...bonheur que dans le mariage et la famille. j' « L'homme, dit-il, n'est ni bon, ni méchant; il naît avec des instincts et des aptitudes; la société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur; mais l'intérêt développe aussi ses pen«hants...

...cet ouvrage, voici les principes qui lui servent de base. L'homme n'est ni bon ni méchant , il naît avec des instincts et des aptitudes; la société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur ; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...

...cet ouvrage, voici les principes qui lui servent de base. L'homme n'est ni bon ni méchant, il naît avec des instincts et des aptitudes; la société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Kousseau, le perfectionne, le rend meilleur; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...

...le bonheur que dans le mariage et la famille. « L'homme, dit-il, n'est ni bon ni méchant; il naît avec d'es instincts et des aptitudes ; la société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur ; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...

...cet ouvrage, voici les principes qui lui servent de base. L'homme n'est ni bon m méchant, il naît avec des instincts et des aptitudes: la société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur ; mais l'intérêt développe aussi ses ponchants...

...arrêtées«, Ц répondra avec une franchise admirahle : ° L'homme n'est ni hon ni méchant : il nalt avec des instincts et des aptitudes. La société, loin de le dépraver, comme a prétendu Rousseau, le perfectionne et le rend meilleur ; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...

...majuscules, à quoi, grand Dieu, se réduirait le système! L'homme n'est ni bon, ni méchant ; il naît avec des instincts et des aptitudes : la Société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...

...cet ouvrage, voici les principes qui lui servent de base : L'homme n'est ni bon ni méchant, il naît avec des instincts et des aptitudes; la société, loin de le dépraver, comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...

...marcher sous l;i bannière du Christ ! I ui seul a consacré le triomphe de l'esprit sur la matière. — »Le catholicisme est le seul système complet de...tendances dépravées de l'homme et le plus grand élément d'ordre social. L'enseignement, ou mieux l'éducation par les corps religieux, est le grand...

...notre espèce : o L'homme n'est ni bon, ni méchant, dit-il dans une préface programme (i), il naît avec des instincts et des aptitudes; la société, loin de le dépraver comme l'a prétendu Rousseau, le perfectionne, le rend meilleur ; mais l'intérêt développe aussi ses penchants...