Heureux le laboureur, trop heureux, s'il sait l'être! PAGE 115, VERS 6. Le fard n'altère point la blancheur de ses laines. IBID., VERS 27. Mais dans mon corps glacé si mon sang refroidi Me défend de tenter un effort si hardi, C'est vous que j'aimerai, prés fleuris, onde pure; PAGE 117, VERS 12. Et se rit du vain bruit.... IBID., VERS 17. Le Danube en fureur vomissant des soldats, PAGE 119, VERS 3. Le frère s'applaudit teint du sang fraternel, PAGE 121, VERS 1. Ainsi Rome, aujourd'hui l'arbitre des humains, O jours de l'âge d'or, jours heureux, mœurs champêtres! L'homme étoit sans tyrans, les animaux sans maîtres; L'airain n'assembloit point des soldats furieux; Et l'homicide acier, et l'or impérieux, Ces métaux, l'instrument et l'appât de la guerre, VARIANTES DU LIVRE TROISIÈME. PAGE 153, VERS 11. Osons à notre tour, par des sentiers nouveaux, Dans les champs de la gloire atteindre nos rivaux. PAGE 155, VERS 15. Sur les portes je peins les exploits de César : L'Indien me fournit son or et son ivoire. PAGE 175, VERS 15. Si leur riche toison fait la pourpre des rois, IBID., VERS 24. Le jour au fond des bois, sur la cime des monts, Elle broute la ronce, elle vit de buissons; Et le soir, sous son toit, qu'elle sait reconnoître, Rentre avec sa famille, et vient nourrir son maître. PAGE 181, VERS 3. C'est là que ces mortels, près de leurs noirs foyers Où brûlent des ormeaux et des chênes entiers, Aussi grossiers que l'ours qui fournit leur parure, Dans un morne loisir coulent leur vie obscure; Passent au jeu les nuits, et, bravant les hivers, Boivent un jus piquant, nectar de ces déserts. IBID., VERS 28. En des flots de nectar il transforme ces eaux. PAGE 187, VERS 24. Mais non, pères, enfants, tout périt sans ressource. PAGE 191, VERS 17. L'émail d'un vert gazon, l'asile d'un bois sombre. IBID., VERS 22. Dans leurs regards est peinte une morne tristesse ; Leur flanc est décharné, leur pas se ralentit ; Et, penché mollement, leur front s'appesantit. VARIANTES DU LIVRE QUATRIÈME. PAGE 225, VERS 14. Ne foule aux pieds les fleurs, et des feuilles humides Ne détache, en courant, les diamants limpides. PAGE 227, VERS 5. Un ruisseau transparent qui baigne leur séjour, PAGE 229, VERS 5. Que l'if ne croisse pas près de leur édifice; Mais le printemps renaît, l'hiver fuit, l'air s'épure, Et l'astre des saisons rajeunit la nature; L'abeille prend son vol, parcourt les arbrisseaux ; rose, C'est de ces doux tributs.... PAGE 235, VERS 25. Interrompoit encor la course des ruisseaux. PAGE 249, VERS 19. Aristée autrefois vit mourir ses abeilles. Vers la source du fleuve il arrive en pleurant; |