page 674.) A l'exemple de ce grand saint, Fénelon lui-même, dans son Éducation des Filles, a fait des descriptions charmantes des sacrements. Il veut que, pour instruire les enfants, on choisisse dans les histoires (de la religion) « tout ce qui en donne les images les plus riantes et les plus magnifiques, parcequ'il faut employer tout pour faire en sorte que les enfants trouvent la religion belle, aimable et auguste au lieu qu'ils se la représentent d'ordinaire comme quelque chose de triste et de languissant. » Tant d'exemples, tant d'autorités fameuses, ont-ils été ignorés des critiques?
On sait que Sannazar a fait dans ce poëme un mélange ridicule de la fable et de la religion. Cependant il fut honoré pour ce poëme de deux brefs des papes Léon X et Clément VII; ce qui prouve que l'Église a été dans tous les temps plus indulgente que la philosophie moderne, et que la charité chrétienne aime mieux juger un ouvrage par le bien que par le mal qui s'y trouve. La traduction de Théagène et Chariclée valut à Amyot l'abbaye de Bellozanne.
They are extremely fond of grapes, and will climb to the top of the highest trees in quest of them. Carver's Travels through the interior parts of North America, p. 443, third edition, London, 1781.
The bear in America is considered not as a fierce, carnivorous, but as an useful animal; it feeds in Florida upon grapes. John Bartram, description of East Flor. Third edit., London, 1760.
« Il aime surtout (l'ours) le raisin; et comme toutes les forêts sont remplies de vignes qui s'élèvent jusqu'à la cime des plus hauts arbres, il ne fait aucune difficulté d'y grimper. » Charlevoix, Voyage dans l'Amérique septentrionale, tome IV, lett. 44, p. 175, édit. Paris, 1744. Imley dit en propres termes que les ours s'enivrent de raisin (intoxicated with grapes), et qu'on profite de cette circonstance pour les prendre à la chasse. C'est d'ailleurs un fait connu de toute l'Amérique.
Quand on trouve dans un auteur une circonstance extraordinaire qui ne fait pas beauté en elle-même, et qui ne sert qu'à donner la ressemblance au tableau, si cet auteur a d'ailleurs montré quelque sens commun, il seroit naturel de supposer qu'il n'a pas inventé cette circonstance, et qu'il ne fait que rapporter une chose réelle, bien qu'elle soit peu connue. Rien n'empêche qu'on ne trouve Atala une méchante production; mais du moins la nature américaine y est peinte avec la plus scrupuleuse exactitude. C'est une justice que lui rendent tous les voyageurs qui ont visité la Louisiane et les Florides. Je connois deux traductions angloises d'Atala; elles sont parvenues toutes deux en Amérique ; les papiers publics ont annoncé en outre une troisième traduction, publiée à Philadelphie avec succès. Si les tableaux de cette histoire eussent manqué de vérité, auroient-ils réussi chez un peuple qui pouvoit dire à chaque pas: Ce ne sont pas là nos fleuves, nos montagnes, nos forêts? Atala est retournée au désert, et il semble que sa patrie l'a reconnue pour véritable enfant de la solitude.
FIN DES NOTES ET ÉCLAIRCISSEMENTS.
TABLE ANALYTIQUE
DES MATIÈRES.
CONTENUES Dans le génie DU CHRISTIANISME.
ABBADIE écrit en faveur de la Religion, 7
éclat de ses pensées, foiblesse de son styl
ibid.
Abbayes, favorisoient l'agriculture et la po- pulation, 36, 408, 499. Abbés, leur origine, 408. ABEILARD. Voyez Héloïse. ABRAHAM, Son hospitalité, 262, 263.
Académies, nombre des Académies qui s'é- tablirent sous Léon X, 495.
ADAM, sa chute, 19, 60, 545; son portrait, 164.
ADRIEN, éleva des temples à Jésus-Christ,
Amour. V. Passions et DIDON.
Amour champêtre, 203 et suiv.
Amour conjugal d'Adam et d'Ève, 165, 466.
Amour de la patrie, 446; ses effets, ibid. et
suiv.; a fait des prodiges chez les peuples
civilisés, 148, 149; a été perfectionné par
la religion chrétienne, 149; la religion est
son plus puissant motif, 343; ses causes,
124; son effet sur deux esclaves de la Loui-
siane, 120; trait singulier d'un mousse an- glois, 148; trait singulier d'un François fu- gitif, 420, 424."
Amour maternel. V. Mère. Amour paternel. V. Père. Anciens (les) n'avoient pas de poésie pro-
prement dite descriptive, 246 à 224; chez eux il falloit être docte pour écrire, 323. V. Histoire et Historiens. Andromaque, tragédie de Racine : le carac- tère de l'Andromaque moderne, comparé à celui de l'Andromaque d'Homère, lui est supérieur, 475 et suiv.
Anges, leur hiérarchie, 233, 251.
Anglois, leur caractère, 324. Animaux : leur organisation, preuve de l'existence de Dieu, 86 et suiv.; leur in- stinct, 89; leurs cris, 94; migrations de quelques-uns, 95. V. Oiseaux. Ju-Antilles (missions des), 452 et suiv. Apollinaire, le père, mit en vers héroï-
A KEMPIS, auteur de l'Imitation de Jésus- Christ, 240, 353, 334. ALCUIN, moine, enseigna la grammaire à Charlemagne, 496.
ALEMBERT (D'), l'un des auteurs de l'Ency-
clopédie, 8; seroit peu renommé s'il n'eût
mèlé la réputation d'écrivain à celle de
savant, 295.
Alexandre-le-GRAND, se disoit fils de piter, 433.
Allegories antiques (des), 249 et suiv. Allemands, leur caractère, 320, 524. Alzire, tragédie de Voltaire : caractère de Guzman, 473 et suiv.
AMBROISE (S.), Père de l'Église : son style,
329; sa description des cérémonies du bap-
tème, 26; a composé trois traités sur la
virginité, 38, 329.
Ame; ses maladies se perpétuent comme
celles du corps, 20; est une vierge immor-
telle, 37, 58; son immortalité prouvée par
le desir du bonheur, 421 et suiv.; par le
remords et la conscience, 124 et suiv.;
par le respect de l'homme pour les tom-
beaux, 126, 127; par la morale, 546; est
une preuve de l'existence de Dieu, 124 et
suiv. V. aussi la note 44, page 588.
Amérique septentrionale. Monuments ex- traordinaires qu'on y a découverts, 73.
Amilie, est une passion céleste, 192; son
caractère, 492, 193.
AMMIEN MARCELLIN, historien, 346.
Apologistes de la religion, 5 et suiv.; er- reur de ceux qui ont voulu répondre sé- rieusement aux sophistes, 6 et suiv.; la plupart des apologistes de la religion ont été des laïques, 555. Apótres, étonnement que font éprouver leurs Epitres, 239, 260.
Arabes'; leurs cités gigantesques,
Araucana (l'), poëme de don Alonzo de
Ercilla, 453.
ARCHIMEDE doit sa gloire à Polybe, 295. Architecture, 283; les trois chefs-d'œuvre de l'architecture moderne dus au christia- nisme, ibid.; Hôtel des Invalides, ibid. ; École militaire, 284; chacun de ces mo-
numents porte le caractere de son siècle, ibid.; Versailles, 285; églises gothiques, 286; ordre gothique, 287. ARISTIDE, apologiste de la religion, 3. ARISTOTE, sa cosmogonie, 58. ARNOBE, apologiste de la religion, 6. Arts. V. Beaux-Arts.
Arts et métiers, protégés par le clergé, 504 et suiv.; les découvertes des sciences ap- pliquées aux arts mécaniques ne produi- sent presque jamais l'effet qu'on en at- tend, 294.
Astronomie, doit sa naissance à des pas- teurs, 75; est l'une des sciences les plus anciennes, 78; parmi ses protecteurs et ses lumières, on compte des ministres de l'Eglise, 290.
Athalie, tragédie de Racine: caractère de
Joad, 184; examen du songe d'Athalie, 238; cette pièce est l'œuvré le plus par-1 fait du génic inspiré par la religion, 484. Athées, leurs objections, 428 et suiv.; deux sortes d'athées, 432; Copernic, Tycho- Brahé, Kepler, Leibnitz, Newton, ne l'ont pas été, 77; tableau de la mort de la femme athée, 134, 133.
Atheisme, vient après l'hérésic, 7; ses causes, 47; vanité de ce système, 128, 132 et suiv.; son danger et son inutilité pour les diverses classes d'hommes, 132 et suiv., 516; parallèle de la religion chré- tienne et de l'athéisme, 136, 137. ATHÉN GORE, apologiste du christianisme, 6; a mis plus d'esprit que Justin dans sa défense, ibid.
AUGUSTIN (S.); ses Confessions, 330; sa Cité de Dieu, ses épîtres et quelques traités,
BALZAC; son opinion sur le style de Tertul- lien, 332.
Beau idéal; il y en a de deux sortes, 186;
sa définition, 485 et suiv.; le beau idéal du caractère guerrier est l'effet des vertus chrétiennes, 188 et suiv.
Beaux-Arts, sujet du livre premier de la troisième partie, 275, 288. (V. Musique, Peinture, Sculpture, Architecture.) - Les beaux-arts ont dégénéré dans les siècles philosophiques, 285; ont été protégés pár l'Eglise, 289, 494 et suiv; conduisent, par la religion, à la pratique des vertus, 294. Bénédictins; leur origine, 492; règle de leur ordre, 448; services qu'ils ont rendus aux lettres, 492; et à l'agriculture, 499 et suiv. Bénéfices séculiers (les) dûrent leur origine aux agapes, 408.
BENOÎT (S.) ; de sa règle, 448, époque de la fondation de son ordre, 494, 492; l'opu- lence de sa nouvelle abbaye due à ses tra- vaux, 500.
BENTIVOGLIO, historien ; calqua Tite-Live,
BERNARD (S.); son esprit, sa doctrine, 333; services, que lui et ses disciples ont ren- dus à l'agriculture, 499 et suiv.; ce qu'il dit de la chasteté, 38. BERNARDIN de Saint-Pierre; de son Paul et Virginie, 206 et suiv.; en quoi con- siste le charme de cet ouvrage, 207, 208. BEROALD, bibliothécaire du Vatican sous Léon X, publia les Annales de Tacite, nouvellement découvertes en Westphalie,
Bible. V. Écriture sainte.
BODIN, philosophe chrétien, 303, 349. BOERHAAVE, fait certain qu'il a fixé en chi- mie, 297, à la note.
BOETIE (LA); de son traité De la servitude volontaire, 319, 320.
BONIFACE (S.); services qu'il a rendus à l'a- griculture, 500.
Bans (publication des), ignorée de l'anti- BOSSUET, défenseur de la religion chré-
quité, et due à l'Eglise, 42. Baptéme. V. Sacrements.
BARONIUS prouve que le vœu du célibat étoit général parmi le clergé dès le vie siècle,
33. BARTHÉLEMY (l'abbé) avoit d'abord, pour sujet de son grand ouvrage, choisi le siècle
de Léon X, de préférence à celui de Péri- clès, 495; son fragment à ce sujet, ibid. BASILE (S.); son opinion sur les peintres, 279; son style, 533.
Bataves ou Hollandois; leur caractère, 324. BAYARD donne l'ordre de la chevalerie à François Ier, 472.
BAYLE réfuté par Clarke et Leibnitz, 7. BAZIN, moine, fut le premier médecin de Thamas Kouli-khan, 450.
tienne, 7, 19; son Histoire des variations de l'Église protestante, ses Avertisse- ments aux protestants et son Exposition de la doctrine catholique sont des chefs- d'œuvre, 7; dans ses Élévations à Dieu, on retrouve souvent l'auteur des Oraisons funèbres, 61; ses pensées sont abondantes et enchaînées, 347; Bossuet historien, 347, 324 et suiv.; est le premier des historiens françois, 323; comparé à Tacite, 325; trait qu'il a emprunté à Tertullien, 332; Bos- suet orateur, 336 et suiv.; est l'un des Pères de l'Église, 333; comparé à Démos- thene, 327, 336. V. Écrivain, 342, à la note. BOUCHET (le P.) a envoyé en Europe les ta- bles des Brames, 435.
BOUILLON; grandeur de son caractère, 190.
BOURDALOUE, oraleur, 328, 334; a fait un tableau remarquable de l'ambition, 194. BRÉBOEUF (le P.), brûlé par les Iroquois, 461, 462.
BREDEVENT (le P.), jésuite; de sa disserta-
tion physico-mathématique, 430. BRUMOY (le P.); sa remarque sur l'Iphigénie d'Euripide et sur celle de Racine, 179. BRUYÈRE (LA). V. LA BRUYÈRE. BUFFON; ce qu'il pense des mathématiques, 292; ses écrits, 343; manque de sensibilité, ibid.
calcul décimal (le ) n'est ni beau, ni com- mode, 372.
Calédonie ou ancienne Écosse; ses tom- beaux, 392, 393. Calendrier: différents calendriers, 67, 68; réformé par Grégoire XIII, 76. CALMETTE (IE P.); sa citation d'un texte in- dien sur la Trinitė, 14, 15. CAMOENS (Le), auteur de la Lustade, fut le premier poëte épique moderne, 154. CAMUS (PIERRE), évêque de Belley, écrivit une foule de romans pieux, 544. Canada. V. Nouvelle-France. Cantiques gaulois; leur mérite, 37. capitaines (les grands) de l'antiquité ont été remarquables par leur religion, 133. Caractères; caractère du vrai Dieu, 227 et suiv.; caractère de Satan, 234 et suiv.; la religion chrétienne favorable à la pein- ture des caractères, 160; Le Tasse a par- couru tous les caractères de femmes, hors la mère, 445; influence de la religion sur les caractères, savoir: 40 sur les naturels; les époux, Ulysse et Pénélope, 161; Adam et Eve, 164; le père, Priam, 169, Lusi- gnan, 174; la mère, Andromaque d'Ho- mère, 173, Andromaque de Racine, ibid.; le fils, Guzman, 175; la fille, Iphigénie d'Euripide, 178; Iphigénie de Racine, 478, 179; Zaire de Voltaire, ibid.; 2o sur les caractères sociaux, le prêtre, le curé de Mélanie, drame de Laharpe, 180, 181; la sibylle de Virgile, 184 et suiv.; Joad de l'Alhalie de Racine, 182; le guerrier, 185 et suiv.; le guerrier païen, 109; le cheva- lier, 188 et suiv.; Godefroy du Tasse, 190. Cardinaux; leur origine, 497.
Carême; ses prières, 370.
Carême (petit) de Massillon, vanté trop ex- clusivement, 334.
CASTEL (le P.); ce qu'il pense des mathéma- tiques, 292.
CATON, statue consacrée à sa mémoire, 391. Célibat du clergé; ordonné par les conciles,
32, 33; sa nécessité dans les temps mo- dernes, 33; n'a pas nui à la population, 36; considéré sous ses rapports moraux, 37 et suiv.; sentiments de divers auteurs sur le célibat et la virginité, 38, 39. CELSE, adversaire d'Origène, lui est infé-
rieur pour l'érudition et le style, 6; avoue les miracles de Jésus-Christ, 405. Cérémonies du christianisme, sujet inépui- sable de descriptions, 184; cérémonies des fiançailles, 44, 42; dụ baptême dans les premiers siècles de l'Eglise, 25; au Para- guay, 447, 448; du mariage, 41, 42 et 370; de l'extrême-onction, 45; solennité du di- manche, 372; messe, son explication, 375 et suiv.; la Fête-Dieu, 378; les Rogations, 580, 384; les Rois, 384; semaine Sainte, 383; funérailles des grands, 384, 385; fu- nérailles du guerrier, du riche, 385 et suiv.
CESAR, se disoit d'une race céleste, 133. Chanoines, leur origine, 408. Chant grégorien, sa haute origine, 276 et suiv.
CHAPELAIN, son poëme de la Pucelle, 152; seul, il a placé le paradis chrétien dans son véritable jour, 250, à la note. Chapelles; leurs noms primitifs, 408. Charité, vertu théologale, 49; son portrait par S. Paul, 54; charité des missionnaires, 427 et suiv.; de l'acte de charité, 369. CHARLEMAGNE, fonde un hôpital à Ronce- vaux, 444, 445.
CHARLEVOIX, de son Histoire de la Nouvelle- France, 431; sa description d'un des mis- sionnaires du Canada, 458, 459. CHARRON, de son livre de la sagesse, 319,
Chartreuse de Paris (la), poëme, par M. de Chartreux; leur congrégation a existé sept Fontanes, 348 et suiv. cents ans sans avoir besoin de réforme, 418.
chartreux, V. Moines.
Chemins (grands), dus au clergé, 501 et
CHENIER (André) promettoit un rare talent dans l'églogue, 205, à la note; fragment de Chevalerie, son caractère héroïque, 189 et ses ouvrages, note 45, page 606. suiv. (V. Ordres militaires); chevalerie militaire et religieuse ont une origine commune, 463, 464.
Chevaliers (V. Ordres militaires) : vie et mœurs des chevaliers, 186, 469 et suiv.; chevaliers de Malte, 463 et suiv. Chimie, 297 et suiv.
Chine, ses villes, 72; ses tombeaux, 392; services qu'y ont rendus les jésuites, 430; missions, 435.
Chrétiens leur vie dans les premiers temps de l'Eglise, 27, 33, 34; leurs usages, 409; leurs tombeaux, 395.
Chrétienté, voies par où elle signala sa sa- gesse et sa force, 409 et suiv. Christianisme, ses dogmes et sa doctrine, 5,142; examiné sous les rapports de la lit- térature et des arts, 143, 362; son culte, 363, 533; quels sont les ennemis qui l'ont attaqué, 5 et suiv.; preuves que ses défen-
seurs eussent dû donner de son excellence, 8 et suiv.; fausses allégations des sophistes contre lui, 9; rien de plus divin que sa morale, ibid.; l'Europe lui doit les bonnes lois qu'elle possède, 40; de ses lois morales, ou du décalogue, 54 et suiv.; son influence sur les caractères, 160 et suiv.; sur les passions, 194 et suiv.; sa poétique, 443 et suiv.; son merveilleux comparé au merveilleux du paganisme, 160 et suiv., 224 et suiv.; ses fêtes et cérémonies, sujets inépuisables de descriptions, 184; que le christianisme est favorable à la philosophie, 304 et suiv.; tous les genres de gloire littéraire lui appartiennent, 303; il rehausse l'éclat des peintures historiques, 323; du christianisme dans l'élo- | quence, 327 et suiv.; services qu'il a rendus à la société, 410, 479 et suiv. V. Hópitaux et Instruction publique. Chronologie de Moïse; sa vérité crue par les grands génies, 67 et suiv.; n'est pas. détruite par l'astronomie, 78; ni par l'histoire naturelle, 79, 80; ni par la jeunesse et la vieillesse de la terre; 84, 82. Chronologie de divers peuples, 68 et suiv.; sentiment de Voltaire sur la chronologie égyptienne, 585, note 7; sentiment de Plutarque sur le même sujet, 70.
CHRYSOSTOME (S.): son style, 333; sa modération, 508, 509.
Chute de l'homme, prouvée par notre penchant vicieux, 19, 60; causée par l'orgueil, 64.
CICERON; sa description du corps de l'homme, 144, 145ses Verrines et ses Catilinaires, 328.
Cimetières, des anciens cimetières et des nouveaux, 395, 396; cimetières de cam- pagne, 396, 397; - de la Suisse, 397; l'Angleterre, ibid. ; — du Paraguay, 447. CLARKE, profond métaphysicien, 302; ré- fute Spinosa et Bayle, 7.
CLAUDE (l'empereur), loi qu'il fit porter pour épouser Agrippine, 44. CLEANTHE le Samien, opinion d'Aristarchus sur lui, 289.
CLEMENTINE. V. RICHARDSON. Clerc, étymologie de ce mot, 409. Clergé vue générale du clergé, sujet du li- vre IIle de la 4 partie, 402, 427; clergé séculier, sa hiérarchie, 406 et suiv.; pape, cardinaux, évêques (V. ces mots); bas clergé, 412, 413; clergé régulier, ori- gine de la vie monastique, 413 et suiv.; constitutions monastiques, 447 et suiv.; services rendus par le clergé à la société, 36, 37, 479, 499 et suiv. V. Moines. Cloches; considérée comme harmonie, cloche a une beauté de la première sorte, 365; sentiments qu'elles font naître, 364. Cœur, ses mystères, 193.
COEUR-DOUX (le P.) a donné des renseignements sur les teintures indiennes, 430. COFFIN, poëte chrétien, 368.
COLARDEAU, son Épûre d'Héloïse à Abeilard, trad. de Pope, 200; observations critiques sur cet ouvrage, 202, 203. COLBERT et Louvois ont établi les missions françoises, 430.
Colleges. V. Instruction publique. Commerce, protégé par le clergé, 504 et suiv.; les missions ont tourné à son profit, 430.
CoмMINES (Philippe de). V. PHILIPPE, Conciles. V. Célibat du clergé. CONDILLAC (l'abbé de), métaphysicien, n'a rien dit de nouveau, 302; ce qu'il pense des mathématiques, 292; ce qu'il dit des métaphysiciens ses devanciers, 302, 303. Confession. V. Sacrements. Confessions de saint Augustin, de Montai- gne, de Rousseau. V. S. AUGUSTIN, MON- TAIGNE, ROUsseau.
Confirmation; la morale entière de la vie est renfermée dans ce sacrement. V. ce dernier mot.
Confiteor (le) est une prière admirable par sa moralité, 373; Pythagore avoit recom- mandé une pareille confession à ses disci- ples, 369.
confréries religieuses, 464. Congrégations vouées aux lettres et à l'édu- cation de la jeunesse, 491. Conscience, preuves de son existence, 124, 125; est une preuve de l'immortalité de l'ame, ibid.
Considérations (les) sur les causes de la grandeur des Romains et de leur déca- dence, ouvrage de Montesquieu, vivront aussi longtemps que la langue dans la- quelle elles sont écrites, 344.
COPERNIC a rétabli le système du monde, 76; il n'étoit pas athée, 77; son système fut d'abord méconnu à la cour de Rome, 289, 290.
CORAS, son poëme de David, 152. CORNEILLE n'a pas trouvé le christianisme au-dessous de son génie, 244; de son Po- lyeucte, ibid. et suiv. CORNELIUS NÉPOS, historien, 346. Cosmogonies: leur infériorité sur la tradition de Moïse, 57; cosmogonie égyptienne, 58; de Thales, ibid.; de Platon, ibid.; d'Aristote, ibid.; de Zénon, ibid.; d'Épicure, 59; My- thologiques, ibid.; de divers peuples, ibid. Costumes du culte catholique, favorables à la peinture, 284; vêtements des prêtres et ornements de l'église, 365. Coutumes religieuses (les), sont des consola tions pour les malheureux, 360. Couvents maronites, cophtes, etc., leur des- cription, 347, 348. CRÉATEUR. V. DIEU. Credo, 368.
Croisades, beau sujet de poëme épique, 145; leur commencement, 464; leur justice,
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