1082 670 1. Sponsæ Dei an sint Angeli sancti? lib. 6, cap. 7, Utrique probabiliter, num. 20. 11. Ex sola tamen dæmonis suggestione non omnes 12. In statu naturæ lapsæ ab alio animæ hoste ordi- 1069 Cur tentent? num. 6. 1069 U 2. Potestas physica ad tentandum homines, est dæ- UBI, UBIQUE. 1070 1070 3. Hæc dæmonis potestas quomodo dicatur in lege Et latius, cap. 18, a num. 13. Speciatim, num. 17. 1066 2. Hoc ubi seu modus præsentiæ accidentarius est, 430 num. 14. 624 1. Viæ status, seu tempus quid sit? lib. 5, cap. 12, 624 3. Via hominum in statu innocentiæ, non morte, ut 5. In via quænam dona gratiæ receperint Angeli, et 6. In via quæ peccata mali Angeli commiserint, vide VIOLENTUM. 1. Violentum quid, lib. 2, cap. 7, num. 4 et 5. 135 VIRGO MARIA, vide MARIA VIRGO. VIRTUTES. 1. Virtutum habitus, an, et qui reperiri possint in 2. Virtutes pro Angelis, vide CHORUS, num. 5. VISIO BEATA. 1. Visio beata nulli creaturæ potest esse connaturalis 806 488 571 Imo nec bonis in primo instanti, ibid., num. 5. 570 571 UNIO HYPOSTATICA. Nec etiam in secundo illa fuerunt præventi, eod. 622 Eam tamen obtinuerunt immediate post secundum 570 Speciatim, num 11. 368 370 Distingui realiter ab eorum essentia, et intellectu pro- 368 368 Non tamen habitum pravum infundendo, ibid., a 14. Voluntatis alienæ actus, quomodo sint occulti TATIO CORDIS. 744 15. Voluntatis divinæ actus ad intra nullam facit in 746 17. Voluntas Angeli nequit esse determinata quoad 798 18. Non est creabilis voluntas de se determinata ad 21. Ad volitionem præcedere judicium practicum, HỌC 22. Voluntas Angeli non movetur ex sola simplici ap- 23. Voluntas aliquo modo ferri potest in impossibile, 875 24. Voluntas potest se determinare ad primum suum 942 388 25. Voluntas Angeli non fuit in primo instanti physice 944 389 An moraliter? a num. 40. 945 26. Nihil volitum quin præcognitum, quomodo intel- 927 27. Voluntatis conatus, vide CONATUS. 8. Voluntatem esse peccabilem, unde nascatur? et FINIS TOMI SECUNDI. AVIS AUX SOUSCRIPTEURS. Désirant que cette nouvelle édition de Suarez soit aussi correcte que bien imprimée, et digne en tout point de ce grand et célèbre théologien, nous faisons revoir et corriger les épreuves avec le plus grand soin et la plus scrupuleuse attention; nous faisons même collationner le texte sur celui de plusieurs anciennes éditions, dont la plupart sont assez défectueuses. Celle de Venise, que nous réimprimons de préférence, comme la plus estimée et la plus correcte, n'est cependant pas exempte de fautes, et même de très-graves. Nous y avons remarqué non-seulement des mots mis pour d'autres ou passés, mais même des lignes et des phrases tout entières omises, ce qui rend parfois le texte inintelligible. Malgré l'attention la plus soutenue et la plus consciencieuse apportée à la correction des épreuves, on comprend qu'il n'est guère possible de ne pas laisser échapper quelques fautes; puis l'imprimeur peut en faire et en fait effectivement de nouvelles en corrigeant celles qui lui sont indiquées. Voulant donc remédier, autant que possible, à cet inconvénient, nous relèverons les fautes que nous pourrons trouver après l'impression, et nous en ferons des errata, que nous enverrons plus tard aux souscripteurs, pour être placés à la fin de chaque volume. Si quelques-uns d'entre eux étaient assez bons pour nous aider dans ce travail, et noter celles qu'ils rencontreraient à la lecture, et nous les signaler, nous leur en serions doublement reconnaissants, car ils perfectionneraient ainsi l'œuvre à laquelle ils s'intéressent tous, et qu'ils encouragent par leur concours intelligent et dévoué, en nou aidant à mener à bonne fin cette grande et si importante publication. |