Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Les bucoliques de Virgile - Strana 229podľa Virgil - 1819 - Počet stránok 275Úplné zobrazenie - O tejto knihe
| 1787 - Počet stránok 354
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembtoit être affermi» Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus ; je ne pouvois parler* Je sentis tout mon... | |
| 1787 - Počet stránok 360
...m'étois engagée, Mon repos mon bonheur sembioit cure Affermit Athènes me montra mon superbe ennemi, Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble 's'éleva dans mon amc éperdue. Mes yeux ne voyaient plus ; je ne pou vois parler t Je sentis tour... | |
| Jean Racine - 1796 - Počet stránok 466
...m'étais engagée , Mon repos , mon honneur semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi: Je le vis, je rougis , je pâlis à sa vue: Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout... | |
| François Moysant - 1803 - Počet stránok 438
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, Je sentis tout mon... | |
| Jean-François de La Harpe - 1798 - Počet stránok 502
...engagée, Mon repos , mon bonheur , semblait être affermi : Athenes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je' rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. IVles yeux ne voyaient plus, j,e ne pouvais parler ; Je sentis tout... | |
| Jean Racine - 1804 - Počet stránok 384
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi; Athènes-me montra mon superbe ennemi : Je le vis ; je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne Toyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon... | |
| Virgil - 1806 - Počet stránok 364
...autant que la vie du berger. Labruyère a dit que l'amour qui naissait subitement était le plus long a guérir. Il est aussi le plus violent , comme on le...vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon... | |
| Louis Dubroca - 1810 - Počet stránok 296
...engagée , Mon repos , mon bonljeur semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon... | |
| Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - Počet stránok 392
...très-heureusement imité en parlant de l'amour, les effets produits par la surprise et les passions violentes. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler. La peur est dans... | |
| Jean Racine - 1811 - Počet stránok 470
...engagée , Mon repos , mon honneur sembloit être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler ; Je sentis tout... | |
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