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TABLE

DES MATIÈRES

PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE.

ABEILLE (l'abbé) défend à l'académie françoise Saint-Aulaire contre

Despréaux, IV, 577, note a.

ABÉLY, théologien, combattu dans l'épître x11, II, 159, note 1. Ses

ouvrages sont familiers au chanoine Alain, Lutrin, ch. IV, 405,

note a. Il cite Despréaux au tribunal de Dieu, 408, note 1.

ACADÉMIE françoise. Devise que Despréaux propose pour cette com-
pagnie, I, lviij, note.c. Il la consulte sur une locution employée
dans sa 11 satire, 101, note d. Épigramme au sujet de Charles
Perrault, II, 508. Liste des membres composant cette académie,
lorsque Despréaux lui préféroit celle de Lyon, IV, 358, note c.
L'académie françoise prend un arrêté, pour ne plus être exposée
au désagrément des refus, 472, note a.

ACADÉMIE des inscriptions et belles - lettres. Son origine, I, lviij,
note e. Noms qu'elle a portés successivement, IV, 118, note a. Ses
membres divisés en quatre classes, 412, note a.

ACADEMIE de Lyon. Liste des membres qui la composèrent dans son

origine, IV, 358, note b.

ALAIN (le chanoine) étoit l'abbé Aubery, II, 404, note 2.
ALCIAT, jurisconsulte, II, 433, note a.

ALEXANDRE-LE-GRAND. Ne vouloit être peint ni gravé par des artistes vulgaires, 1, 50, note 1. Par amitié pour Racine, Despréaux loue sa tragédie sur ce conquérant, 124, note b. Vers contre ce dernier, 188, note b, 335, note 1. Charles Perrault récuse en poésie le goût de ce prince, IV, 383, note b.

AMATI (M.) attribue à Denys d'Halicarnasse le Traité du Sublime,

par Longin, III, 351. Un des passages sur lesquels son opinion est établie, 514, note a. Réponse à l'une de ses objections, 527,

note a.

AMPHICRATE, Sophiste obscur, III, 387, note b.

AMPHION, II, 296, note b.

ANAXAGORE, III, 251, note b.

ANDRIEUX (M.), de l'académie françoise, critique avec trop de

rigueur deux vers fameux du f chant du Lutrin, II, 378,

note I.

ANGÉLI (l'). Note sur ce fou du roi, I, 88, note 3. Despréaux donne ce nom au grand Alexandre dans la vi satire, 188, note 1. ANTOINE RIQUIÉ, jardinier de Despréaux à Auteuil. L'épître x1° lui est adressée,, II, 140, note b. Voltaire l'avoit connu, ibidem,

note c.

APOLLONIUS, poëte grec, III, 496, note b.

ARATUS, poëte grec, HI, 428, note a.

ARC (Jeanne d'), II, 520, note b.

ARCHILOQUE, poëte grec, III, 429, note a.

ARÉTIN, IV, 651, note d.

ARISTARQUE, III, 178, note 1.

ARISTÉE, poëte grec, III, 427, note I.

ARISTIPPE. Désintéressement insensé de ce philosophe, II, 59, note 1. ARISTOPHANE, II, 265, note 1.

ARISTOTE. Note biographique sur ce philosophe, I, 131, note b. Son opinion sur le plaisir que l'imitation cause, II, 218, note a; sur les commencements de la comédie, 263, note a.

ARIUS. Note biographique sur cet hérésiarque, I, 368, note a. ARNAUD (l'abbé), de l'académie françoise. Ses observations critiques

sur la traduction de la fameuse ode de Sapho, par Despréaux,

III, 424, note a. ARNAULD (Antoine). Réponse de Despréaux à celui qui lui annonça que Louis XIV faisoit chercher ce docteur, I, Ixxx. Note biographique sur cet écrivain célèbre, 33. Despréaux ne peut résister à la tentation de montrer à toute la terre qu'un si excellent homme est l'apologiste de sa xe satire, 35. Nommé comme l'adversaire des huguenots, 91. Fait changer deux vers de la re satire, 94, note 1, ainsi que de la vio, 203, note 1. Réponse à quelques objections de Charles Perrault, 317, note a. Despréaux lui adresse l'épître ш, II, 26. Vers qui le frappe d'admiration dans cette pièce, 30, note 1. Hommage qui lui est rendu dans l'épître x, 139, note 1. L'abbé Souchay lui attribue deux vers de l'Art Poétique sur Regnier, 211, note c. Il reprochoit à Despréaux d'avoir autorisé l'amour dans les pièces de théâtre, 291, note a. Il avoit fait une étude particulière des écrits de saint Augustin, 406, note 2. Des illustres François, c'est celui que Despréaux admiroit le plus, 527. Détails sur sa sépulture, 553, note c. Il lui donne le surnom de grand, qu'il croyoit d'abord ne convenir qu'aux conquérants et aux saints, III, 32, note a. Motifs pour lesquels Arnauld préfère la tragédie d'Esther à celle d'Athalie, IV, 127, note b. Blâme Despréaux d'avoir avancé légèrement que Claude Perrault n'étoit pas l'auteur de la façade du Louvre, 255, note a. L'apologie de Despréaux n'est pas son dernier ouvrage, 278, note a. ARNAULD D'ANDILLY. Admiroit la précision de quatre vers de la 11° satire, I, 101, note b. Fit changer deux vers de cette même satire, ibidem, note c.

ARTIGNY (l'abbé d') se trompe sur l'époque de la publication de la satire XII, I, 355, note a. Remarques judicieuses sur quelques comparaisons de cette pièce, 370, note a. Ses autres observations sur cette même pièce sont ou fausses ou minutieuses, 380, note a. Critiques hasardées du portrait et du discours du docteur Alain, Ive chant du Lutrin, II, 407, note I.

ASCONIUS POEDIANUS, rhéteur habile, IV, 442, note b.
ATHÉNÉE, III, 522, note 1.

AUGER (M.), de l'académie françoise. Observations sur son éloge de

Despréaux, I, xxxj; sur son opinion à l'égard du titre Festin de
Pierre, que porte une pièce très connue, 119, note a. Sa réponse
judicieuse à une critique irréfléchie du poëte Le Brun, II, 109,
note 3. Il ne croit pas que Molière, dans le Médecin malgré lui,
ait peint le caractère du perruquier Didier l'Amour, 346, note 1.

AUGUSTIN (Saint), III, 316, note biographique a.

AUGUSTINS (les) soutiennent un siège contre la force publique, II,

330, note I.

BACCHYLIDE, poëte grec, III, 498, note a.
BACON (François), III, 277, note b.

BALDE, jurisconsulte, IV, 515, note b.

BALZAC. Portoit le même jugement que Despréaux sur la fécondité
de Scudéri, I, 103, note 1. A fait un volume de lettres adressées
à Chapelain, 248, note b. Étoit d'un commerce doux et facile, IV,

BARBEZIEUX (le marquis de) succède à son père le marquis de Lou-
vois, IV, 304, note b.

BARBIER D'AUCOUR. Allusion à ce qu'il éprouva en plaidant sa pre-
mière cause, II, 456, note 1.

BARBIN, libraire, impatient de recevoir les vers de Despréaux, II,

139, note a. Avoit l'art de vendre de mauvais ouvrages, 421,
note 1. Son perron se nommoit la plaine de Barbin, depuis le com-
bat décrit dans le Lutrin, chant v, 425, note 3.

BARDIN, de l'académie françoise, I, 215, note 3, 238, note a.

BARDOU, I, 173, note 2. Racine veut le substituer à sa place, pour
faire des cantiques que la cour desiroit, IV, 257, note b.
BARNÈS (Jean), bénédictin, auteur d'un traité contre les équivoques,
IV, 607, note b.

BARNES (Josué), érudit anglois fort bizarre, III, 518, note 1.
BARO (Balthazar), de l'académie françoise, continuateur du roman
de l'Astrée, III, 42, note a.

BARON, auteur et acteur, IV, 348, note a.

BARRIN (l'abbé), chantre de la Sainte-Chapelle, II, 326, note b. BARTHÉLEMY (l'abbé). Son jugement sur le style d'Euripide, II, 228, note 1; sur celui du rhéteur Gorgias, III, 384, note a; sur les mœurs de Sapho, 423, note a.

BARTHOLE. Note sur ce jurisconsulte, I, 89, note b.

BASILE (saint), III, 224, note biographique b.

BASOCHE (la), II, 329, note b.

BASSELIN. Regardé comme l'inventeur du vaudeville, II, 213, note a. BATTEUX (l'abbé). Commet une erreur grave relativement à l'époque de la naissance de Vida, I, 10, note b. Fait remarquer la variété des expressions de Despréaux dans un passage du chant II de l'Art Poétique, relatif aux pointes, II, 205, note b. Son opinion sur le dénouement des tragédies, 224, note b. Rend justice au talent de Segrais, 303, note c. Ses observations sur les vers du Lutrin, 328, note a, 333, note 1, sur la conduite et le dénouement de ce poëme, 454, note a.

BAUNY, jésuite, II, 405, note 1.

BAUSSET (M. le cardinal de). Ses observations sur la partialité de Pascal et de Nicole contre les jésuites, I, 352, note a. Son jugement sur le cardinal de Noailles, 353, note a; sur l'épître xII, II, 124, note 1.

BAYLE. Son jugement sur Despréaux, I, cxv. Ne partage pas l'opinion de celui-ci sur la hardiesse de Perse, 66, note 1. Se méprend sur l'esprit de la poésie, 192, note b. Fait un trop grand éloge de la satire x. Donne le motif qui engagea le satirique à composer l'épître XII, II, 151, note a. Sent la nécessité d'un commentaire sur les œuvres de ce dernier, 408, note 1. Critique une comparaison de Longin, III, 392, note 1.

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