... c'est plutôt une gloire céleste qu'une lumière : elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal : elle n'éblouit jamais; au contraire, elle fortifie les yeux et porte dans... Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai - Strana 115podµa François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1835Úplné zobrazenie - O tejto knihe
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - Poèet stránok 512
...lumière: elle pénètre plus subtilement les corps Its plus épais que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal; elle n'éblouit jamais : au contraire..., elle fortifie les yeux, et porte dans le fond de l'ame , je ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que Jes hommes bienheureux sont nourris... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - Poèet stránok 724
...subtilement les corps les plus épais, que les rayons du soleil ne pénetrent le plus pur crystal : elle n'éblouit jamais; au contraire, elle fortifie les yeux et porte dans le fond de l'ame je ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris ;... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1790 - Poèet stránok 430
...les jeux et porte dans le fond de l'ame je ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris ; elle sort d'eux...et elle y entre ; elle les pénètre et s'incorpore à eux comme les alimens s'incorporent à nous. Ils la voient, ils la sentent , ils la respirent ;... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon - 1790 - Poèet stránok 454
...les jeux et porte dans le fond de l'ame je ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris ; elle sort d'eux...et elle y entre ; elle les pénètre et s'incorpore à eux comme les alimens s'incorporent à nous. Ils la voient, ils la sentent , ils la respirent ;... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1805 - Poèet stránok 446
...elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais, que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal ; elle n'éblouit jamais : au...contraire, elle fortifie les yeux et porte dans le fond de l'ame je ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris; elle... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1805 - Poèet stránok 528
...céleste qu'un lumière: elle pénètre plus subtilement les corps que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal ; elle n'éblouit jamais : au contraire, elle fortifie les jeux, et porte dans le fond de l'ame je ne sais quelle sérénité. C'est d'elle seule que les hommes... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon, Villemain (M.) - 1811 - Poèet stránok 440
...elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais , que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal : elle n'éblouit jamais; au contraire..., elle fortifie les yeux et porte dans le fond de; l'ame je ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que ces hommes bienheureux sont nourris ;... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1815 - Poèet stránok 630
...elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais , que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal ; elle n'éblouit jamais , au...ne sais quelle sérénité. C'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris; elle sort d'eux et elle y rentre; elle les pénètre et s'incorpore... | |
| François-René de Chateaubriand - 1816 - Poèet stránok 428
...elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais , que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal : elle n'éblouit jamais ; au...ne sais quelle sérénité : c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris ; elle sort d'eux , et elle y entre : elle les pénètre , et s'incorpore... | |
| Etienne-François Bazot - 1817 - Poèet stránok 374
...elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais , que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal : elle n'éblouit jamais; au contraire,...et elle y entre ; elle les pénètre et s'incorpore à eux comme les alimens s'incorporent à nous. Ils la voient , il* la sentent , ils la respirent ;... | |
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