Journal historique, ou Mémoires critiques et littéraires sur les ouvrages dramatiques [&c.] depuis 1748 jusqu'en 1751, Zväzok 21807 |
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Journal historique, ou Mémoires critiques et littéraires sur les ..., Zväzok 3 Charles Collé Úplné zobrazenie - 1807 |
Journal historique, ou Mémoires critiques et littéraires sur les ..., Zväzok 1 Charles Collé Úplné zobrazenie - 1807 |
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acte amour ANGÉLIQUE assez auroit auteur avoit Bagnolet Boismont c'étoit caractère cher Chevalier chose cœur comédie Comédiens comique Comte de Clermont COMTESSE couplets crois dénouement dernier devoit dire donner Duc d'Aumont Duc d'Orléans Dupuis écrite en 1780 étoient étoit eût faisoit femme fille foible Fréron froid gens goût grace homme Ibid j'ai j'avois j'en jamais Joconde jouer jours Kain l'Abbé l'Académie l'ai l'amour l'esprit l'interrompant L'ORME m'en madame Madame de Graffigny Mademoiselle Mademoiselle Clairon Mademoiselle Gaussin Mademoiselle Hus mandeur mariage Marivaux Marmontel Marquise ment mois monde monsieur le Commandeur MORIN musique n'ai n'avoit n'en Note de l'Auteur opéra-comiques ouvrage parade parler paroît passer pense petite philosophie pièce plaisir poëme pourtant pouvoit première représentation Prince public raison RÉCARD reste ridicule rien rôle satyre Saurin scène sentimens sentiment seroit seul Spartacus succès sujet sûr talent théâtre tion tragédie trouve vérité veux VICOMTE voilà Voltaire vraisemblance
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Strana 304 - si différent tous deux l'ont regardé, Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé. Monnet, vain, tracassier, plein d'aigreur et d'envie, Voit couler en repos le reste de sa vie ; L'autre , qui méritoit d'occuper ce haut rang, Est mort sans médecin, d'un crachement de sang. Marmontel m'a dit que la parodie de ces huit vers-là
Strana 524 - pour m'instruire, Si par l'exemple seul on pouvoit se conduire. L'un m'invite à le suivre et l'autre me fait peur; Mais l'exemple souvent n'est qu'un miroir trompeur. Voilà, mes chers amis, ce
Strana 151 - avoit répondu à SM, qu'il la refusoit, par la seule raison que, tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise.
Strana 143 - L'Abbé Abeille étoit Secrétaire de M. de Luxembourg, fils du fameux Maréchal de Luxembourg ; il étoit fort prévenu en sa faveur, au-dessous du médiocre, et méprisé des gens de lettres ; il a été de l'Académie par la protection de son patron. Abeille, arrivant à Paris,., -,..'. ... D'abord, pour vivre, vous chantâtes Quelques messes à juste prix ; Puis,
Strana 209 - Et tant d'esprit, vous êtes née, Pour être joliment damnée , Et pour damner beaucoup de gens. Vous en rappellerez peut-être , Et , peut-être , dans quarante ans , Ferez-vous revenir le prêtre ; Mais , vous avez encor du temps ; Et sur la fin de votre course, Quand vous verrez la mort de près , Vous aurez
Strana 159 - qu'il a l'intrépidité de donner une espèce de poétique , et de faire le législateur aveugle sur des choses qu'il n'a point vues, et que, vraisemblablement, la nature lui a voilées pour toujours. Il faut avouer que Messieurs les Encyclopédistes ont un amour-propre rebutant; à peine ont-ils entrevu un art , qu'ils veulent en donner des
Strana 365 - Je n'ai point à me reprocher de m'y être joint. Dans cette comédie, comme dans celle des Philosophes , j'ai été également indigné de la licence scandaleuse qui s'introduit actuellement, de jouer le citoyen sur le théâtre ; et personne n'a pourtant un plus froid , un plus profond mépris que moi pour
Strana 67 - Pasteur d'autant plus cher à son troupeau , » que ne le quittant jamais , il en étoit plus connu. » Louange rarement donnée, et bien digne d'être » remarquée; dans le cours de vingt années de son » épiscopat, M. l'évêque de Vence ne sortit
Strana 523 - ces beautés dont l'éclat éblouit Et qu'on cesse d'aimer sitôt qu'on en jouit. Dans sa possession , j'ai trouvé pour tous charmes D'effroyables soucis, d'éternelles
Strana 196 - le cœur honnête, et étoit désintéressé au point d'avoir sacrifié à l'établissement d'une partie de sa famille, ce qu'il avoit retiré de ses ouvrages , et de n'avoir rien placé pour lui. Ce garçon étoit d'un commerce doux et aimable ; il chantoit fort joliment, surtout ses chansons poissardes, ou le vaudeville qui avoit quelque caractère.