Revue contemporaine, Zväzok 15;Zväzok 38Bureaux de la Revue contemporaine., 1858 |
Iné vydania - Zobraziť všetky
Časté výrazy a frázy
anglais Arles assez aujourd'hui avaient azote besoin bibliothèque Camargue caravane carbonique Céleste chameau choses commerce considérable Cornélie Corps législatif côté désert despotisme devant Dieu dire doit donner Elias Elmire enfin engrais esprit établi Etats fille Fitz Warin force forme foullanes Foulques fumier Gloria gouvernement Gringore hommes Jacques jamais jardin jardin des Tuileries jour khebir l'air l'autre l'azote l'eau l'esprit l'Esprit des lois l'Etat l'histoire l'homme laisse liberté livres lois lord Louis XIV Lucien madame Dufresne main ment mœurs monarchie Montesquieu morale n'était nation nature nécessaire nitrate noblesse nombre NORNE oasis parler passé passions pays pendant pensée peuple peut-être philosophie Pierre Gringore plantes police politique population pouvoir Précy-le-Sec premier principe public publique qu'une question raison reste Révolution Révolution française rien Rousseau royauté Russie s'est Sahara saint Thomas science scolastique sentiment serait seul sociale société sorte Soudan souvent surtout système terre tion Touât trouve végétal végétation vérité volumes XVIIIe siècle
Populárne pasáže
Strana 484 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Strana 483 - Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple, et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature; et cet homme, ce sera moi.
Strana 503 - Comment une multitude aveugle qui souvent ne sait ce qu'elle veut, parce qu'elle sait rarement ce qui lui est bon, exécuterait-elle d'elle-même une entreprise aussi grande, aussi difficile qu'un système de législation ? De lui-même le peuple veut toujours le bien, mais de lui-même il ne le voit pas toujours. La volonté générale est toujours droite, mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé.
Strana 485 - PAR L'ACADÉMIE DE DIJON: Quelle est l'origine de l'inégalité parmi les hommes, et si elle est autorisée par la loi naturelle?
Strana 492 - L'exemple des sauvages qu'on a presque tous trouvés à ce point, semble confirmer que le genre humain était fait pour y rester toujours, que cet état est la véritable jeunesse du monde, et que tous les progrès ultérieurs ont été, en apparence, autant de pas vers la perfection de l'individu et, en effet, vers la décrépitude de l'espèce.
Strana 51 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Strana 502 - Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants ; ils ne sont que ses commissaires; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle; ce n'est point une loi.
Strana 506 - S'il y avait un peuple de dieux, il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes.
Strana 498 - Ces clauses, bien entendues, se réduisent toutes à une seule, savoir: l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté...
Strana 502 - La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point : elle est la même , ou elle est autre ; il n'ya point de milieu.