champenois, 11.

VELLY (le seigneur du), ambassadeur de France à

Rome, 23.

Vengeance. Celle qui nous porte jusqu'à tuer notre en-

nemi, devient par cela même inutile, 356. Moyen de dis-

siper un violent désir de vengeance, 432.
VENISE (jugement sur), 159.
VERCINGÉTORIX, roi des Arvernes, 382.
Vérité. D'où nous vient sa connaissance, 252. S'il est au
pouvoir de l'homme de la trouver, ibid. Sa recherche,
occupation très-agréable, 258, 259.

Vertu. Comment la volupté en est le but et le fruit, 27.

Le mépris de la mort est un de ses principaux bienfaits,

28. Est le but de la sagesse, 70. Son vrai portrait, ibid.

Comment doit être représentée aux jeunes gens, ibid.

Est facile à acquérir; est la source des vrais plaisirs,

ibid. Son véritable emploi, ibid. Si elle peut être re-

cherchée avec trop d'ardeur, 92. Motifs vicieux détrui-

sent son essence, 108. Se contente de soi, 113. Actions

de vertu excessive, 114. Veut être recherchée unique-

ment pour elle-même, 168. La vertu est supérieure à ce

qu'on appelle bonté naturelle, 210. Doit être accompa-

gnée de difliculté, 211 et suiv. Comment elle devient

aisée dans les âmes nobles comme étaient celles de So-

crate et de Caton, ibid. et suiv. La vertu a différents

degrés, 213. Elle est désirable, indépendamment de la

gloire qui peut l'accompagner, 319. Serait une chose

frivole, si elle tirait sa recommandation de la gloire,

320. A son lustre indépendant de l'approbation des

homines. ibid. et suiv. Une vertu naïve et sincère ne

peut être employée à la conduite d'un état corrompu,

519.

VERVINS (le seigneur de ), condamné à mort, 22.

Vétements. De l'usage de se vêtir, 106.

Veuve. Qui se trouve grosse sans savoir à quelle occasion

elle l'était devenue, 170. On doit laisser aux veuves de

quoi maintenir leur état, 198.

Viandes. Farcies de drogues odoriférantes, 159.

VIBIUS VIRIUS, sénateur de Capoue. Comment lui et vingt-

sept sénateurs de Capoue se donnent la mort, 179 et

suiv.

Vices. Prennent pied dès la plus tendre enfance, et de-

vraient être corrigés au plus tôt, 41 et suiv. Ne sont pas

tous également énormes, 169. Un vice n'entraîne pas

tous les vices à sa suite, 214 et suiv. Vices déguisés

sous le nom de vertus, 409. Douleur qui accompagne le

vice, 416.

Victoire. N'était point acquise, chez les Grecs, à celui qui
demandait à l'ennemi un corps pour l'inhumer, 6. En
quoi elle consiste réellement, 100. Est le but principal
d'un capitaine et de chaque soldat, 139. Celle qui se gagne
sans le maître n'est pas complète, 349.

Vie. Le mépris qu'on en fait, fondement le plus assuré de
notre religion, 33. N'a qu'une entrée, et cent mille is-
sues, 174. Mépris de la vie mal fondé, 175 et suiv. Vie
de l'homme, comparée avec raison à un songe, 307. Vie
exquise est celle qui est réglée intérieurement et en son
particulier, 417. Par quels objets frivoles le désir de la
vie est entretenu, 433. Quel est le vrai but de la vie, 550.
Vieillards. Exemple d'un vieillard qui, voulant se faire
craindre dans sa famille, y était méprisé, 196 et suiv.
Vieillards trompés par leurs domestiques, ibid. D'autres
par leurs femmes, ibid. Les vieillards ont besoin de s'é-
gayer l'esprit, 435 et suiv. Doivent assister aux jeux et
aux exercices des jeunes gens, ibid. et profiter de toutes
les occasions de jouir de quelque plaisir, 436.

Vieilles gens. Ce que c'est que leur sagesse, 421. Leurs dé-

fauts peints au naturel, 422.

Vieillesse. Mourir de vieillesse, chose singulière et extraor-

dinaire, 164. Quelle étude convient à la vieillesse, 362.

Si la vieillesse doit nous empêcher de voyager, 510.

Vierge. Ne pouvait être mise à mort parmi les Romains,

412.

VILLEGAIGNON (Nic. Durand de), chevalier de Malte,

95.

Voyages. De quelle utilité ils sont à un jeune homme, 65.
A quel âge un jeune homme devrait commencer ses
voyages, ibid. Si la vieillesse doit nous empêcher de
voyager, 510.

Vue. Comment elle en impose à l'esprit, 306.

W.

XÉNOCRATE. Établit huit dieux, 261. Comment il maintint sa
continence, 375.

XÉNOPHANES. Le seul philosophe théiste qui ait rejeté toute

sorte de divination, 19. Son opinion sur la nature de
Dieu, 261. Quelle forme les animaux donnent à Dieu,
selon ce philosophe, 271.

XENOPHON. Pourquoi il a écrit sa propre histoire, 117.

Opinion peu déterminée qu'il avait sur la nature de Dieu,

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ZALEUCUS. Lois qu'il fit pour corriger le luxe, 137.

ZAMOLXIS, divinité des Gètes, 264.

ZÉNOBIE. Rare exemple de continence conjugale, 93.

ZÉNON d'Élée. Opinion qu'on lui attribue, 261.

ZÉNON de Citium. Avait deux sortes de disciples, d'un gé-
nie fort différent, 76. Ne reconnaissait pour Dieu que la
loi naturelle, 261. Comment il définissait la nature,
272. Faiblesse de ses arguments, 278 et suiv. Sa chas-
teté, 456.

ZEUXIDAMUS. Réponse de ce roi de Sparte, 74.

ZISCHA (Jean). Ordonne qu'on fasse un tambour de sa peau

après sa mort, 6.

ZOROASTRE. Opinion sur l'époque où il a vécu, 294.

FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.

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