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premier volume de cet ouvrage. Le second et dernier volume fait connaître la vie de Ritschl depuis 1839 jusqu'à sa mort. Il est divisé en trois parties Bonn, première période, 1839-1848. Bonn, seconde période, 1848-1865. Leipzig, 1865-1876. Il contient cent pages de pièces justificatives et un index alphabétique des deux volumes.

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CHRONIQUE

FRANCE. L'Ecole française d'Athènes qui a perdu, il y trois mois, M. Bilco, vient d'être de nouveau cruellement frappée. M. VEYRIES vient de mourir à Smyrne des suites d'une fièvre typhoïde. Sorti de l'Ecole Normale il y a un ans, ses premiers travaux donnaient les plus belles promesses d'avenir et sa mort sera vivement sentie par tous ceux qui l'ont connu. On s'est ému en voyant deux jeunes savants enlevés coup sur coup à leur famille et à la science et on s'est demandé s'il n'y aurait pas quelque chose à réformer dans le système qui fait exécuter en plein été des voyages et des fouilles dans des pays souvent malsains par des jeunes gens à peine acclimates. Quelques personnes ont surtout demandé que les élèves de l'Ecole d'Athènes fussent autorisés à revenir passer un mois en France chaque année. Il ne nous semble pas que ce soit sur ce point que la réforme doive porter. La vraie cause de la mauvaise distribution du travail pour les élèves de l'Ecole d'Athènes ne vientelle pas plutôt du règlement qui les oblige à envoyer, dès la première année, un mémoire à l'Institut? Ils y travaillent à Athènes pendant l'hiver et ils ne sont libres pour entreprendre des voyages qu'en mai ou juin, quand la saison devient plus dangereuse. Ne vaudrait-il pas bien mieux que les voyages se fissent en hiver, la rédaction des mémoires en été? A quoi bon demander un mémoire chaque année quand le Bulletin de Correspondance Hellénique permet aux élèves de donner immédiatement la preuve qu'ils travaillent? Sont-ils d'ailleurs capables, dès la première année, d'exécuter un travail où ils donnent leur mesure? Au reste, la plus grande partie du premier hiver se passe pour eux à acquérir les connaissances nécessaires pour travailler avec fruit. Ce travail préparatoire 'se ferait bien plus utilement à Paris qu'à Athènes. Nous voudrions que les élèves de l'Ecole Normale qui doivent se rendre à Athènes commençassent par travailler un an à Paris. Ils iraient au bout d'un an en Grèce, pourraient entreprendre immédiatement des voyages, et ne seraient tenus de fournir un mémoire qu'au commencement de l'hiver suivant.

Les journaux ont annoncé la création de l'Ecole du Louvre (cour Lefuel, ancienne cour Caulaincourt); les professeurs de l'Ecole sont MM. Alex. BERTRAND, PIERRET, RÉVILLOUT et LEDRAIN. M. Alex. Bertrand, membre de l'Institut, conservateur du Musée de Saint-Germain, traite de l'archéologie nationale depuis les temps les plus reculés jusqu'à la mort de Clovis (cours d'archéologie nationale); M. PIERRET, conservateur du Musée égyptien, étudie les monuments de l'ancien empire (cours d'archéologie égyptienne); M. RÉVILLOUT, conservateur adjoint du Musée adjoint, étudie les documents démotiques du Louvre et en dresse le syllabaire (cours de langue démotique), il étudie également le droit et l'économie politique d'après les papyrus du Louvre (cours de droit égyptien); M. Ledrain, attaché à la conservation des antiquités orientales, expose les éléments des grammaires hébraïque et phénicienne

(cours d'épigraphie sémitique), et explique les inscriptions cunéiformes de l'époque des Achéménides (cours d'archéologie assyrienne); M. RAVAISSON, conservateur des antiquités grecques et romaines, doit faire aussi des conférences sur l'art antique. - Bien que nous soyons peu favorables en principe à toutes les créations d'Ecoles spéciales qui nous éloignent du but auquel nous tendons, la réunion de tous les cours d'enseignement supérieur dans une grande Université, nous applaudissons toutes les fois que nous voyons offrir à la jeunesse des moyens nouveaux d'instruction. Mais dans un pays qui est aussi loin que le nôtre d'être organisé comme il le faudrait au point de vue de l'enseignement supérieur, il importe de ne disperser ni les forces intellectuelles ni les ressources financières. Nous ne nous rendons pas exactement compte du but auquel répond la nouvelle Ecole du Louvre. Nous comprendrions que les conservateurs et attachés du Louvre fussent chargés, moyennant une indemnité, de faire régulièrement, sur les monuments même confiés à leur garde, des conférences pratiques d'archéologie et d'histoire de l'art s'adressant à la fois aux savants et aux artistes; mais on se demande s'il était urgent de créer des cours théoriques de linguistique, d'assyriologie, d'égyptologie ou d'hébreu qui sont déjà professés ailleurs, au Collège de France et à l'Ecole des Hautes Etudes. Le cours de M. Bertrand sera très utile sans doute; mais ne serait-il pas mieux placé au Collège de France qu'au Louvre ? C'est l'archéologie nationale après Clovis qui devrait figurer surtout à l'Ecole du Louvre. Le cours de M. Ravaisson rentre mieux dans l'enseignement qui pourrait être professé spécialement au Louvre, mais il est remis à une époque indéterminée. Enfin, nous ne voyons pas sans inquiétude le budget du Louvre chargé de dépenses dont l'urgence ne nous paraît pas démontrée, alors que nos musées nationaux sont constamment battus, faute d'argent, dans les enchères internationales; alors que les travaux les plus pressants, catalogues, calcographie, missions, sont entravés, faute d'argent. On nous dit que les cours nouveaux sont plus richement dotés que la plupart des cours d'enseignement supérieur. Nous en sommes très heureux, et nous espérons que l'exemple de l'administration des BeauxArts, piquera d'émulation celle de l'Instruction publique; mais, si cette dépense était faite sur les fonds déjà insuffisants du Louvre, nous la verrions avec regret; si elle doit être couverte par une augmentation du budget des Beaux-Arts, nous penserions encore qu'il y avait des dépenses plus urgentes, des augmentations de crédit pour nos Musées plus nécessaires. Quoi qu'il en soit, nous souhaitons le succès des nouveaux cours; ils peuvent créer une salutaire émulation, et ils ont été inspirés par une conception élevée des connaissances que doit avoir et des services que doit rendre le personnel de nos musées. Un jour peut-être viendra où l'on réunira, pour le plus grand bien de la science, dans une grande université, les enseignements qu'on disperse aujourd'hui aux quatre coins de Paris.

– M. l'abbé S. A. Cuoq, prêtre de Saint-Sulpice, a publié un Lexique de la langue iroquoise (avec notes et appendices. Montréal, Chapteau et fils. In-120, 15 F Ce Lexique comprend quatre parties; la première est consacrée aux racineste la langue et la seconde, aux dérivés et composés; la troisième renferme des notes up plémentaires sur les termes d'origine obscure; et la quatrième, des appendices tant de divers points d'histoire.

En 1601 Philippe III d'Espagne dirigea contre Alger une flotte de 70 gali et une armée de plus de 10,000 hommes sous le commandement du prince Andrett Doria. Mais l'expédition était mal conçue. Le premier instigateur du projet, un c taine français, nommé Roux, avait proposé un plan qui pouvait réussir : cinq c hommes résolus, déguisés en matelots de vaisseau marchand, débarquaient un dans le port d'Alger, à la saison où la ville était sans défense; ils égorgeai

poste de la marine, pétardaient la porte et se jetaient dans la ville en appelant aux armes les 20,000 esclaves chrétiens qui s'y trouvaient. Mais Doria modifia le plan de Roux; au lieu de confier au capitaine français les cinq cents hommes qu'il demandait et d'attendre aux Baléares avec toutes ses forces le succès du mouvement, il voulut appuyer la surprise par une flotte et une armée. Il arriva naturellement que la concentration de ses troupes entraîna des retards, que cette armada prit le mer au su et au vu de tout le monde, que par conséquent la surprise fut manquée et se transforma en une attaque régulière, que l'ennemi prévenu empêcha même l'entreprise on n'avait embarqué qu'un mois de vivres ; il fallut revenir sur ses pas et les dépenses énormes qu'avait coûtées l'expédition ne servirent à rien. On ne connait guère cette malheureuse tentative de l'Espagne pour prendre Alger; de Thou est chez nous le seul qui en dise quelques mots (Histoire universelle, tome XVII, p. 627), et on lit dans les lettres de Guillaume du Vair, premier président du parlement de Provence, que Roux, d'ailleurs écarté tout d'abord par le Génois Doria, fut, à son retour en France, traité comme suspect et jeté en prison. Le seul document qui raconte avec grand détail cette expédition est une lettre de l'historien génois leronymo Franchi de Conestaggio, datée de Gênes le 5 novembre 1661 et adressée à « Nicolo Petroccino, proveditor di Casa d'India ». Cette lettre, imprimée à Gênes, chez Gioseppe Pavoni, fut réimprimée à Venise chez Ciotti, à l'enseigne de l'Aurore en 1602. Elle se divise en deux parties, dont la première renferme une histoire succincte de la ville d'Alger, et la seconde, l'historique de l'expédition; elle semble conçue dans un esprit favorable à Doria et tente de le justifier des accusasations dont il fut l'objet. Cette lettre curieuse, jusqu'ici non traduite en français et, à ce qu'il paraît, inconnue encore, vient d'être traduite par M. H. de GRAMMONT (Relation des préparatifs faits pour snrprendre Alger, par Ieronimo Conestaggio. Alger, Jourdan. In-8°, 28 p.). M. de Grammont a annoté ce curieux document; ce commentaire était tout à fait nécessaire, surtout dans la première partie de la lettre de Conestaggio, où il y a beaucoup d'erreurs sur la fondation de la régence. Tel qu'il est, ce document mérite d'éveiller l'attention de tous ceux qui s'intéressent à l'histoire de l'Algérie.

On ne lira pas sans intérêt les Etudes de pédagogie morale que vient de publier M. E. LABBÉ, professeur de sixième au lycée Saint-Louis. (Paul Dupont. In-8°, 102 p.). L'auteur y traite surtout des mœurs universitaires et des institutions pédagogiques; il y exprime avec chaleur et conviction un grand nombre de vues utiles et judicieuses; on sent qu'il aime ses élèves et leur consacre avec joie toutes ses forces (p. 36); tâchons, dit-il dans sa conclusion, autant que nous le pourrons, de faire sortir de notre expérience, comme je l'ai essayé du fond de ma petite classe, la moralité utile à notre pays; on peut se tromper, mais on ne s'égare pas loin quand on y met toute sa conscience et l'on a la chance au moins de faire un pas vers le mieux.

La librairie Hachette a publié un deuxième Supplément à la 5 édition du Dictionnaire universel des contemporains de Vapereau; supplément qui rectifie, complète et remplace le précédent. Il porte la date du 1er mars 1882 et renferme 54 pages. Motivé par les élections législatives des 21 août et 4 septembre 1881 et par les élections sénatoriales du 8 janvier 1882, il a pour objet spécial de mettre le dictionnaire au courant du renouvellement du Parlement français; les noms nouveaux sont marqués d'un astérisque. Accessoirement, ce Supplément contient la nécrologie générale depuis la publication de l'édition dernière ; diverses notices, françaises ou étrangères, d'après des renseignements tardivement obtenus; enfin la rectification de quelques erreurs.

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M. MASPERO, de retour à Boulaq, écrit qu'il ne manque pas au musée un seul objet. Les bijoux avaient été tirés de leur cachette et remis en place deux ou trois jours avant son arrivée. Le Catalogue sera terminé au mois de janvier prochain et imprimé en février.

- M. CRAUCK met la dernière main au monument de l'amiral Coligny qui doit être placé derrière l'Oratoire de la rue de Rivoli, près du Louvre, dans la partic entourée de grilles; Coligny est représenté en grand costume d'amiral; sur les côtés sont placées des figures allégoriques.

- Une traduction française des Principles of comparative philology de M. Sara paraîtra bientôt; l'auteur est M. E. low.

- L'Academy a donné, dans un de ses plus récents numéros, la liste des cours professés à l'Ecole des langues orientales vivantes; elle ajoute cette réflexion : « les intérêts de l'Angleterre en Orient ne sont certainement pas moindres que ceux de la France; mais qu'avons-nous à opposer à cette institution? »>

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ALLEMAGNE. Après sa grande publication d'ensemble sur la guerre de 1870, l'état-major allemand a décidé de faire paraître une foule de monographies détaillées qui traiteront avec plus de détail des événements isolés (Kriegsgeschichtli che Einzelschriften) et seront publiées à des intervalles indéterminés par la librairi militaire de E. S. Mittler et fils, à Berlin. Parmi les travaux qui sont sous presse nous signalerons les suivants, dont nous traduisons les titres : Le détachement Boltenstern dans la vallée de la Loire aux 26 et 27 décembre 1870.- La surpriœ de Fontenoy du 22 janvier 1871. Marche de la sixième division de cavalérie en Sologne du 6 au 15 décembre 1870. L'artillerie au combat de Loigny-Pourry – De l'influence que la forteresse de Langres a exercée durant la guerre de 1870. Ces monographies n'auront pas seulement pour sujet les opérations militaires de la guerre franco-allemande d'il y a douze ans ; elles pourront traiter des mouve ments et des combats des guerres antérieures; c'est ainsi que la librairie Mittler annonce encore les études suivantes : Les mouvements des troupes prussiennes en 1805. — Journal du major de Wienskowski du 1er bataillon de la garde pendant ies préparatifs de la guerre de 1805. — Détails sur la Prusse et sa grande catastrophe (de 1806; publication importante d'un manuscrit inédit du général de Clausewitz) La campagne de Bavière en 1809. Les régiments prussiens étaient-ils désignes par des numéros au temps de la guerre de Sept Ans? Biographie du général de Fink. L'état-major général fait appel aux officiers de l'armée allemande et leur promet d'accueillir dans cette collection les études où ils auront mis leurs souve nirs de guerre, leurs considérations critiques ou leurs recherches sur les sources de l'histoire militaire ». Pour ce qui concerne les guerres antérieures à 1870, il rappelle que ses archives renferment un grand nombre de documents dont la publication «< ouvrira de nouvelles vues sur la guerre et provoquera un jugement plus juste. plus profond des événements et des personnes qui y ont pris part.» Les officiers qui traiteront de la guerre de 1870, devront « donner surtout des renseignements sur les questions les plus importantes relatives au maniement des troupes, sur l'usage et les services des différentes armes, sur la composition, l'équipement, la nourriture des armées, etc., etc. ».

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- En octobre 1883 commencera l'impression d'une édition critique de toutes les œuvres qui portent le nom de Notker; l'éditeur est M. Johann KELLE, professeur à Prague. Les deux premiers volumes renferment les textes avec indication des sources; le troisième volume, un glossaire; le quatrième, une grammaire, des recherches sur l'auteur, etc.

- M. Otto BRAHM travaille à une monographie sur Henri de Kleist.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES LETTRES

Séance du 8 décembre 1882.

L'Académie procède à l'examen de la liste de ses correspondants, afin de constater les vacances qui se sont produites depuis un an. Il résulte de cet examen qu'il y a lieu de pourvoir au remplacement de quatre correspondants, savoir: MM. Henri Weil et Albert Dumont, Français, élus membres ordinaires de l'Académie, et MM. Chabas, Français, et Muir, étranger, décédés. Deux commissions sont formées pour présenter des candidats, l'une aux trois places de correspondants français, l'autre à la place de correspondant étranger. Sont élus membres de la première MM. Renan, Delisle, Georges Perrot et Gaston Paris, de la seconde MM. Adolphe Regnier, Bréal, Barbier de Meynard et Schefer.

M. Foucart annonce un nouveau malheur qui vient de frapper l'Ecole française d'Athènes. M. Alphonse Veyries, membre de première année de l'Ecole, est mort à Smyrne le mardi 5 décembre. Ses camarades et tous ceux qui l'ont connu sentent les plus vifs regrets de cette perte, et les premiers travaux qu'il avait eu le temps de produire donnent lieu de juger que la science aussi perd beaucoup en lui.

L'Académie, après délibération en comité secret, décide qu'une lettre sera adressée en son nom à M. le préfet de la Seine pour exprimer le vœu que ce qui reste de l'amphithéâtre romain de la rue Monge ne soit pas détruit.

M. Ernest Desjardins communique les principaux résultats de l'examen qui a été fait, par M. Charles Tissot, des copies d'inscriptions envoyées par M. le lieutenantcolonel de Puymorin, président de la commission archéologique du Kef (Tunisie). L'envoi de M. de Puymorin comprenait à la fois les monuments recueillis par lui et par plusieurs officiers placés sous ses ordres, notamment par MM. Balthazar, Dacri et Robora. Tous ces messieurs ont relevé des inscriptions intéressantes. M. Desjardins signale particulièrement les découvertes de M. Balthazar, médecin aide-major, qui a explore les ruines de Henschir-ed-Douamis, à 20 kil. environ au nord de Bordj-Messaoudi. En ce lieu a été trouvé un temple, avec une inscription qui prouve qu'il était dédié à Esculape. Quatre autres inscriptions, relevées par M. Balthazar, établissent l'identité de Henschir-ed-Douamis avec l'une des deux villes mentionnées par Pline (V, 4) sous le nom d'Oppida Ulcitana duo, celle qu'il distingue par le surnom de Majus. Ces inscriptions donnent le même nom, sous une forme un peu différente. La plus ancienne est du temps d'Alexandre Sévère; elle est ainsi

conçue :

M. ATTIO

CORNELIAN O
PRAEFECTO PRAE
TORIEMINENTISSIMO
VIROCIVIETPATRONO
OBINCOM PARA BILEM
ERGAPATRIAME TCIVES
AMOREMRES PVBLICA
COLONIA EMARIANAEAV

GVSTAEALEXANDRIANAE

VCHITANORVM MAIORVM

La seconde, qui est du règne d'Aurélien, nomme également la res publica coloniae Marianae Augustae Alexandrinae Uchit. Majorum. La troisième, du temps de Constantin, donne ce nom en abrégé : R. P. col. V. M. Enfin, la dernière est du temps de Valens; par une anomalie singulière, elle commence par les mots dominis nostris, au pluriel, et ne nomme ensuite qu'un seul empereur :

DDNNFLAVIO
VALENTIVICTO
RIACT RIVMFA
TORI SEMPER
AVGVSTO

R.P.COL.VCHI

TANORVMMA

IORVMDEVO
ΤΑ

En terminant cette communication, au nom de M. Ch. Tissot, M. Desjardins insiste sur les remerciments dus aux officiers qui ont recherché et découvert ces monuments. Il exprime en même temps quelque regret de ce que l'envoi de M. de Puymorin contient beaucoup plus de copies que d'estampages. Les copies d'inscriptions donnent plus de peine à faire que les estampages de papier, et elles rendent moins

de services.

Julien HAVET.

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