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Après un avant-propos où il relève un grand nombre de formes vicieuses, qui se sont glissées dans le texte de la seconde partie du Faust, M. K. J. S, retrace la genèse de cette dernière production de Goethe et en suit avec un soin scrupuleux les phases diverses; puis, commentant scène par scène les cinq actes du drame, il nous montre à quelle occasion ou dans quelle circonstance chacune d'elles a été composée; je ne connais rien de plus instructif, de plus propre à donner une intelligence véritable de l'œuvre du grand poète que cette étude simple et lumineuse; M. K. J. S. a rompu avec cette exégèse fantaisiste, qui, faisant violence au texte, voulait trouver dans le Faust un système philosophique tout fait; pour lui sans doute le héros de Goethe est bien le représentant de l'homme moderne dans ses aspirations incessantes vers l'idéal, mais c'est aussi avant tout un fils de la nature, et si le symbole se mêle à son histoire, M. K. J. S. n'oublie pas que cette histoire, dans ses traits essentiels, a été d'abord fournie au poète par la légende du xvi° siècle; Goethe l'a transformée, il est vrai, mais le plus souvent, M. K. J. S. le rappelle fort à propos, en y mêlant des épisodes empruntés à des poètes modernes, en particulier à Hans Sachs. C'est le mérite du savant éditeur d'avoir mis en évidence, mieux qu'on ne l'avait encore fait, tout ce que Goethe doit à ce dernier; ainsi la scène de Méphistophélès à la cour de l'empereur, l'évocation d'Hélène, inconnue à l'ancienne légende de Faust, sont tirées du poète nurembergeois. On voit par là combien les conceptions, les plus singulières en apparence, du drame de Goethe s'expliquent sans peine, grâce au commentaire historique de M. K. J. Schröer. Je me bornerai à en donner encore un exemple. On sait combien est peu satisfaisant ce qu'on a dit de la nature des Mères que Faust va consulter au premier acte; pour M. K. J. S., ce nom mysté rieux n'est autre que celui des déesses honorées à Engyion, au rapport de Plutarque, nom dont Goethe s'est emparé pour en faire celui des divinités qui révèlent à son héros le moyen d'évoquer de l'autre monde Paris et Hélène.

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C'est seulement après ce commentaire général de plus de cent pages que M. K. J. S. donne le texte du Faust; établi avec la critique la plus sévère, il est accompagné de notes substantielles qui éclaircissent chaque difficulté, chaque allusion obscure; et l'on sait si l'œuvre de Goethe en renferme, chaque forme incertaine; M. K. J. S. y a fait preuve d'une érudition aussi étendue que sûre, en même temps qu'il y a mis toute sa connaissance intime de son poète favori; je doute aussi qu'on puisse ajouter beaucoup après lui à l'intelligence du second Faust. Une table alphabétique très complète permet de se reporter sans peine aux divers passages commentés ou étudiés de l'oeuvre de Goethe. Enfin, M. K. J. Schröer a donné en appendice, ce qui n'est pas une des parties les moins précieuses ou utiles de son livre, une longue liste de lectures erronées de fautes d'impression ou de leçons nouvelles du premier Faust; il ne pouvait plus dignement compléter son œuvre, et c'est là un nouveau

titre de recommandation pour son édition du drame de Goethe, auquel son nom restera désormais attaché, comme celui de tout éditeur consciencieux à l'ouvrage qu'il publie.

J.

CHRONIQUE

FRANCE. Le IIe volume de l'Empire des tsars et des Russes, de M. Anatole LEROY-BEAULIEU, doit prochainement paraître à la librairie Hachette.

La Nouvelle Revue a publié, dans sa livraison du 1er août, quelques chapitres des Mémoires du baron de Vitrolles qui paraîtront bientôt chez Charpentier, — s'ils ne paraissent au moment où nous publions ces lignes. Ces mémoires seront utiles à l'historien de la Restauration, et l'on trouve dans les pages que donne la Nouvelle Revue d'intéressantes observations et de curieux détails sur Stadion, Metternich, etc.

Nous avons annoncé un volume de la Petite Bibliothèque messine, publié par M. E. de BOUTEILLER et intitulé Eloge de Metz, par Sigebert de Gembloux, poème latin traduit et annoté, suivi de quelques autres pièces sur le même sujet (Dumoulin. In-12, 148 pp. 5 fr. Tiré à 245 exempl.) Ce charmant volume, précédé d'une introduction et accompagné de notes instructives, renferme, outre l'Eloge de Metz (placé comme annexe à la suite de la Vie en vers de Thierry I, quoiqu'il ne semble pas en avoir fait primitivement partie), l'épitre à Villicus où Fortunat a chanté l'antique Divodurum et ses beaux environs, le poème latin du bénédictin don Bermudez Pierron, Templum Metensibus sacrum, et des vers français de Paul Ferry à l'« illus tre cité, sa douce patrie ».

Le tome VII de la Bibliothèque oratorienne publiée par le P. INGOLD renferme un ouvrage inédit du P. Ch. de Condren, les Considérations sur les mystères de Jésus-Christ, selon que l'Eglise les propose pendant le cours de l'année. (Poussielgue. In-18o, xxv-225 pp.), d'après un manuscrit de la bibliothèque Mazarine; on y trouve, dit l'introduction, cette profonde et sublime spiritualité qui a fait du P. de Condren l'une des plus grandes lumières de France, lumière à ce point éblouissante que sainte Chantal disait qu'il lui semblait que Dieu l'avait rendu capable d'instruire les anges. Le volume renferme, en outre, quelques fragments de l'Oraison funèbre du P. de Condren, prononcée par l'évêque de Saint-Brieuc, Etienne de Virazel, et quelques lettres inédites de ce second général de l'Oratoire.

M. le chanoine CALLEN, professeur à la Faculté de théologie de Bordeaux, entreprend de donner, en deux volumes (Bordeaux, Feret) une nouvelle édition de l'ouvrage publié en 1668 par Lopès, chanoine et théologal de Saint-André, et intitulé L'Eglise métropolitaine et primatiale de S. André de Bordeaux où il est traité de la noblesse, droits, honneurs et prééminences de cette Eglise, avec l'histoire de ses archevêques et le pouillé des bénéfices du diocèse. Cet ouvrage, le plus important qui ait paru sur l'histoire ecclésiastique de Bordeaux, est divisé en trois parties, l'Eglise, les Archevêques, le Chapitre; il décrit la cathédrale, ses reliques,les œuvres d'art qu'elle contenait au temps de Lopès; il renferme de courtes notices sur les archevêques jusqu'à Henri de Béthune, et les plus complètes informations sur la vie et les usages du chapitre; enfin, il donne une foule de pièces justificatives, bulles, lettres patentes, arrêts du parlement, etc. La nouvelle édition de l'ouvrage de Lopès comprendra, outre des gravures, des fac-similés et une carte de l'ancien

diocèse de Bordeaux, une introduction sur la vie et l'œuvre du savant chanoine, des notes en grand nombre, et un supplément ou plutôt une continuation du livre à laquelle collaboreront plusieurs érudits, grands connaisseurs des archives de Bordeaux et de la Gironde.

M. G. HÉRELLE a publié, il y a quelque temps, la Correspondance inédite (in-8°, 52 p.), d'un des plus ardents jansénistes, Dom Thierry de Viaixnes; agent dévoué de son parti, dit M. H., fort bien renseigné sur les faits et gestes du clergé contemporain, en relations suivies et journalières avec plusieurs évêques, ami intime du célèbre auteur des Réflexions morales, homme de science et d'action tout à la fois, dom Thierry de Viaixnes parut à ses adversaires assez redoutable pour mériter leurs persécutions, fut emprisonné plusieurs fois et mourut en exil. La correspondance publiée par M. Hérelle comprend seize lettres adressées à l'abbé Longer de Saint Jean (1717-1721) et précédées d'un mémoire de dom Thierry au lieutenant du Roy de Vincennes. Il est surtout question dans ces lettres du P. Quesnel; Dom Thierry attaque les jésuites avec violence; « il faut, dit-il, accuser Molina, Suarez et leurs disciples de pélagianisme, et même de pire que pelagianisme pour les principes de morale; il faut convaincre les jésuites dans cette dénonciation, de corrompre toute la morale de l'Evangile, et de renverser les parties les plus essentielles de la discipline ».

- Philomneste Junior, le fécond bibliographe, a publié récemment la Bibliomanie en 1881, bibliographie rétrospective des adjudications les plus remarquables faites cette année, et de la valeur primitive de ces ouvrages (Bruxelles, Gay et Doucé. In-12o, 69 p, 5 fr.). L'auteur s'occupe des ventes du marquis de Ganay, de M. Ambroise Firmin-Didot, de M. Collin, de M. Renard, du duc de Sunderland. Il remarque que les livres qui ont atteint, dans ces ventes, les prix les plus élevés, sont les éditions originales de nos classiques, surtout de Corneille et de Molière, les livres illustrés par les artistes du siècle dernier, Eisen, Marillier, Moreau, etc., les reliures exécutées au XVIIIe siècle par Boyet, Padeloup et Derome, les volumes portant les insignes de quelques bibliophiles éminents, comme Longepierre et le comte d'Hoym. Il cite, parmi les volumes vendus à très haut prix, une Bible reliée par Le Gascon, un opuscule de Dorat, les Rimes de Pernette du Guillet qui ont dépassé 5,000 francs, le Dialogue des créatures de Colard Mansion, qui monta à 12,500 francs, le Chevalier délibéré d'Olivier de la Marche (16,000 fr.), les Grandes chroniques des gestes des ducs et princes de Savoye, de Symphorien Champier (24,000 fr.). Il serait injuste d'oublier les notes, pleines d'intérêt et de savoir, du bibliographe; il nous promet, pour l'année prochaine, un volume du même genre: La Bibliomanie en 1882.

-L'éditeur Maurice Tardieu prépare la publication d'un Dictionnaire des ouvrages anonymes et pseudonymes publiés par des religieux de la Compagnie de Jésus, par le P. Carlos SOMMERVOGEL, Strasbourgeois; ce « Dictionnaire » sera un supplément de la Bibliothèque des écrivains de la Compagnie de Jésus. (Deux vol. in-8° : 30 fr.) Le 14 juillet dernier a eu lieu à Chambéry l'inauguration du buste de Pierre Lanfrey; il est aussi question de donner à une des places de la ville le nom de Lanfrey.

- M. Victor SMITH, juge honoraire au Tribunal civil de Saint-Etienne, honora blement connu par d'excellents travaux, presque tous publiés dans la Romania, su la poésie populaire, est décédé le 30 juillet dernier.

ALLEMAGNE. L'état de santé de M. SCHLIEMANN l'a forcé à quitter la Troade pour se rendre à Carlsbad; il assistera peut-être au prochain congrès anthropologique de Francfort-sur-le-Main et y fera d'importantes communications sur ses découvertes les plus récentes. On sait qu'il avait recommencé ses fouilles à Troie, le 1 mars de

cette année, avec la collaboration de deux architectes allemands et 150 ouvriers. La couche énorme de décombres qu'il avait regardée, avec Burnouf et Virchow, comme appartenant à une seule ville, contient, selon lui, les strata de deux villes différentes qui ont toutes deux été détruites par une catastrophe; les « squelettes » des maisons de la ville supérieure sont « lilliputiens » en comparaison de ceux de la ville inférieure; la ville supérieure ne s'étendait pas en dehors de la colline d'Hissarlik et ne l'occupait pas même entièrement, la ville inférieure n'avait sur la colline d'Hissarlik que son Acropole, et s'étendait sur le haut plateau au sud et à l'est. Les trois monticules de briques, dans lesquels Burnouf croit reconnaître les restes du mur d'enceinte de la troisième ville, sont, d'après M. Schliemann, les ruines de deux bâtiments parallèles l'un à l'autre, et qui étaient probablement des temples, mais appartenant à deux époques différentes. M. Schliemann a trouvé dans ces bâtiments des clous de bronze, des fusaioles ornementées qu'il regarde comme des offrandes à Pallas Athéné, des idoles en marbre où l'on voit une tête de chouette gravée ou faiblement indiquée en noir, des frondes en hématite, des broches de bronze. M. Schliemann a découvert une grande partie de l'Acropole; tout lui prouve l'existence de la seconde ville basse (la première ville brûlée) à laquelle Hissarlik ne servait que de tép.evos; toutefois, il n'a pas réussi à trouver des ruines de cette ville basse, et il est porté à croire qu'elles ont disparu. Il a fouillé le théâtre de l'époque romaine) assez vaste pour contenir vingt mille spectateurs; il y a trouvé les bâtisses de la scène, un grand four à chaux et des fragments de statues en très grand nombre. Tout le reste de l'Acrɔpole est couvert de fondations d'édifices helléniques ou romains; mais M. Schliemann fait disparaître une grande partie de ces fondations en mettant à jour la Pergame de la seconde ville (la première ville brûlée) dans toute son étendue, avec son mur d'enceinte entier. « En voyant ce mur, écrit M. Schliemann, mur colossal dont les substructions n'ont pas moins de 8 mètres de haut, vous croirez facilement qu'il a été considéré à l'époque troyenne comme une grande merveille, telle qu'on a pu attribuer sa construction à Poseidon et à Apollon. » M. Schliemann a exploré les tombeaux héroïques que la tradition regarde comme les tombeaux d'Achille et de Patrocle; il a trouvé des poteries archaïques helléniques remontant au-delà du IX* siècle avant J.-C. Il y a de même exploré, mais seulement à moitié, le vaste tumulus attribué à Protesilas (125 m. de diamètre) et y a trouvé des tessons de poterie préhistorique, la plus ancienne qu'il ait jamais trouvée à Hissarlik, ainsi que des armes et des ustensiles en pierre; ces fouilles ont été malheureusement interrompues par ordre du ministère de lalguerre de Turquie. « Le peu d'or découvert jusqu'à présent, dit encore M. Schliemann, a été trouvé dans le plus grand temple de la deuxième ville, qui semble être, à tous égards, identique à la description qu'Homère nous fait de la Troie de Priam avec sa ville basse et sa Pergame 1».

— M. Wendelin FORSTER vient de publier, à la librairie Henninger, de Heilbronn, le premier volume des Tragédies de Robert Garnier. (In-8°, xvi et 213 p. 3 mark 60). Ce volume comprend les tragédies suivantes : Porcie (pp. 13-78); Cornélie (pp. 79-146); Marc-Antoine (pp. 147-213); le texte de Garnier est reproduit d'après la première édition des œuvres complètes (Paris, 1585)); mais l'éditeur a soin de donner les variantes de toutes les éditions précédentes. Le premier volume, que nous annonçons, renferme, outre les trois tragédies, une « introduction générale », une notice bibliographique, et la dédicace, en vers et en prose, au roi de France et de Pologne. Le deuxième volume renfermera Hippolyte et La Troade; le troisième,

1. Nous tirons ces renseignements d'une lettre de M. Schliemann au Secrétaire perpétuel de l'Académie royale de Belgique; cette lettre est datée de Troie, 23 mai.

Antigone et Les Juives; le quatrième, Bradamante, avec une courte notice littéraire, historique et biographique, et un glossaire des mots qui manquent dans le dictionnaire de Sachs.

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Le même érudit publie en même temps le Ve volume de sa « Altfranzosische Bibliothek » (Lyoner Yzopet, altfranzosische Uebersetzung des XIII. Jahrhunderts in der Mundart der Franche-Comté, mit dem kritischen Text des lateinischen Originals, sog. Anonymus Neveleti Heilbronn, Henninger. In-8o, XLIV et 166 p.) [] doit publier aussi la Chanson de Roland d'après les mss. de Châteauroux et de Venise VII (VIIe vol.) et d'après les mss. de Paris, Lyon et Cambridge (VIlie vol.'. Le VI volume de la collection sera formé par le roman en ancien français Octavian, que publiera pour la première fois, d'après le ms. d'Oxford (Bodl. Hatton, 100) M. K. VOLLMŒELLER. Les autres volumes en préparation sont: Thomas Becket, de Garnier de Pont Sainte-Maxence; Jehan de Lanson; Jaufré; une Vie poitevine de SainteCatherine (Tours); le Planctus Mariae provençal (Bartsch, Grundriss, 20, 11, d'après les quatre mss. connus): Mystère d'Adam (Tours); Roman de Cristal; Nat de Mons; Roman de Horn; Orthographia gallica; Roman du Castelain de Couci. · Parmi les prochaines publications de la librairie Deichert, d'Erlangen, on nous signale les suivantes : de M. W. G. Wilhelm GEIGER, Ostiranische Cultur im Alterthum; de M. Gust. LANDGRAF, Cicero's Rede für Sext. Roscius aus Ameria, mit den Testimonia veterum und dem Scholiasta Gronovianus. Ie partie; — de M. K. SITTL, Die localen Verschiedenheiten der lateinischen Sprache mit besonderer Berücksichtigung des afrikanischen Lateins; — de M. Ad. WESTERMAYER, Der Protagoras des Plato zur Einführung in das Verständniss der platonischen Dialoge, erklært.

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- Il a paru un Annuaire théologique, Theologischer Jahresbericht, dirigé par M. B. PÜNJER, avec la collaboration de MM. Bassermann, Benrath, Boehringer, etc.; il est consacré aux publications théologiques de l'année 1881. (Theologischer Jahresbericht, enthaltend die Literatur des Jahres 1881. Leipzig, Barth. In-8°, v et 389 p. 8 mark.) Les auteurs du volume se sont efforcés d'être le plus courts possible; ils rendent compte dans ce volume, qui ne renferme pas 400 pages, de près de mille volumes ou dissertations. M. LÜDEMANN traite des ouvrages qui ont pour sujet l'histoire de l'Eglise jusqu'au concile de Nicée; M. BOHRINGER passe en revue les publications qui ont trait à l'histoire de l'Eglise depuis le concile de Nicée jusqu'à la Réforme; M. BENRATH analyse et critique les œuvres qui traitent de la période de l'histoire religieuse comprise entre les années 1517 et 1700, etc. Nous souhaitons bon succès à cette entreprise, et de longues années au theologischer Jahresbericht.

SUISSE. Les éditeurs Orell et Füssli, de Zurich, font paraître, par fascicules, un recueil de poésies dans le dialecte suisse sous le titre Schwizerdütsch ; le premier fascicule est consacré au canton de Zurich (aus dem Kanton Zürich.

- La librairie Huber, de Frauenfeld, publiera prochainement le IV volume de la Bibliothek ælterer Schriftwerke der deutschen Schweiz. Ce volume est un recueil de chants populaires suisses (Schweizerische Volkslieder); l'éditeur est M. L. ToBLER. Cette publication, qui renfermera un certain nombre de chants inédits, contiendra, en outre, une introduction où M. L. Tobler traitera de l'histoire des poésies populaires en Suisse, de ses sources, des recueils précédents de Volkslieder; il donnera une liste chronologique complète des chants populaires historiques, etc. — M. BARTSCH doit publier dans cette collection une édition des Minnesinger suisses. Le Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

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