Œuvres Complètes de François de Salignac de La Mothe Fénelon, Zväzok 9Briand, 1810 |
Časté výrazy a frázy
abeilles ACHILLE aimé ALCIBIADE Alcine ALEXANDRE ANNIBAL Aristonous ARISTOTE assez auroit avez aviez avoient avois avoit BAYARD beau belle bocage Braminte c'étoit CAMILLE CARON CATON CÉSAR CHARLES-QUINT cher choses CICERON cœur CONFUCIUS CORIOLAN courage Crésus D'OXENSTIERN DENYS DENYS L'ANCIEN DIALOGUE dieux donner doux enfin ennemis êtes étiez étoient étois étoit FABLE faisoit falloit fée fils fleurs Florise foible foiblesse frère gens gloire gouverner graces Grecs guerre HENRI IV HENRI VIII heureux Homère hommes j'ai j'aurois j'avois j'étois jaloux jamais jeune jour laissé lois LOUIS XI Lycon malheurs MARC AURÈLE MERCURE mieux mort mourir n'ai n'avoit nation NUMA POMPILIUS ombre Orodès par-tout parler paroît PARRHASIUS passer patrie pauvre peine père peuple philosophie PISISTRATE plaisirs Platon POUSSIN pouvoit prince qu'à raison reine république RICHELIEU rien Rome Rosimond royaume sage sang SCIPION seroit SIXTE QUINT SOCRATE SOLON Sophronyme terre trouve tyran vertu veux voilà vois voulois voyoit vrai
Populárne pasáže
Strana 352 - Alibée prouva par de bons témoins que la chose avoit été faite par l'ordre du feu roi, avant que la charge eût été donnée à Alibée.
Strana 268 - Français étaient deux ornements de leur nation par leur courage. Je sens que mon cœur est encore touché pour sa patrie. Mais avançons pour lui parler. Ah! mon pauvre Bayard! c'est avec douleur que je te vois en cet état.
Strana 220 - J'avoue que j'ai dérobé quelque chose à la simple nature, pour m'accommoder au goût d'un peuple magnifique et délicat sur toutes les choses qui ont rapport à la politesse.
Strana 350 - On lui fit apprendre à lire, à écrire, à chanter, et ensuite on lui donna des maîtres pour les arts et pour les sciences qui ornent l'esprit. D'abord il fut un peu ébloui de la cour ; et son grand changement de fortune changea un peu son cœur. Son âge et sa faveur jointes ensemble altérèrent un peu sa sagesse et sa modération.
Strana 410 - Pluton accorda donc à celui-ci qu'il irait dans le corps d'un homme. Mais, comme le dieu eut honte de l'envoyer dans le corps d'un homme sage et vertueux, il le destina au corps d'un harangueur...
Strana 233 - Représentez- vous un rocher qui est dans le côté gauche du tableau. De ce rocher tombe une source d'eau pure et claire, qui, après avoir fait quelques petits bouillons dans sa chute, s'enfuit au travers de la campagne. Un homme qui étoit venu puiser de cette eau est saisi par un serpent monstrueux; le serpent se lie autour de son corps et entrelace ses bras et ses jambes par plusieurs tours, le serre, l'empoisonne de son venin, et l'étouffe.
Strana 284 - SaintQuentin, n'a pas su profiter de la victoire ; il devrait être déjà à Paris. Le comte d'Egmont lui a gagné une autre bataille à Gravelines, et il laisse tout perdre. Voilà Calais repris par le duc de Guise sur les Anglais ; voilà ce même duc qui a pris Thionville pour couvrir Metz. Mon fils gouverne mal ; il ne suit aucun de mes conseils ; il ne me paie point ma pension; il méprise ma conduite et les plus fidèles serviteurs dont je me suis servi.
Strana 66 - Hélas ! ils ne le sont que trop ; c'est ce qui m'afflige : nous convenons vous et moi en ce point, que les hommes ne suivent point la raison. Mais moi, qui ne veux pas faire comme eux...
Strana 29 - Laërte, je cours après vous au travers des dangers ; je sors content de l'étable de Circé, je ne suis plus cochon, je redeviens homme, et homme en garde contre tous les plaisirs. Par tout autre chemin, vous ne me conduirez jamais à votre but. J'aime mieux n'être que cochon gros et gras, content de mon ordure, que d'être homme faible, vain, léger, malin, trompeur et injuste, qui n'espère d'être après sa mort qu'une ombre triste, et un fantôme mécontent de sa condition.
Strana 74 - La couronne m'était due pour cette action : je priai les chefs de l'armée de te la donner. Je n'eus de passion que pour ta gloire. Je n'eusse jamais cru que tu eusses pu devenir la honte de ta patrie et la source de tous ses malheurs.