Mercure de France au dix-neuvième siècle1777 |
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Acome affez affurer ainfi Almanach amant Ananas auffi avoient avoit befoin bienfaifance bonheur c'eft C'eſt caufe charmes Chevalier chofe Chrysès compofé comte comte de Vergennes confeils confidération connoiffances connoître d'Agueffeau defirs deftin devoit difcours efclaves efprit enfans eſt étoient étoit fagacité fage faifant faifoit fciences fe trouve fecond fecours fecret Fée Tricolore fein fenfible fenti fentimens fervir feul fiècle fieur Fingal fociété foient foin foit fon cœur font Fontenelle fous fouvent François fuccès fuis fuivant fujet fur-tout hiftorique homme intéreffante jour jufqu'à juftice l'Abbé l'amour l'Auteur l'efprit laiffe Libraire loix lorfque Madame Madame Dacier Mademoiſelle Magiftrats Majefté malheureux Miniftres Monfieur mufique n'avoit n'eft n'étoit obfervations ordre de Citeaux ordre de Saint-Benoît paffer paffions paroît penfe perfonne Philofophe plaifir plufieurs Porphyre pouvoit Prince Balkin raifon reffources refpect refte Reine rue des Mathurins Siromène talens tendre teur tion trifte tude ufage Warthei Zulmie دو
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Strana 180 - Etienne un moine devoit faire le panégyrique de ce Saint. Comme il étoit déjà tard, les prêtres qui avoient faim craignant que le prédicateur ne fût trop long, le prièrent à l'oreille d'abréger. Le religieux monte en chaire, & après un petit préambule; Mes frères , dit-il , il ya aujourd'hui un an que je vous dis tout ce qui fe peut dire touchant le Saint du jour.
Strana 173 - ... de la Librairie, ceux des Censeurs et des Inspecteurs. 2" un traité abrégé des formalités qu'on doit remplir pour obtenir les différentes permissions d'imprimer, de faire venir des Livres étrangers, de suivre les procès pendans en la Commission ou au Conseil, et enfin de ce qu'il faut faire pour parvenir à être reçu Libraire ou Imprimeur. 3° un Tableau de tous les Libraires et Imprimeurs de Paris et du Royaume. 4° un Tableau des Libraires des principales Villes de l'Europe. 5° un...
Strana 195 - Comte d'Artois, du prince de Condé , du duc de Bourbon , du prince de Conti , du duc de Penthievre , & des chevaliers , commandeurs & officiers de l'Ordre ; deux huiffiers de la chambre du Roi, portant leurs mages, marchaient devant S. M. M.
Strana 179 - L'ayant pris sur ses genoux : « Mon fils, lui » dit-il, ils vont couper la tête à ton père. » Cet enfant, frappé d'une image si nouvelle , le regarda fixement. « Fais-y bien at« tention , mon fils , ils vont me couper la tête , et peut-être te
Strana 173 - On fait, en s'en fervant, une épargne confidérable , ptûfqu'avec un quarteron d'huile on eft très-bien éclairé 8 oa 10 nuits. Ces Bougies artificielles font placées fur un pied qui fert de chandelier , & dans lequel une vis, en forme de noyau, fait monter l'huile. Le cent de ces Bougies ne revient qu à 1 2.
Strana 94 - C'eft donc quelqu'un des tiens ; Car vous ne m'épargnez guère , Vous , vos bergers & vos chiens. On me l'a dit : il faut que je me venge.
Strana 230 - Pire a eu l'honneur d'être préfentée à Leurs Majeftés & à la Famille Royale par la Ducheflie de la Rochefoucauld.
Strana 83 - ... douleurs; qui, avant le temps, précipita dans les fombres demeures une foule de héros, & de leurs cadavres fanglans fit la pâture des chiens & des vautours. Ainfi l'ordonna la volonté fuprême de Jupiter, depuis qu'une fatale querelle eut divifé le fils d'Ar trée , le Monarque des Rois , & le- divin Achille. Quel Dieu alluma le flambeau de ces triftc» discordes ? le fils de Jupiter & de Latone.
Strana 55 - Lé» giflateur , s'imagineroit pouvoir en conclure » qu'il n'eft pas dans le cas pour lequel la Loi » a été faite , & il fe glorifieroit d'avoir fecoué » le joug fer vile de la Lettre , pour fuivre ce » qu'il lui plairoit d'en appeller l'E'fprit ». C'efl ainfi que M. le Chancelier d' AgueiTeau apprécioit l'apparence de juftice & de fupériorité fous laquelle on mafquoit le mépris des formes.
Strana 115 - ... ils jettent les tronçons de leurs armes, chacun d'eux s'élance pour saisir au corps son adversaire ; leurs bras nerveux sont enlacés; ils s'embrassent, ils s'attirent, se balançant à droite et à gauche ; dans leur lutte sanglante, leurs muscles se tendent et se déploient. Mais quand leur fureur, au comble, vint à développer toutes leurs forces, alors la colline ébranlée par leurs efforts trembla au haut de sa cime. Enfin la force de Swaran s'épuise, il tombe, et le roi de Loclin est...