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DANTE (le), peut-être égalé les plus grands
poëtes dans le pathétique et dans le terri-
ble, 145; son Enfer, poëme, 144, 145,
244; sa description de la porte de l'enfer,
245; épisode de Françoise d'Arimino,
ibid. et suiv.; d'Ugolin, 247.
Daphnis et Chloé, 206, à la note.

David, poëme de Coras, 452, 153; fragment
de ce poëme, 453.

DAVILA, historien, 317.

Décalogue (texte du), 51. 1°. Lois morales.
Découvertes. V. Inventions.
DÉIPHOBE aux enfers, 247.

DELILLE, a excellé dans la poésie descrip-
tive, 225.

Déluge, peinture de cette grande catastrophe, 79 et suiv.

DEMOCRITE, son opinion touchant une ré-
surrection, 139.

DEMOSTHENES, Bossuet peut lui être com-
paré, 327, 336; de son Oraison pour la
couronne et de ses Philippiques, 328.
DENYS D'HALICARNASSE, historien, 346.
DESCARTES, trait de son génie, 77; ce qu'il
pensoit des mathématiques, 292.
Dévolions populaires, 358 et suiv.
DIDEROT, l'un des auteurs de l'Encyclopé
die, 8; de ses ouvrages, 342.

Didon de Virgile, son amour passionné, 194
et suiv.; Didon aux enfers, 245.
DIEU est le grand secret de la nature, 13;
ses voies, 18 et suiv.; son alliance avec
l'homme, 30;· -est la véritable mesure
des choses, 39; son existence prouvée par
les merveilles de la nature, 83 et suiv;
caractère du vrai Dieu, 227 et suiv.; tout
est grand avec Dieu, tout est petit sans
Dieu, 274.

Dimanche, beauté de ce septième jour, 372,

373.

DIODORE DE SICILE, historien, 346.

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| Divinités du paganisme comparées aux di-
Divorce, inconnu dans l'Église, 43; ne peut
vinités chrétiennes, 224 et suiv.
Doctrines. V. Dogmes.
rendre heureux, ibid.

Dogmes et doctrine du christianisme, su-
jet des six premiers livres de la première
partie.

Druïdes, leurs lois, 55.

DU GUESCLIN, son enfance, 470; sa réponse au prince Noir, dont il étoit prisonnier, 478.

DUTERTRE (le P.), joint à une imagination vive un génie tendre et rêveur, 223; de son Histoire des Antilles, 451, 452 et suiv.

E

ÉCOLE militaire. V. Architecture.
Ecosse (ancienne). v. Calédonie.
Écriture sainte, sa vérité, sujet des livres
3 et 4 de la première partie, 57; {. Tra-
dition de Moise): son excellence, 252 et
suiv.; qu'on y trouve trois styles princi-
paux, 254; évangélistes, 257, 258; parallèle
de la Bible et des œuvres d'Homère, 260
et suiv.; termes de comparaison, 261; sim-
plicité. ibid.; antiquité des mœurs, 262;
narrations, 263, 264; descriptions, 264;
comparaisons, ibid.; sublimité, ibid.;
exemples, 265, 274.

Écrivains ceux du siècle de Louis XIV ne s'élevèrent à la perfection que parcequ'ils furent religieux, 8; supériorité de ces mêmes écrivains sur ceux du 18e siècle, 342; Pascal et Bossuet, Molière et La Fontaine sont quatre hommes incomparables, et qu'on ne retrouvera plus, ibid., à la note; causes générales qui ont empêché les écrivains modernes de réussir dans l'histoire, 343 et suiv.; ceux du 18e siècle doivent la plupart de leurs défauts à un système trompeur de philosophie, 344 et suiv. Église, caractère des persécutions qu'elle subit sous l'empereur Julien, 6; elle n'a plus eu besoin d'apologistes depuis Julien jusqu'à Luther, 7; de ses ornements, 365 et suiv.

Égypte : d'un manuscrit du P. Sicard sur ce
Églises. V. Architecture.
pays, 430; des ruines en Egypte, 354 et
Égyptiens: connoissoient peut-être la Tri-
suiv.; de ses tombeaux, 390, 391.
nité, 43, 44; leurs lois morales, 52; leur
cosmogonie, 58; leur chronologie discu-
tée par Plutarque, Hérodote et autres,
70; obscurité de leur chronologie, ibid.
et suiv.; leurs tombeaux, 390, 594.
ÉLIE (le prophète), fondateur des Ordres
religieux, 443.

Discours sur l'histoire universelle, par Bos-Éloquence, du christianisme dans l'élo

suet, 313, 322, 324. On voulut lui opposer l'Essai sur les mœurs des nations, par Voltaire, 322.

quence, 327 et suiv.; éloquence morale inconnue avant l'Évangile, ibid.; les Pères de l'Eglise, S. Ambroise, 329; S. Augus

713

tin, 530 et suiv.; S. Jérôme, 354; Tertul- EUSEBE, défenseur de la religion, 6.
lien, 5 et 334; Lactance, 332, 333; Cyprien, | EUTROPE, historien, 346.
ibid.; S. Chrysostome, 353; S. Basile, ibid.;
S. Grégoire de Nazianze, ibid.; S. Ber-
nard, ibid.; Bossuet, ibid.: orateurs;
Massillon, 434; Bossuet, 336 et suiv.; Tho-
mas à Kempis, 353.
Elysée des Anciens, 157;

Évangélistes, S. Matthieu, 257; S. Marc,
ibid. S. Luc, 258; S. Jean, 257, 258.
Évangile, V. Écriture sainte, et Évangé-

-

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comparé au de Paradis chrétien, 249 et suiv.: des Scandinaves, 138; Mahomet, 437; des chrétiens (V. Paradis): la peinture de l'Élysée antique par Fénelon est celle du Paradis chrétien, 444. Encyclopédie, par Diderot et d'Alembert, 8; est un mauvais ouvrage, 574, note 1; cette opinion étoit celle de Voltaire, ibid. ÉNÉE aux enfers, 246. Eneide. V. VIRGILE.

Enfants (les) ont l'instinct de leur créateur,
131.

Enfants-Trouvés, V. Hôpitaux.
Enfer des Anciens, 438, 244;

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des chrétiens, ibid.; parallèle de l'Enfer et du Tartare, 245.

Enfer, poëme du Dante, V. Dante.
EPAMINONDAS passoit pour le plus reli-
gicux des hommes, 133.
EPICURE, sa cosmogonie, 59.
Epitres, V. Apótres.

Épopée, vue générale des épopées chré-
tiennes, 443 et suiv.; est la première des
compositions poétiques, 143, (V. DANTE,
Araucana, David de Coras, Jérusalem
délivrée, Paradis perdu, saint Louis,
Pucelle de Chapelain, Moïse sauvé de
Saint-Amand, Lusiade, Messie, Hen-
riade).

Époux, Adam et Ève, 164 et suiv.; peinture du bonheur des époux chrétiens, 44. ERASME, défenseur du christianisme, fut foible contre Luther, 7.

ERCILLA, citation de son poëme de l'Araucana, 153, 154.

Esclavage, aboli par la religion, 512, 515 et suiv,, note 52.

Espagne, quelques détails sur ce pays, 660. Espagnols, leur caractère, 324; leurs sentiments religieux, 664.

Espérance. vertu théologale, 49, 50; beauté
de la loi qui la commande, 50; de l'acte
d'espérance, 369.

Esprit des Lois (l'), de Montesquieu, vivra
aussi longtemps que la langue dans laquelle
il est écrit,
344.
Esquimaux, sans attachement à leur pays,

117.

citation

Essai sur l'entendement humain,
de cet ouvrage de Locke, 294.
Essai sur les mœurs des nations, par Vol-
taire, 320, 322: on voulut l'opposer au
Discours sur l'histoire universelle de
Bossuet, 322.

Eucharistie, V. Sacrements.
EURIPIDE, Son Iphigénie, 178; sa Phèdre ·

listes.
ÈVE, V.
Époux.
Évéque, ses fonctions, 441; ses qualités,
414, 412; des anciens droits des évêques
en matière civile, 507.

Exposition de la doctrine catholique, par
BOSSUET, 7.

Extrême-Onction. V. Sacrements,

F

Fanatisme, passage de J.-J. Rousseau sur
cette passion, 208, 209.
Femme, la femme peut être devinée, mais
non connue, 434; la philosophie est mor-
telle à ses attraits, ibid.; la femme athée,
sa mort, 134, 435; la femme religieuse,
135; la femme mère, 135, 156, 173 et
suiv.; la femme passionnée, 194 et suiv.;
de l'influence des femmes chez les peuples
modernes, 245.

FENELON, orateur, 334; sa peinture de l'É-
lysée antique est celle du Paradis chré-
tien, 144.

Fête-Dieu, ses cérémonies, 378; descrip-
tion de cette fête au Paraguay, 448, 449.
Fêtes du christianisme, V. Cérémonies;
comment elles sont célébrées au Paraguay,
447, 448.

Fiançailles, leurs cérémonies, 41, 42; re-
montent à une grande antiquité, ibid,
Fideles, V. Chrétiens.
FLÉCHIER, orateur, 334.
Fleurs, leur description,
FLEURY, ce qu'il dit de saint Grégoire de
Nazianze, 333.

FLORUS, historien, 346.

109.

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Foi, vertu théologale, 47; effets de la foi
chez les Mo-
chez les Anciens, ibid. ;
dernes, 48; est la source des vertus, ibid.
(V. Incrédulité); de l'acte de foi, 369.
FONTANES (M. de), son poëme intitulé: la
Chartreuse de Paris, 348 et suiv,; sa tra-
duction du songe d'Enée, 238, 239; frag-
ment du jour des morts dans une cam-
pagne, 377. Lettre à M. de Fontanes sur
la 2me édition d'un ouvrage de Mme de
Staël, 554 et suiv.

514;

Forêts, les hommes ont pris dans les forêts
la première idée de l'architecture, 287.
François, leur caractère, 317, 321,
pourquoi ils n'ont que des mémoires, 318.
472.
FRANÇOIS Ier fait chevalier par Bayard,
Françoise a’Arimino, V. DANTE (le).
FRA-PAOLO, historien, 347.
38%;
Funérailles des grands, 384,
- des prêtres, 386;
guerrier, 383, 386;
du laboureur, 386, 387.

du

G

TABLE

GALIEN: son admiration en faisant une ana-
lyse anatomique du corps humain, 115; ce
qu'il dit à ce sujet, 115, 116.
Gaules et Gaulois, leurs lois, 53.
Génie du Christianisme, défense de cet ou-
vrage par l'auteur, 334 et suiv.; sujet de
l'ouvrage, 535; son plan, 548 et suiv.; cri-
tiques de détail, 554 et suiv.

Gentils (les), reprochoient aux premiers fi-
dèles de n'être qu'une secte de philoso-
phes, 138.

Géomètre: hors quelques inventeurs, sont condamnés à l'obscurité; les inventeurs eux-mêmes menacés de l'oubli, si l'historien ne les annonce au monde, 295, 296; exemples, ibid. (V. Mathématiciens) GESSNER: beautés et défauts de sa Mort d'Abel, 155.

GIBBON, historien, 317; son opinion sur les
sciences exactes, 294.

GODEFROY (le) du Tasse, chef-d'œuvre du
caractère héroïque, 190; comparé à Aga-
memnon et à Ulysse, 486, 190, 194.
GRÈCE, des tombeaux en Grèce, 391; des rui-
nes, 356.

Grecs (les), comparés aux Romains, 344.
GRÉGOIRE DE NAZIANZE, surnommé le Théo-
logien, 335, 547; ses ouvrages, 333.
GRÉGOIRE DE TOURS, décrit les antiquités
des Gaules, 496.

GRÉGOIRE XIII, réformateur du calendrier, 76.

GROTIUS, philosophe chrétien, 303.

Guaranis, habitants du Paraguay. V. Indiens.

GUÉNÉE (l'abbé), ses Lettres de quelques
juifs portugais eurent un moment de
succès, 8 et à la note.

Guerrier, son caractère, 185 et suiv.; le
Tasse, en peignant les chevaliers, a tracé
le modèle du parfait guerrier, 186.
GUICCIARDINI, historien, 347.
GUISE (FRANÇOIS DE), ses paroles, 177 et à
la note.

Guyane des missions dans ce pays, 450 et
suiv.

H

HARMONIES de la religion chrétienne avec les
scènes de la nature et les passions du cœur
humain, sujet du livre cinquième de la
3 partie, 345 et suiv.; leurs divisions, ibid. ;
harmonies physiques, 346, 358; harmonies
morales, 358, 362. (V. Dévotions popu-
laires, et Ruines.)

HARRIS, sa remarque grammaticale sur le
Paradis perdu de Milton, 246, à la note.
Hébreu, parallèle de la langue hébraïque et
de la langue grecque, 260, 261.
HECTOR, V. PRIAM.

HÉLOÏSE et ABEILARD, caractère d'Héloïse,

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HERODOTE, historien, 345, 346.
Héros chrétien, beauté de son caractère,
133, 134.

Histoire, sujet du livre troisième de la
3e partie, 344, 327; du christianisme dans
la manière d'écrire l'histoire, 311; causes
qui ont empêché les modernes de réussir
dans l'histoire: première cause, beauté des
sujets antiques, 343 et suiv.; deuxième
cause, les Anciens ont épuisé tous les gen-
res d'histoire, hors le genre chrétien, 315
et suiv.; pourquoi les François n'ont que
des mémoires, 348; beau côté de l'histoire
Histoire de Charles XII, par Voltaire, 320,
moderne, 320 et suiv.

322.

Histoire des variations de l'Église protestante, par Bossuet, 7.

Histoire naturelle, 297 et suiv. Historiens anciens, Hérodote, Thucydide, Xénophon, Tite-Live, 315, 316; Tacite, 316; comparés à Bossuet, 325, 326; Polybe, Salluste, Suétone, Plutarque, Velleius Paterculus, Florus, Diodore de Sicile, Trogue Pompée, Denys d'Halicarnasse, Cornélius-Nepos, Quinte-Curce, Aurelius Victor, Ammien Marcellin, Justin, Eutrope, 316; modernes, Bentivoglio, Davila, Guicciardini, Fra-Paolo, Mariana, Hume, Robertson, Gibbon, Machiavel, Montesquieu, 317; Voltaire, 320, 322; Philippe de Commines, 323; Rollin, 324; Bossuet, 324. HOBBES, a écrit contre la certitude des mathématiques, 290.

Hollandois, V. Bataves.

HOMÈRE, semble avoir été particulièrement doué de génie, 145; fragment de l'Odyssée comparé à un fragment du Paradis perdu, 164 et suiv.; caractère de Priam, 169 et suiv.; caractère d'Andromaque inférieur au caractère de l'Andromaque de Racine, 475 et suiv.; voyages des dieux homériques, comparés au voyage de Satan,du Paradis perdu, 242 et suiv.; ses ouvrages comparés à la Bible. V. Écriture sainte; son tombeau, 392.

Homme, il est un étrange mystère, 12 et 101;

preuves des deux grandes fins de l'homme dans le travail de sa mère, 48; il a été créé parfait, 19; sa chute, 19, 60, et suiv.; sans la femme, il seroit rude, grossier, solitaire, 44; étymologie de ce nom, 63; constitution primitive de l'homme, ibid. et suiv.; il est au dernier échelon de la morale, quand il atteint au plus haut degré de civilisation, 64, 65; homme physique,

preuve de l'existence de Dieu, 444; sa description par Cicéron, ibid. ; son desir de bonheur, preuve de son immortalité, 124 et suiv. (V. Ame); son respect pour les tombeaux, 126, 127; le génie et la vertu de l'homme civilisé ne sont que l'instinct et l'innocence du sauvage, 346; tout chez l'homme n'est que ruines, 354. HONTAN (le baron de la), est ignorant et menteur, 429.

Hopitaux: dus au christianisme, 480, 547; les différentes associations qui les desservent, 480 et suiv.; Hôtel-Dieu, 485 et suiv.; Enfants trouvés, 488; fondés par le clergé, 502 et suiv.

Hospitalité d'Abraham, 262, 263, 503; des moines, 503, 504.

Hotel des Invalides, V. Architecture.
Hótel-Dieu, V. Hôpitaux.

HUME, historien, 347.

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Illusions, quiconque a été nourri au sein de

la femme a bu à la coupe des illusions, 119. Imitation de J.-C., 240, 333. Immortalité (V. Homme et Ame), point de morale s'il n'y a point d'autre vie, 126, 127. Imprimerie, à Bologne et à Venise, sous Léon X, une société académique veilloit au perfectionnement de l'imprimerie,

495.

Incarnation (mystère de l'). V. Mystères. Incrédulité, cause principale de la décadence du goût et du génie, 340 et suiv.; cause de l'infériorité de notre siècle, 342. Indiens, connoissoient la Trinité, 44; leurs lois morales, 52; leur chronologie est ridicule, 74.

Indiens du Paraguay, leur conversion, 439; leur bonheur, 443.

Innocence (l'), n'est qu'une sainte ignorance, 11.

Instinct de la patrie. V. Amour de la pa

trie.

Instinct des Animaux. I'. Animaux. Instruction publique, fondations pour l'instruction publique dues au christianisme, 490 et suiv.; universités, 494; utilité des jésuites, 493; leur destruction nuisible à l'instruction publique, 492, 493. Inventions modernes, et découvertes dues aux moines, 496 et suiv.

Iphigénie d'Euripide, caractère d'Iphigénie, 478.

Iphigénie de Racine, caractère d'Iphigénie, 478 et suiv.; son caractère est celui de la fille chrétienne, ibid.

IRÉNÉE, apologiste du christianisme, 5.

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476.

JEANNE D'ARC a ranimé l'esprit de la chevalerie en France, 476.

JEHOVAH, nom qui énonce en un seul mot les trois présences de Dieu, 56. JEROME (S.), ses combats contre les passions, 209, 210; style de ses ouvrages, 334. Jérusalem délivrée, poëme du Tasse, est un modèle parfait de composition, 145, 146; Le Tasse n'a pas osé y employer les grandes machines poétiques du christianisme, ibid.; on y trouve tous les caractères de femme, hors la mère, ibid.; beau caractére de Godefroy, ibid.

Jésuites: degrés de leur ordre, 492, 493; qualités qu'on exigeoit de ceux qu'on destinoît aux missions, 429, 430; services qu'ils ont rendus dans le Levant et à la Chine, 430 et suiv.; de la république chrétienne qu'ils avoient fondée au Paraguay, 443; leur succès dans l'instruction publique, 493, 494; leur ruine lui a été funeste, 493; de quelques jésuites illustres, 493, 494. JÉSUS-CHRIST; de J.-C. et de sa vie, 402 et suiv. (V. aussi MESSIE et Mystères chrétiens); est le sauveur du monde dans le sens matériel comme dans le sens spirituel, 527. Jeune, on retrouve la trace du jeûne dans les anciennes républiques, 366. JOB, le style historique de la Bible prend, dans Job, le ton de l'élégie, 255; Job est la figure de l'humanité souffrante, 256. JOSEPH, son histoire, 268 et suiv.; la reconnoissance de Joseph et de ses frères comparée à celle d'Ulysse et de Télémaque, 270 et suiv.

| Jubilés, substitués aux jeux séculaires, 359. Jugement dernier, 139. Juifs. V. Israélites.

JULIE d'Étanges, son caractère, 198 et suiv. JULIEN l'Apostat, veut imiter les institutions chrétiennes, 6; écrit contre les Galiléens, et est réfuté par S. Cyrille d'Alexandrie, ibid. ; qualités de son style, ibid. Justes, leur bonheur, 444 et suiv. JUSTIN (S.) le philosophe, apologiste de la religion, 5; son style est sans ornement, 6; vie des premiers fidèles, fragment de sa première apologie, 33, 34; autre fragmen, 488.

JUSTINIEN, ses Institutes, 40.

K

KEPLER, a déterminé la forme des orbites planétaires, 76.

KLOPSTOCK, auteur du poëme du Messie, 154, 155; beautés et défauts de son poëme, ibid. et 237.

L

LA BRUYÈRE, moraliste chrétien, 304 et suiv.; son éloge, 303; quelquefois imitateur de Pascal; lui est inférieur, ibid.; exemples, ibid.; comparé à Théophraste et à La Rochefoucauld, ibid. LACTANCE, défenseur de la religion chrétienne, 6; est le Cicéron chrétien, 332. LA FONTAINE. V. Écrivains, 342, à la note. LA HARPE, beau caractère du curé dans son drame de Mélanie, 184; son jugement sur quelques vers de M. de Fontanes, 377; fragment de sa traduction du psautier, 623, note 30; vers sur Voltaire et Rousseau, 627, 628, note 32. Laïque; invention de ce nom, 409. Langues, 260, 567.

LA ROCHEFOUCAULD Comparé à Théophraste et à La Bruyère, 305.

Latin (le) est le plus bel idiome de la terre, 367.

LAVOISIER ; ses découvertes en chimie, 297,

et à la note.

Législateurs; les anciens législateurs s'opposoient aux philosophes et combloient d'honneurs les artistes, 289. Législation. V. Lois.

-

des

lois morales des Egyptiens, 52; Gaules ou des Druïdes, 53; des Indiens, 52; de Minos, ibid. ; de Rome, 55; de Pythagore, ibid.; — - de Solon, ibid.; de Zoroastre, 54; lois civiles et criminelles modernes, 506. LOUIS (SAINT); son portrait par Voltaire, 322, 323.

LOUVOIS. V. COLBERT.

Lusiade (la), poëme du Camoëns, 454; riche
sujet d'épopée, ibid.
LuSIGNAN; son caractère comparé à celui de
Priam, 474 et suiv.

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MARIE (Ste). V. Vierge.

MARIN (le P.), minime, a écrit dix romans pieux fort répandus, 544.

LEGRAS (Mile) a secondé saint Vincent de Mariniers ; prières sur mer, 142, 143, 232;

Paul dans l'établissement des Sœurs de la charité, 489.

LEIBNITZ, profond métaphysicien, 302; réfute Bayle et Spinosa, 7.

LEMOINE (le P.); son poëme intitulé Saint Louis a quelques beautés, 452. LEON X, pape; tableau du siècle qui porte son nom, par Barthélemy, 495. Lettres; services que leur ont rendus les Bénédictins, 492; protégées par Léon X, 495, et par ses successeurs, 496; leurs progrès, 497.

Lettres de quelques Juifs portugais, par l'abbé Guénée, 8, et à la note. Lettres édifiantes furent citées et recherchées par tous les auteurs, 420. Levant; services qu'y ont rendus les jésuites, 434; missions du Levant, 432 et suiv. LINNAEUS; critique de sa dénomination de l'homme mammifère, 298. Littérature. V. Christianisme. LOCKE; de son Essai sur l'entendement humain, 291.

Lois; les bonnes lois dues au christianisme, 40, 506 et suiv.

Lois morales du christianisme, 54, 55, 56; leur esprit, 44; leur beauté, 44, 56; leur supériorité sur celles des hommes, 56, 57;

de leurs vœux, 360.

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Mélanie, drame de La Harpe; beau caractère du curé, 184.

Mémoires pourquoi les François n'ont que des mémoires, 348 et suiv.

Merci (ordre de lu), a donné plusieurs saints au monde, 481.

Mère; son caractère, 135, 136, 173 et suiv. Merveilleux du christianisme; vue des poëmes chrétiens où il remplace la mythologie, 444 et suiv.; Le Tasse n'a pas osé employer les grandes machines poétiques du christianisme, 146; le merveilleux mythologique rapetissoit la nature, 246; parallèle du merveilleux mythologique et du merveilleux du christianisme, 224 et

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