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relatives aux pieuses donations », par Ahmad Asch-Schaibànî, mort en 261 de l'H. (874 ap. J.-C.); 1149, le plus ancien manuscrit daté de la collection, copie terminée en 503 de l'H. (1109 ap. J.-C.) '; un volume du Mabsoût, manuel des opinions divergentes des diverses écoles théologiques, par Aboû Bakr Mohammad An-Nîsâboûrî, mort en 318 de l'H. (930 ap. J.-C.).

X. PHILOSOPHIE, mss. 1158-1242, II, pp. 364-430. En dehors des banalités habituelles (poème sur l'âme d'Ibn-Sînâ, Isâgoûgî, Etcayóyn d'après Porphyre, par Athîr ed-dîn Al-Abharî, Schamsiyya, avec ou sans commentaires et gloses, etc.) retenons 1158, 3 et suiv., courtes dissertations dont plusieurs sont d'Ibn-Sinâ (Avicenne) ; 1162, le sadrat al-mountahî du fameux Ibn Wahschiyya, l'auteur de l'agriculture nabatéenne; 1163, « les luttes des philosophes, de Schahrastânî 3, un unicum de 590 de l'H. (1194 ap. J.-C.); 1164, le taháfout alfalásifa impropre. ment appelé au xvio siècle destructio philosophorum, de Gazâlî'; 1165 et 1166, son « ô enfant » et son « flambeau des lumières »; 1238, << l'hygiène de l'esprit » d'Ibn Al-Djauzî, ouvrage qui n'est mème pas cité dans les listes des œuvres de ce fécond écrivain.

XI. SENTENCES ET PROVERBES, Mss. 1243-1250, II, pp. 430-435. 1247 contient le commentaire de Sa'd ed-dîn At-Taftazanî sur les nawabig al-kalim de Zamakhscharî; 1248, un fragment de ce même commentaire; 1250, un recueil alphabétique de proverbes, intitulé nouzhat a l-anfous; « l'auteur, dit M. W. P., est un certain Mohammad ben 'Alî Al‘Irâkî; » il aurait pu ajouter que, d'après Hâdjî Khalîfa, Lexicon bibliographicum, VI, p. 60, il mourut en 561 de l'H. (1165 ap. J.-C.) 3.

M. W. P. (p. 251), le commentaire de Housâm ed-dîn ‘Alî Ar-Râzî sur le Mokhtasar d'Al-Kodoûrî, mais le commentaire que le même auteur avait composé sur sa takmila, sur son « supplément » au Mokhtasar. Le djâmi ‘as-sagîr (no 998) se trouve aussi à Paris, dans deux exemplaires (ancien fonds 521 et supplément 378). — A propos de la p. 274, note I (ms. 1030), M. W. P. a raison de supposer dans le no 304, 3 (Cas., 302, 3) de l'Escurial un exemplaire du Lisân al-houkkám. La copie occupe les feuillets 54-183 du ms. et porte le titre exact, quoi qu'en ait dit Casiri. Quant au nom d'auteur donné par celui-ci, il ne se trouve nulle part dans le ms. qui, du reste, n'en indique aucun et qui s'arrête après le ch. xxi, « le dernier qui ait été rencontré dans l'exemplaire autographe, l'auteur défunt ayant été empêché par la mort d'achever les trente chapitres qu'il avait annoncés. »

1. Ces 267 feuillets sont (et rien n'est plus rare) de la main d'une femme, et encore d'une femme grecque (Roûmiyya), nommée Kamsch, fille d'Abdallah, peut-être une transcription et traduction d'un nom grec Καμίση (?) ἡ θυγατήρ Θεοδούλου.

2. Quelques-uns de ces opuscules viennent de paraître à Constantinople. Voir le Journal Asiatique de 1881, II, p. 531.

3. Quoi qu'en dise Casiri (I, p. 525 b et 537 b), ni l'un ni l'autre des manuscrits de son livre intitulé : « Les religions et les sectes, » que possède l'Escurial, ne sont des manuscrits autographes.

4. M. W. P. a deviné dans le ms. 631, 1 de l'Escurial (Casiri, 628, 1) un exemplaire de cet ouvrage, et il ne s'est pas trompé. Le même ms. (631, 2) contient le mischkát al-anwâr de Gazâlî (ms. de Gotha 1156).

5. La Bibliothèque de l'Escurial possède de lui sous le no 471 (Casiri, 459) une

XII. SCIENCES OCCULTES, mss. 1251-1326, II, pp. 435-495. L'astrologie est réservée pour être réunie à l'astronomie. Que de remplissage pour un dépôt public dans tous ces talismans, carrés magiques, assemblages de lettres, alphabets de fantaisie, chiffres combinés, procédés pour faire servir les noms d'Allâh, et aussi dans ces traités sur les amulettes, sur la pierre philosophale, sur la divination et la prestidigitation, sur les influences secrètes de certains organes des animaux, sur les propriétés des plantes et des pierres, sur l'alchimie et ses recettes, sur l'art de se procurer les trésors cachés en Egypte et en Syrie, sur la prophétie, sur l'interprétation des songes, etc.!

XIII. ARTS ET MÉTIERS', mss. 1327-1376, III, pp. 1-36. J'y remarque 1131, le traité numismatique des poids et des balances d'Elias bar-Sîna métropolitain de Nisibis, mort en 440 de l'H. (1048 ap. J.-C.) ; 1343, trois opuscules sur le jeu d'échecs; 1348, 1 un manuel de la construction des horloges astronomiques, par Ridwân ben Mohammad ben ‘Alî du Khorasan, qui dit avoir apporté de nouveaux perfectionnements à un art, où son père avait excellé, manuel terminé en 600 de l'H. (1203 ap. J.-C.), sans doute à Damas, ms. unique; 1349, la mécanique de Moûsâ ben Schakir; 1374-1376, un exemplaire complet et deux fragments du Mokhtar fi kaschf al-asrâr de Djaubarî, écrivain de la première moitié du vir siècle de l'H. (avant 1252 ap. J.-C.), qui s'est proposé dans ce livre de dissiper toutes les illusions et de démasquer toutes les impos

tures.

XIV. ASTRONOMIE ET ASTROLOGIE, mss. 1377-1473, III, pp. 37-102. Il ne me paraît point que la collection renferme rien de précieux, hors 1384 la tabsira de Bahâ ed-dîn Aboû Mohammad Al Kharakî dans un ancien exemplaire; 1401, explication du premier et du troisième chapitre des tables astronomiques, (az-zîdj al-hâkimî) d'Ibn Yoûnous, mort en 399 de l'H. (1008 ap. J.-C.); 1414, le lawâmi' al-wasa'il, ouvrage sur le maniement des instruments astronomiques, par 'Omar Al-Abharì, mort en 673 de l'H. (1274 ap. J.-C.); 1459, une dissertation astrologique d'Ibn Yoûnous.

XV. MATHÉMATIQUES, mss. 1474-1500, III, pp. 102-124. C'est d'après le ms. 1474 que M. A. Hochheim a traduit le Kâfî d'Al-Karkhî ̧3, arithmétique « suffisante » de la seconde moitié du ive siècle de l'H. (avant 1009 ap. J.-C.). Il ne nous paraît point que rien d'autre présente un intérêt particulier.

anthologie poétique, en tête de laquelle il est nommé : Mohammad ben 'Alî, connu sous le nom d'Al-'Irâkî.

1. L'allemand porte: Künste und Fertigkeiten. Comment rendre ce dernier mot: Il y a surtout le pluriel qui est désespérant, M. W. P. ayant fait entrer dans les « habiletés » et la cuisine, et la fabrication des pierres artificielles, et l'horlogerie, et la musique, etc., etc.

2. M. Sauvaire en a donné récemment une traduction française d'après le manuscrit de Paris. Voir Revue critique 1879, no 26.

3. Halle, 1878-80. 3 fascicules in-4.

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XVI. COSMOGRAPHIE ET GÉOGRAPHIE, mss. 1501-1550, III, pp. 125-180. Ici Seetzen a eu la main heureuse: 1501 et 1502 contiennent la cosmographie d'Al-Kaisî de Grenade dans deux exemplaires; 1503-1510, trois éditions de la cosmographie de Kazwînî et les travaux de Möller sur l'œuvre ainsi que sur l'auteur; 1511 et 1512, le mafátih al-asrâr de 'Abd er-Rahmân Al-Boustâmî, une rareté; 1513, le djâmi' al-founoûn d'Ahmad al-Hanbalî, ouvrage qui, nous apprend M. W. P., a été copié sans vergogne par Ibn Al-Wardî dans sa cosmographie (mss. 1514-1517), dont les copies pullulent dans l'Orient et en Europe; 1518 et 1519, le noschk al-azhár de Mohammad Al-Djarkasî 3; 1521, le Liber Climatum, dont Möller a publié un fac-similé et A. D. Mordtmann une traduction allemande 3, en réalité extrait du kitab al-masâlik d'Istakhrî, qui, dans la Bibliotheca geographorum arabum de M. de Goeje, forme le premier volume "; 1526, la géographie de Kazwînî, qu'il ne faut point confondre avec sa cosmographie 7; 1530 et 1531, la description de l'île de Rauda, près du Caire, par Soyoûtî; 1532-1534, la monographie d'Ibn Az-Zayyât sur le cimetière karafa du Caire ; 1539, le journal des voyages d'Al-Kaisî de Grenade, dont nous avons rencontré la cosmographie 9 (n° 1501 et 1502); 1540, le tâdj al-mafrik, les itiné

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I. P. 125, 1. 10, après ‘Abd, il faut ajouter ar-rahîm. Il sera parlé plus bas de cet auteur, à propos du manuscrit 1539.

2. Le manuscrit de l'Escurial 1634 (Cas., 1629) contient la cosmographie d'Ibn Al-Wardî et débute absolument comme le manuscrit 1517 de Gotha; seulement le titre enluminé porte, ainsi que l'a exactement noté Casiri: Kitáb al-'adjáïb walgaraib, peut-être le nom le plus ancien de l'ouvrage, le manuscrit étant de 898 de 'H. (1492 ap. J.-C.).

3. A propos d'un des manuscrits de Paris, M. W. P. dit : « d'après Wüstenfeld provenant de Saint-Germain. » Cette notice n'indique peut-être point assez clairement que c'est un des manuscrits qui, avant d'être à la Bibliothèque Nationale, se trouvait à Paris, dans l'Abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Voir Delisle (L.), Le cabinet des manuscrits de la Bibliothèque Nationale, II, p. 40-103; et aussi Franklin (A.), Les anciennes bibliothèques de Paris, I, p. 124.

4. Gothae, 1839. In-4.

5. Hamburg, 1845. In-4.

6. Lugduni Batavorum, 1870. In-8.

7. Le manuscrit de l'Escurial 1637 (Cas., 1632), qui contient le même ouvrage porte le titre, déjà signalé par Casiri, de 'adjáïb al-bouldân. Il a été écrit, dix-neuf ans après la mort de l'auteur, en 701 de l'hégire (1301 ap. J.-C.). Les cinq lacunes, qu'il présente, peuvent être comblées avec les cahiers épars dans le ms. 1924 de la même bibliothèque.

8. Est-ce du même auteur qu'est « le livre des poisons, cité par Hâdjî Khalifa, Lexicon bibliographicum, V, p. 96? D'après Casiri, la bibliothèque de l'Escurial contiendrait sous le n° 1636 (Cas., 1631) une cosmographie d'Ibn Az-Zayyât. Il n'en est rien, comme j'aurai bientôt l'occasion de le prouver.

9. L'identification nécessaire des deux auteurs paraît avoir échappé à M. W. P. et aussi à Makkarî, Analectes, qui les cite séparément (éd. de Leyde, I, p. 551 et 617). Que l'on compare les noms et les dates soigneusement extraites par M. W. P., bien entendu en ajoutant ar-rahîm, p. 125, l. 10, que l'on compare aussi Hâdjî Khalîfa, Lexicon bibliographicum, I, pp. 189 et 190, et l'on ne manquera pas d'adopter nos

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raires d'Al-Balawî pendant une excursion de près de cinq ans, probablement un unicum, malheureusement d'une valeur intrinsèque médiocre; 1541 et 1542, les voyages d'Ibn Batoûta dans la rédaction abrégée d'AlBailoûnî; 1543 et 1544, ceux de Kibrît, remplis de renseignements précieux et de citations intéressantes sur l'Egypte; 1545, la relation sur la Palestine du schaikh Ibrâhîm Al-Khiyârî de Médine, qui a été publiée et commentée par F. Tuch '; 1546, le récit d'un pèlerinage accompli en 1096 de l'hégire (1685 ap. J.-C.) à La Mecque et à Médine par un certain Ahmad de Dar'a; 1547, la rédaction moyenne du voyage que le schaikh 'Abd al-Ganî ben Ismâ'îl An-Nâboulousî fit de Damas à Jérusalem en 1101 de l'hégire (1689 ap. J.-C.), rédaction dont on ne connait aucun autre exemplaire; 1548, la relation de l'ambassade de Mohammad Effendî en France, dans une version arabe 3; 1549 et 1550, descriptions de l'Europe méridionale et de Constantinople par des moines chrétiens * qui y étaient venus au milieu du XVIIIe siècle de Beyrouth et d'Alep. (A suivre).

Hartwig DERENBOURG.

56.

Henrici IORDANI Vindiciae sermonis latini antiquissimi. Commentatio ex indice lectionum in regia universitate Albertina per aestatem a. 1882 habendarum seorsum expressa. Regimontii a. 1882. Prostat in officina Hartungiana. 20 pages in-4°.

Cet opuscule forme quatre divisions. La première traite d'abord d'un vase, trouvé à Athènes, sur lequel a été gravé au moyen d'une pointe,

conclusions.

A propos des fragments poétiques contenus dans la seconde partie de ce manuscrit. M. W. P. se trompe sur le contenu du manuscrit de l'Escurial 440 Cas., 438); celui-ci est identique au manuscrit de Constantine, mentionné deux lignes plus haut.

1. Ce travail, d'une grande portée pour la géographie ancienne et moderne de la Palestine, a paru à Leipzig en 1850 (in-4°).

2. Lui-même se nomme toujours Ad-Dimischkî « celui de Damas », qu'il y fût né, ou qu'il y eût établi sa résidence. Voir Flügel dans la Zeits. der deutsch. morg. Gesell., XVI (1862), p. 659. En tout cas, il devait appartenir à une ancienne famille samaritaine de Naplouse.

3. Le texte turc, qui avait d'abord paru à Constantinople dans les Annales de Raschid (1153 de l'hégire, c'est-à-dire 1740 ap. J.-C. 3 vol. in-fol.), III, fol. 82 vo et suiv., a été réimprimé à Paris en 1841 (par les soins de M. A. Jaubert) dans les ■ Chrestomaties orientales à l'usage des élèves de l'Ecole royale et spéciale des Langues orientales vivantes ». Dès 1757, une traduction française avait été publiée sous le titre suivant : Relation de l'ambassade de Mehemed Efendi à la cour de France, écrite par lui-même, et traduite du turc. Constantinople et Paris, 1757. In-12. 4. P. 179, 1. 8, l'orthographe Zakhariyâ avec khá pour Zakariyâ avec káf est très curieuse. La prononciation des deux lettres devait être analogue, puisque, dans les transcriptions de l'arabe en caractères hébraïques, on les confond régulièrement. Le son du káf n'est point vraiment emphatique; il doit être suivi d'une aspiration. dont le kaf hébreu sans dâgésch peut donner une idée. Voir Spitta-Bey, Grammatik des arabischen Vulgær-dialectes von Aegypten (Leipzig, 1880), p. 12.

en caractères très archaïques, un hexamètre ainsi lu par M. Jordan, ὃς νῦν ὀρχηστῶν πάντων ἀταλώτατα παίζει, et suivi d'une douzaine de lettres plus ou moins lisibles. Il est question ensuite de la double inscription, déjà célèbre, d'un vase trouvé en avril 1880 à Rome, Duenosmedfeked... (? Bennus me fecit...). M. Jordan maintient l'explication de nei...uircosied par ne uirgo siet, qu'aucune fille n'assiste à la cérémonie religieuse. A l'appui de cette interprétation il propose un rapprochement nouveau et qui mérite d'être pris en considération, mulier ad eam rem diuinam ne adsit dans un passage du De re rustica de Caton. Mais l'ensemble reste obscur, et aucun détail ne s'explique encore avec certitude '.

La seconde division traite du génitif latin. M. Jordan défend la construction quarum rerum litium causarum condixit (Liv. 1, 32, 11), où M. Madvig a voulu lire causa, par une construction osque de la Table de Bantia (ligne 24) qui équivaut à manum inicere earum rerum. Ensuite il disserte sur l'expression Cornelia Gracchorum, conservée d'une part sur le piédestal encore existant de la statue de Cornélie qui ornait le portique d'Octavie, d'autre part dans un passage de Valère Maxime. - Suivent deux conjectures peu convaincantes sur la célèbre lettre de Cornélie à son fils Gaius.

La troisième division se rapporte à la construction praesente his, prototype, selon M. Jordan, de la construction romane de durant, moyennant, et dont il signale un exemple épigraphique, astante ciuibus; — à une autre construction également devenue romane, celle de fine signifiant jusqu'à (italien actuel fino); - à l'origine, à la forme, à l'histoire syntactique de tenus, et à quatenoc conservé dans Festus ainsi que quandoc (M. Jordan signale aussi posteac dans deux inscriptions). Cette portion de l'opuscule éclaire nombre de points mal connus, et c'est à coup sûr la plus instructive des quatre.

La dernière a trait à l'explication d'elogium par èxeyeïov, qui suppose le changement de leg en log. M. Jordan compare sortiloca (pour sor tilega) dans une inscription, sacrilogos dans une autre, sortilogos dans le principal manuscrit de Porphyrion. Ce rapprochement laisse des doutes, le changement semblant venir ici de l'étymologie populaire, qui aura assimilé sortilegus et sacrilegus à astrologus, prologus,

etc. 2.

Dans ce nouvel opuscule, comme dans son livre Kritische Beiträge zur Geschichte der lateinischen Sprache (Berlin, 1879, vIII-364 pages in-8°), le savant professeur de Königsberg étudie surtout de petits faits

1. Post-scriptum. L'inscription en question a été l'objet d'une communication de M. Bréal à l'Académie des inscriptions et belles-lettres (séance du 3 mars 1882). Voir le bulletin de l'Académie dans le présent numéro.

2. Une assertion inexacte (p. 19, 1. 9 du bas) sur la rareté de sortilegus dans les inscriptions est corrigée, dans l'exemplaire que j'ai reçu, par un renvoi manuscrit au Corpus inscriptionum latinarum, VI, 2274.

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