Dieu! quand j'y pense encore!... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant! et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était... Kʻerakanutʻiwn gaghierēn lezui - Strana 297podľa Ghewond Hovnanean - 1844Úplné zobrazenie - O tejto knihe
| 1828 - Počet stránok 686
...distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin voyons , faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit: Oui. Et je n'entendis plus...encore!.... Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - Počet stránok 514
...let tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire... | |
| 1828 - Počet stránok 688
...tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. . Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'élnis mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sons armes , contre eux... | |
| Paul-Louis Courier - 1830 - Počet stránok 478
...les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore !.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - Počet stránok 428
...les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - Počet stránok 454
...les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire... | |
| French authors - 1839 - Počet stránok 512
...tuer tous deux ?" à quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!. . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - Počet stránok 576
...les tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire... | |
| Antonin Roche - 1845 - Počet stránok 766
...tous deux ? » A quoi la femme répondit : « Oui , » et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant. Et n:on camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire... | |
| Paul-Louis Courier - 1845 - Počet stránok 482
...les tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu 1 quand j'y pense encore I._. Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
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