Obrázky na stránke
PDF
ePub

ver de 1828 à 1829 (Vorlesungen über Aesthetik oder über die Philosophie des Schonen und der schoenen Kunst. xvi et 392 p.) Un auditeur du cours, Edmond de Hagen, avait recueilli ces conférences dans leur entière exactitude et mot pour mot, grâce aux procédés sténographiques de Horstig. Le manuscrit de Hagen, acquis par les héritiers de Leonhardi, le meilleur élève de Krause, est publié aujourd'hui par MM. Paul HOHLFELD u. Aug. WÜNSCHE. M. Hohlfeld a remporté récemment le prix proposé par l'Université d'lena, pour le meilleur travail sur la philosophie de Krause dans son enchaînement historique et son importance pour la vie intellectuelle du temps présent.

[ocr errors]

M. Christ. SIGWART, professeur de philosophie à l'Université de Tubingue, a publié deux volumes intitulés Kleine Schriften (Tübingen, Mohr. In-8°, 255 et 286 p.). Le Ier volume renferme des études de biographie et d'histoire : Cornelius Agrippa de Nettelsheim, Paracelse, Giordano Bruno devant l'Inquisition, Thomas Campanella et ses idées politiques, Keppler, Schleiermacher. Le le volume renferme des essais et dissertations sur des sujets philosophiques.

- Le XXVII volume de l'édition des Œuvres complètes de Herder vient de paraître; c'est le deuxième des Euvres poétiques, et, comme le premier, il est publié par l'actif et savant collaborateur de M. Suphan, M. Carl REDLICH. (Berlin, Weidmann In-8°, xvi et 496 p.) Le volume renferme uniquement des imitations poétiques (Nachdichtungen); Herder n'était pas poète, et, s'il l'est quelquefois, ce n'est qu'en copiant un modèle, et, comme il dit, en cherchant à approprier à sa langue ce qui lui plaît. Le présent volume contient les imitations de poètes grecs (Anthologie, Pindare, pp. 3-210), latins (Horace, Perse, Phèdre, pp. 213-304), orientaux (pp. 306443); ces imitations appartiennent à toutes les périodes de la vie de Herder. Une table renfermant les titres des poésies imitées par Herder et l'indication des poésies originales, ainsi que des notes et remarques, terminent le volume. L'édition des œuvres complètes (1807-1809) ne donnait pas toutes les pièces de vers que publie aujourd'hui M. Redlich, et parmi celles qu'on y trouvait, les unes n'étaient pas de Herder, les autres n'offraient que la première et non définitive rédaction, d'autres enfin avaient été entièrement remaniées par les éditeurs. M. Redlich publie les Nachdichtungen avec la plus scrupuleuse exactitude, et nous en fait connaître un grand nombre d'inédites.

L'Université de Greifswald a proposé les sujets suivants de concours (prix Rubenow, Rubenow - Stiftung.) I. « Histoire de la Poméranie sous la domination suédoise pendant les années 1637-1720 ». II. « Histoire des états provinciaux dans un territoire appartenant actuellement à la monarchie prussienne ». — Les travaux, écrits en langue allemande, devront être envoyés à l'Université de Greifswald avant le 1er mars 1886. Le prix attribué au meilleur travail sur l'une ou l'autre des deux questions proposées, est de 1,200 mark (1,500 fr.).

M. SCHLIEMANN a repris depuis le commencement de ce mois ses fouilles dans la Troade.

BELGIQUE. Dans la séance du 6 février de la classe des lettres de l'Académie de Belgique, M. Th. JUSTE a lu une note sur une œuvre inédite de Nothomb, intitulée Etudes historiques et politiques sur les provinces belges dans leurs rapports avec l'Europe, xvII° siècle. Nothomb avait commencé cette œuvre en 1835, deux ans après l'Essai sur la révolution belge de 1830; il avait conçu le plan suivant: Suprématie de l'Espagne et de l'Autriche. Réaction européenne contre cette suprématie - Etablissement du système de l'équilibre européen, 1648. — Tendance de la France vers la suprématie, traité des Pyrénées, 1659. — Réaction européenne contre la France. Rétablissement du système de l'équilibre européen. Traité d'Utrecht,

[ocr errors]

1713. Nothomb ne put composer son ouvrage en entier; il s'est arrêté au traité de Ryswick, 1997. M. Juste reconnaît dans le livre incomplet de Nothomb « toutes les qualités de l'auteur, sa connaissance parfaite des actes diplomatiques, la perspicacité de son esprit supérieur, l'éclat et la vigueur de son style ».

- On vient de trouver à Angleur, non loin de la Meuse, à un mètre de profondeur, 17 objets de bronze; ce sont divers débris de tuyaux; deux bouches de fontaine représentant une tête de lion et une tête de tigre; quatre signes du zodiaque lion, bélier, poisson, scorpion); une plaque représentant une tête de Méduse, et trois autres plaques, représen tant des têtes de satyres ailés; la statuette d'un petit lion; deux victoires (?) et un homme nu de or2 c. de hauteur. Ces objets ornaient une petite fontaine; ils sont tous, dit-on, d'un très beau dessin et d'une expression très vivante. M. de Laveleye a entretenu de cette découverte la classe des lettres de l'Académie de Belgique (séance du 6 février), et le gouvernement belge a accordé un subside pour faire exécuter de nouvelles fouilles à Angleur.

- La Société des sciences, des arts et des lettres de Hainaut a décerné deux médallles d'or, l'une à M. Théophile LEJEUNE pour son Histoire de Binche, l'autre à M. Em. PRUDHOммE pour sa Chronologie des comtes de Hainaut. DANEMARK.

Nous avons reçu le cinquième fascicule du dictionnaire danoisfrançais (Dansk-norsk — fransk Ordbog) de MM. Thor SUNDBY et Euch. BARUEL; ce fascicule (pp. 521-400) va du mot gageret au mot hindet; plus s'avance la publication de ce dictionnaire, plus il nous semble complet et destiné à remplacer avantageusement celui de Borring, déjà un peu vieilli.

ETATS-UNIS. Sous le titre de The earliest Royal Decree on printing; or Thierry Martins in Spain (placard grand in-fol.) M. William I. KNAPP, professeur de langues modernes à Yale College (New Haven), a publié, d'après un calque qui lui a été remis de Murcie, la lettre adressée par les Rois Catholiques, Ferdinand et Isabelle, de Séville, 25 décembre 1477, aux receveurs des douanes et percepteurs d'impôts de leur royaume, leur ordonnant de ne percevoir ancun droit sur les livres introduits en Espagne par Theodorico Aleman, « imprimeur de livres de forme », et « l'un des principaux inventeurs et auteurs de cet art de faire des livres de forme... qui s'est exposé à de grands périls de mer pour apporter dans notre royaume beaucoup et de notables livres de tout genre ». M. Knapp identifie ce Theodorico Aleman avec le fameux imprimeur d'Alost et de Louvain Thierry Martins (en flamand Dierck Maertens).

d

ITALIE.

M. Giuseppe de LEVA a publié le IVe volume de sa Storia documentata Ji Carlo V in correlazione all'Italia (Venezia, Sacchetto). Les trois premiers volumes de cet ouvrage avaient conduit l'histoire de Charles-Quint jusqu'à 1544; le volume actuel est consacré aux quatre années comprises entre la paix de Crespy et l'Intérim.

ACADEMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 2 mars 1882.

L'Académie procède à trois scrutins pour remplacer M. de Longpérier dans les diverses commissions dont il faisait partie. M. Ravaisson est élu membre de la commission des inscriptions et médailles, M. Miller membre de la commission des tra

vaux littéraires et M. Alexandre Bertrand membre de la commission des antiquités de la France.

M. Bréal communique un nouvel essai d'interprétation d'une inscription latine qui a été trouvée à Rome, près de l'église San-Vitale, entre le Quirinal et le Viminal, en avril 1880, et qui a été étudiée depuis cette époque par MM. Dressel, Bucheler, Jordan et Osthoff. Cette inscription se trouve sur un petit vase d'argile noirâtre, de 3 à 4 centimètres de hauteur, composé de trois petits pots juxtaposés en triangle; elle fait le tour de cet ensemble et se divise en trois parties distinctes. Elle a été tracée à la pointe, avant la cuisson; les lettres sont en général très nettes, bien que parfois la pointe ait glissé et qu'on remarque çà et là quelques corrections. Les caractères sont d'une forme très ancienne. L'inscription est écrite de droite à gauche; c'est la règle universelle pour les inscriptions osques, ombriennes, etc., mais c'est la première fois qu'on rencontre un texte latin écrit de cette façon, et cela prouve la haute antiquité de ce texte. Il ne faut pas s'étonner que la langue aussi en soit très ancienne et que cette inscription ait fort embarrassé ceux qui ont tenté de la traduire. Les mots ne sont pas séparés dans l'original, ce qui crée une difficulté de plus. En transcrivant tout le texte en lettres de forme classique et en les disposant de gauche à droite, on obtient trois lignes ainsi conçues :

IOVEISATDEIVOSQOIMEDMITATNEITEDENDOCOSMISVIRCOSIED
ASTEDNOISIOPETOITESIAIPACARIVOIS

DZENOSMEDFEKEDENMANOMEINOMDZENOINEMEDMALOSTATOD

M. Bréal propose l'interprétation suivante, qu'il s'attache à justifier dans le détail en donnant à propos de chaque mot les explications nécessaires :

Texte séparé en mots: IOVEIS AT DEIVOS QOI ME DMITAT, NEI TED Traduction littérale

et étymologique : Jupiter aut deus ENDO, COSMISV IRCO, SIED.

endo, commissi ergo, sit.

qui me admittat, ne

AS[T] TED NOIS, IO PETO, ITES IAI, PACARI VOIS.
Ast
penso, λιταῖς iis, pacari velis.

te nobis, eo

te

DZENOS MED FEKED EN MANOM. EINOM DZENOI NE MED MALO Dzenos me fecit in bonum. Nunc Dzeno ne me malo

STATOD.

sistito.

Traduction française (c'est le vase même qui parle; il est placé à côté d'un mort et contient des offrandes consacrées aux dieux) :

« Jupiter, ou quel que soit le dieu qui me recevra! que celui-ci (le mort) ne tombe pas en ton pouvoir pour ses fautes!

« Mais laisse-toi apaiser par nous, au moyen de ce don, de ces prières.

« Dzenos m'a offert en sacrifice pour le bien. Ne me prends donc pas en mauvaise part pour Dzenos. >>

M. Bréal pense que cette inscription est du commencement du me siècle avant notre ère. Il suppose que ce Dzenos, qui paraît en être l'auteur, devait être un esclave, car il n'y a qu'un seul nom; un homme libre en aurait au moins deux, un prénom et un gentilice.

M. Gaston Paris indique des difficultés au sujet de deux ou trois détails de l'interprétation de M. Bréal. If lui semble surtout difficile d'admettre me dmitat au sens de me admittat; il manque deux lettres nécessaires, car dans un texte de cette époque on devrait avoir med admitat. Il est singulier que qoi soit pris pour le nominatif qui. M. Paris signale une conjecture qui lui est communiquée par M. O. Rayet et qui couperait court à cette double difficulté sans altérer notablement le sens; il faut lire QOI MED MITAT, cui me mitat: « Jupiter, ou quel que soit le dieu à qui celui-ci

m'envoie! >>

Ouvrages présentés : - par M. Barbier de Meynard le Code pénal, traduit en arabe, par ordre du gouvernement général de l'Algérie, avec notes explicatives dans les deux langues, par N. SEIGNETTE, 1er fascicule (Paris, 1882 in-8°); par M. Georges Perrot MARTHA (Jules), les Sacerdoces aihéniens et Quid significaverint sepulcrales Nereidum figuræ (thèses de doctorat ès-lettres.

-

Julien HAVET.

Le Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, typ. et lith. Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23

D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

N° 12

20 Mars

1882

-

61. Haedo, COLILI

Sommaire : 59. PERTSCH, Les manuscrits arabes de la Bibliothèque ducale de
Gotha (second article). - 60. Cicéron. pro Archia, p. p. P. THOMAS.
Histoire des rois d'Alger, trad. p. H. D. DE GRAMMONT. 62. MASSON, Le mar
quis de Grignan. - Chronique. Académie des Inscriptions.

ERIODIC

59.

Die Arabischen Handschriften der Herzoglichen Bibliothek zu Gotha. Auf Befehl Sr. Hoheit des Herzogs Ernst II. von Sachsen-Coburg-Gotha verzeichnet von Dr Wilhelm PERTSCH. Vol. I (Gotha, 1878), xiv et 492 p.; vol. II Gotha, 1880), vi et 495 p.; vol. III (Gotha, 1881), vi et 488 p. in-8°. (F. A. Perthes.)

II

XVII. HISTOIRE ET BIOGRAPHIE, mss. 1551-1868, III, p. 181-421. Il y a une grande inégalité dans la valeur des manuscrits réunis sous cette rubrique; certaines séries n'y sont point du tout ou sont à peine représentées. Pour l'histoire universelle et pour l'histoire d'Egypte, la bibliothèque de Gotha ne possède guère que des pièces de premier choix '. C'est ainsi qu'on y trouve réunis, 1551, les awáïl de Soyoûtî; 1552, les ma'arif, d'Ibn Kotaiba, mort en 276 de l'hégire (889 ap. J.-C.) 2; 1553, fragments relatifs aux années 63 à 164 de l'H. (682-780 ap. J.-C.), provenant du Mountatham fî ta'khîr al-oumam, histoire universelle par Ibn Al-Djauzî; 1554, les événements des années 290-320 de l'H. (902932 ap. J.-C.) d'après Tabarî par un de ses abréviateurs 'Arîb de Cordoue, qui vivait dans la seconde moitié du xe siècle de notre ère; 1555, les récits sur les dynasties », par 'Ali ben Thâfir Al-Halabî Al-Azdî; 1556, parties 11 et 12 du Mir'ât az-zamân, le grand ouvrage historique d'Ibn Al-Djauzî 3; 1557, le premier volume, depuis Adam jusqu'à l'an 11 de l'empereur Heraclius, de la compilation qu'a écrite le chrétien Al

1. La plus grande partie de ces matériaux a été mise en œuvre par M. G. Weil dans sa Geschichte der Chalifen, Mannheim, Leipzig et Stuttgart, 1846-1862, 5 vol. in-8°.

2. Comme tant d'autres ouvrages de l'ancienne littérature arabe, ce manuel d'histoire générale selon la conception des Arabes a été publié (Goettingen, 1850, in-4o), par M. F. Wüstenfeld, dont les éditions suffiraient à constituer une bibliothèque arabe. Cet infatigable travailleur n'a jamais chômé depuis 1825, et nous ne savons pas quelles surprises il nous ménage encore.

3. Aux manuscrits de l'Escurial, cités par Dozy, Catalogus codicum Orientalium bibliothecae Academiae Lugduno Batavae, II, p. 147, passage auquel renvoie M. W. P., il faut ajouter le n° 1665 (Cas., 1660), qui renferme un quatorzième volume de 145 feuillets, sans titre et sans commencement, se rapportant aux années 235-270 de l'H. (849-883 ap. J.-C.).

Nouvelle série, XIII.

12

Makîn; 1563-1565, fragments, et 1566, rédaction abrégée de la grande chronique d'Ad-Dhahabî; 1567, les années 297-337 de l'H. (909-948 ap. J.-C.) des « sources des histoires » d'Ibn Schâkir; 1568 et 1569, deux volumes détachés d'al-bidaya wan-nihaya d'Ibn Kathir; 1570-1572, trois volumes du nouzhat-al-anám, une chronique, comme l'ouvrage précédent, par Ibn Dakmák; 1573, le raudat al-manáthir d'Ibn Schihna '; 1574, les années 825-834 (1421-1430 ap. J.-C.) d'une chronique qu'on suppose être d'Ibn Kâdî Schohba; 1575 et 1576, le kitáb al-djoumán de Mohammad Asch-Schâtibî; 1577, 194 feuillets du mardj az-zouhoûr de Mohammad Al-Djarkasî, moins de la moitié de ce qui se trouve dans le seul autre manuscrit connu, le manuscrit de Vienne, qui est également incomplet; 1584-1586, l'histoire des khalifes de Soyoûti; 1596 et 1597, le moustadjad, collection d'anecdotes sur les chalifes abbasides, par AtTanoùkhi ; 1616, l'inévitable bark al-yamânî.

La section égyptienne est bien remarquable: elle comprend 1617 et 1618, deux opuscules sur l'Egypte, par Ibn Zoûlak, mort en 387 de l'H. (997 ap. J.-C.); 1619, un curieux traité sur la géographie et l'administration de l'Egypte par Ahmad Al-Kalkaschandî 3; 1620 et 1621, fragments du souloûk, la célèbre histoire d'Egypte de Makrizi; 1622 et 1623, l'inbâ al-gomr d'Ibn Hadjar Al-'Askalânî, histoire d'Egypte pendant les années 773-850 de l'H. (1371-1446 ap. J.-C.); 1624 et 1625, l'abrégé d'Aboû 'l-mahâsin Yoûsouf ben Tagrî Bardî, intitulé maurid al-latâfa; 1626 et 1627, deux ouvrages historiques sur l'Egypte, du même auteur; 1628 et 1629, le premier un autographe, les fadáïl al-báhira, courte description et histoire abrégée de l'Egypte et du Caire, par Mohammad Al-Kodsî; 1630, le housn almouhadara de Soyoûtî, pas une rareté précisément; 1631 et 1632, le mabahidj al-ikhwán d'Ibn Al-Adjami, une chronique d'Egypte depuis la conquête du sultan Sâlim I en 922 de l'H. (1516 ap. J.-C.) jusqu'à l'an 1016 (1607 ap. J.-C.); 1633-1637, cinq exemplaires plus ou moins complets du latâïf akhbar al-awwal, de Mohammad ben 'Abd almou'ti Al-Ishaki Al-Manoùfi, histoire d'Egypte depuis la conquête musulmane jusqu'à la conquête du sultan Moustafâ I, ouvrage terminé dans la crnière année de son règne en 1032 de l'H. (1622 ap. J.-C.); 1638, ar-rauda az-zahiyya, histoire d'Egypte depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1035 de l'H. (1625 ap. J.-C.), par Ibn Abî 'sSouroûr As-Sadikî; 1639 et 1640, deux exemplaires du dhakhîrat al

1. Le manuscrit de l'Escurial 1838 (Cas., 1833), que M. W. P. cite p. 202, a disparu de cette bibliothèque.

2. D'après p. 223, 1. 2, il semblerait que le manuscrit de l'Escurial 1727, 1 (Cas., 1722, 1) eût exactement le même nom pour l'auteur que le ms. de Gotha. Il est nommé dans le manuscrit de l'Escurial 'Aboù lhasan 'Ali ben 'Abd al-mouhsin ben 'Abd al-moun'im At-Tanoûkhi..

3. M. F. Wüstenfeld en a récemment donné une traduction allemande (Goettingen, 1879, in-4°).

« PredošláPokračovať »