Introduction à l'étude de la philosophie, Zväzok 2J. Lecoffre et cie, 1845 |
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... psychologique . La marche et les progrès de la philosophie sont propor tionnés à la perfection ou à l'imperfection de son principe . Si le germe idéal , fourni par la parole , est arrivé à sa maturité , et contient en acte tous les ...
... psychologique . La marche et les progrès de la philosophie sont propor tionnés à la perfection ou à l'imperfection de son principe . Si le germe idéal , fourni par la parole , est arrivé à sa maturité , et contient en acte tous les ...
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... psychologique comme la faculté dont doit faire usage quiconque veut entreprendre de philosopher . Sous ce rapport , l'hétérodoxie spéculative nous apparaît comme la substitution du sensible interne à l'intelligible , en tant que premier ...
... psychologique comme la faculté dont doit faire usage quiconque veut entreprendre de philosopher . Sous ce rapport , l'hétérodoxie spéculative nous apparaît comme la substitution du sensible interne à l'intelligible , en tant que premier ...
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... psychologique à la méthode ontologique en reli- gion ; le second appliqua cette innovation à la philosophie en particulier , et par elle à toutes les connaissances . L'un rom- pit le fil de la tradition religieuse , l'autre brisa de ...
... psychologique à la méthode ontologique en reli- gion ; le second appliqua cette innovation à la philosophie en particulier , et par elle à toutes les connaissances . L'un rom- pit le fil de la tradition religieuse , l'autre brisa de ...
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... psychologique . D'où se déduit cette autre conséquence rigoureuse , savoir : que Locke , Condillac , tous les sensistes modernes , les maté- rialistes , les fatalistes , les immoralistes , les athées , sont de vrais et purs cartésiens ...
... psychologique . D'où se déduit cette autre conséquence rigoureuse , savoir : que Locke , Condillac , tous les sensistes modernes , les maté- rialistes , les fatalistes , les immoralistes , les athées , sont de vrais et purs cartésiens ...
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... psychologique est la tra- duction et la copie . Comme ils refusent à l'Idée la vertu créa- tricé dans le cercle des choses réelles , ils sont aussi forcés à la lui dénier dans l'ordre de la connaissance . Mais nous par- lerons de cela ...
... psychologique est la tra- duction et la copie . Comme ils refusent à l'Idée la vertu créa- tricé dans le cercle des choses réelles , ils sont aussi forcés à la lui dénier dans l'ordre de la connaissance . Mais nous par- lerons de cela ...
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absolu abstrait acte Aristote c'est-à-dire cartésienne catholique cause chose concept concret connaissance conséquent considérer consiste contingent contraire création créatures créé démontrer Descartes Dieu dire distinction divine doctrine dogme doit effet éléments elle-même Emmanuel Kant esprit éternelle existences formule idéale genre humain hommes Ibid idées infini intel intellective intuition jugement l'absolu l'acte créatif l'Eglise l'esprit humain l'essence l'être idéal l'être possible l'Etre réel l'évidence l'existant l'existence l'homme l'idée de l'être l'intelligible l'intuition l'ontologie l'ordre l'unité Leibniz logique lui-même lumière Malebranche manière ment méthode moderne monde morale moyen nature nécessaire notion Nouv objective ontologique panthéisme paralogisme parole pensée perception philosophie Platon première présuppose primitive principe procédé propre psychologisme puisse pure quod raison rapport rationnelle réalité réfléchie réflexion relativement révélation Rosmini Saint Anselme science sciences spéculatives scientifique scolastique sens sensible sensisme serait seule simple sisme spéculatives Spinoza subjective subsistance substance synthèse système termes théisme Thomas Reid tion tradition trouve universel vérité vertu vrai
Populárne pasá¾e
Strana 334 - ... que je me ressouvienne de l'avoir clairement et distinctement compris, on ne me peut apporter aucune raison contraire qui me le fasse jamais révoquer en doute , et ainsi j'en ai une vraie et certaine science.
Strana 303 - Premièrement, j'ai tâché de trouver en général les principes ou premières causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul, qui l'a créé, ni les tirer d'ailleurs que de certaines semences de vérités qui sont naturellement en nos âmes.
Strana 339 - Et si les hommes entendaient bien le sens de leurs paroles, ils ne pourraient jamais dire sans blasphème que la vérité de quelque chose précède la connaissance que Dieu en a , car en Dieu ce n'est qu'un de vouloir et de connaître; de sorte que ex hoc ipso quod aliquid velit , ideo cognoscit , et ideo tantum talis res est vera.
Strana 464 - Mais la raison que nous consultons n'est pas seulement universelle et infinie, elle est encore nécessaire et indépendante, et nous la concevons en un sens plus indépendante que Dieu même. Car Dieu ne peut agir que selon cette raison, il dépend d'elle en un sens, il faut qu'il la consulte et qu'il la suive. Or, Dieu ne consulte que lui-même, il ne dépend de rien. Cette raison n'est donc pas distinguée de lui-même, elle lui est donc coéternelle et consubstantielle.
Strana 475 - Lorsque nous concevons la substance , nous concevons seulement une chose qui existe en telle façon qu'elle n'a besoin que de soi-même pour exister. En quoi il peut y avoir de l'obscurité touchant l'explication de ce mot : N'avoir besoin que de soi-même ; car, à proprement parler, il n'ya que Dieu qui soit tel...
Strana 333 - Mais si nous ne savions point que tout ce qui est en nous de réel et de vrai vient d'un être parfait et infini...
Strana 329 - Car ayant accoutumé, dans toutes les autres choses, de faire distinction entre l'existence et l'essence, je me persuade aisément que l'existence peut être séparée de l'essence de Dieu, et qu'ainsi on peut concevoir Dieu comme n'étant pas actuellement.
Strana 338 - Mais je les comprends comme éternelles et immuables. — Et moi je juge le même de Dieu. — Mais sa volonté est libre. — Oui, mais sa puissance est incompréhensible ; et généralement nous pouvons bien assurer que Dieu peut faire tout ce que nous pouvons comprendre, mais non pas qu'il ne peut faire ce que nous ne pouvons pas comprendre ; car ce serait témérité de penser que notre imagination a autant d'étendue que sa puissance.
Strana 334 - Mais quand nous apercevons que nous Sommes des choses qui pensent, c'est une première notion qui n'est tirée d'aucun syllogisme : et lorsque quelqu'un dit, je pense, donc je suis, ou j'existe : il ne conclut pas son existence de sa pensée comme par la force de quelque syllogisme, mais comme une chose connue de soi, il la voit par une simple inspection de l'esprit...
Strana 291 - De plus, je fis voir quelles étaient les lois de la nature ; et, sans appuyer mes raisons sur aucun autre principe que sur les perfections infinies de Dieu, je tâchai à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque doute...