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note a,

masculin, 54, note b. Les mots génie et esprit trop répétés, 169, note b. Le verbe élever impropre, 213, note c. La particule de supprimée par une licence poétique, 235, note c. Le pronom il superflu, 267, note c. A bu son saoûl, expression trop familière, Art poétique, chant IV, 299, note a. Phrase incorrecte, 315, note b. Le verbe venir employé au lieu du verbe aller, 444, note b. Le mot printemps mis au singulier au lieu du pluriel, 445, note a. [a] III, 13, note c. Locution dont la dureté paroît affectée, 88, note 1, 140, note a, 200, note 2, 257, note a, 271, note b, 301, note a, 307, note a, 309, note a', 407, note a, 429, note a, 432, note 2, 440, note d, 452, note 1, 455, note a, 468, 482, note e, 485, note a, 491, note a, 493, note a, 518, note b, 523, note a, 536, note 4; IV, 345, note b, 347, note b, 658, note c. NEUF-GERMAIN. Note sur ce poëte ridicule, I, 71, a. Il est désigné, 212, note 2. Ses vers vont chez l'épicier, 236, note 1. NEVERS (le duc de). On attribue faussement à Despréaux un sonnet contre lui, II, 74, note a. Ce dernier supprime dans l'épître vII deux vers, pour ne pas irriter ce seigneur, ainsi que sa sœur la duchesse de Bouillon, 86, note a. Moyens qu'ils emploient l'un et l'autre pour faire tomber la Phèdre de Racine, 91, note a. Le duc de Nevers travaille à la critique des ouvrages de Despréaux, de concert avec Desmarets de Saint-Sorlin et l'abbé Testu de Mauroi, 490, note 1. On croit qu'il est désigné dans une épigramme, 552, note b.

NEVEU (LA), infame prostituée, 1, 134, note 1.

NICOLE, I, 378, note b. Regarde les pièces de théâtre, même celles de P. Corneille, comme contraires à la morale de l'Évangile, II, 291, note a. Combat les extravagances de Desmarets de Saint-Sorlin par huit lettres, intitulées les Visionnaires, 491, note 2. NICOT. Note biographique sur cet auteur, I, xxxvj.

NIVERNOIS (le duc de ). Fait des critiques dénuées de fondement,

(*) On indique seulement, par les pages et les notes, une partie des négligences que présente la prose de l'auteur.

au sujet de l'élégie, II, 195, note a; et de l'ode anacréontique, 198, note 3.

NOAILLES (le cardinal de ). Note sur ce prélat, I, 353, a. Son éloge par Despréaux, ibidem. Fait changer un vers de la satire x11, 363, note f.

NOAILLES (le duc de ), neveu du précédent, IV, 560, note a. Son intrépidité louée par Despréaux, 562, note a.

NOGENT ARMAND DE BEAUTRU, Comte de ). Est tué au passage du Rhin, II, 45, note e.

NONNUS, auteur d'un poëme grec, intitulé les Dionysiaques, III, 246, note a.

0.

ODE. Marmontel reconnoît la justesse du précepte de Despréaux sur l'Ode pindarique, et croit néanmoins qu'il a donné lieu à beaucoup d'extravagances. La Harpe en développe le sens avec son jugement ordinaire, II, 199, note a.

ODÉNAT, mari de Zénobie, III, 353, note a.

OLIVET (l'abbé d'). Son indignation contre le jugement porté sur Despréaux par Marmontel, I, lv, note c. Son opinion sur l'emploi du verbe être dans un vers de la vo satire, 150, note 1. Fait l'analyse des derniers vers de l'épisode de la Mollesse, dans le second chant du Lutrin, II, 370, note d, 371, note a. Sa réponse aux sophismes de La Motte contre le récit de Théramène, III, 336, note 1. A refait plusieurs traductions de Maucroix, IV, 269, note a. Publie une lettre de Despréaux, en y faisant des changements, 279, note a. Étoit préfet au collège de Louis-le-Grand, 642, note c. Note biographique sur cet écrivain, 644, a.

ORANGE (Guillaume de Nassau, prince d'). Tremble pour le sort de Namur, II, 473, note d. Note biographique sur ce prince, III, 136, a.

ORPHÉE, II, 296, note a.

OSSONE (le duc d'). Bon mot, I, 330, note 1.

OVIDE. Remarque sur l'épithète de tendre que lui donne Despréaux,

II, 197, note a. Jugement de Quintilien sur sa tragédie de Médée, 228, note 1. Il n'existe qu'un seul vers de cette pièce, et Despréaux, par inadvertance, en annonce deux, IV, 201, note c.

P.

PACUVIUS, ancien poëte tragique latin, II, 228, note a.

PAGANUS, auteur d'une mauvaise traduction latine de Longin, III, 360, note 1.

PALISSOT. Répond aux attaques dirigées par Voltaire contre Despréaux, I, xxv.

PALMYRE les ruines de ), III, 356, note a.

PARTICIPES. Despréaux négligeoit les règles établies de son temps, sur-tout celles qui concernent les participes. Voyez le tome I, pages 28, note b, 31, note a, 159, note a; le tome II, pag. 23, note a, 146, note 1, 230, note b, 322, note a, 496, note d. PASCAL. Une de ses pensées citée, 1, 338, note a. Despréaux s'autorise de plusieurs passages des Lettres provinciales, satire XII, 373-378; note sur Pascal, 378, note a.

PASQUIER (Étienne), cité, I, 77, note 1. Note biographique sur cet auteur, III, 239, note b. A publié le recueil intitulé, la Puce des grands jours de Poitiers, IV, 492, note a.

PATRU. Son professeur Sevin lui prédit la réputation qu'il obtint dans la suite, I, xlvj. Note sur cet auteur, 90, b. Éloge de son style, 258, note b. Passage de l'un de ses plaidoyers, 327, note b. Despréaux l'estime plus qu'un financier, II, 58, note 1. Son portrait comme critique, 288, note 1. On lui applique malà-propos une épigramme de Despréaux, 489, note 1. Réponse de ce dernier à l'une de ses observations, III, 426, note 1. PAVILLON, évêque d'Aleth. Son éloge, II, 344, note 1. PEARCE (Zacharie), célèbre critique anglois. Observations sur la traduction de l'ode de Sapho, par Despréaux, III, 424, note a, et sur l'altération du texte grec de Longin, 440, note d, 451, note 1, 501, note b. Note biographique sur Pearce, 536, a.

PÉLAGE, hérésiarquc, I, 368, note c.

PELLETIER. Son nom est Du Pelletier. Note sur cet auteur, I. 50. Al

lusion à ses sonnets, 80, note c. N'étoit point un parasite, comme l'a dit Despréaux, 85, note 1. Simplicité de son esprit, 102, note 1. Il est un de ceux qui se trouvent sous la plume du satirique, 172, note 2. Nommé dans la satire Ix, 238, note a. Mis par ironie au-dessus de Perrot d'Ablancourt, et de Patru, 258, note b. Ses sonnets ne sont pas lus, II, 204, note b. PELLISSON. Étoit nommé d'abord dans la vin satire, I, 198, note c. Il est au moins douteux que Despréaux soit l'auteur de l'épigramme rapportée, II, 561, note a. Mademoiselle de Scudéri le désigne sous le nom d'Herminius, III, 78, note a. Suivant Monchesnay, il s'opposoit à l'impression de l'Art Poétique, IV, 8, note a. PERRAULT (Charles). Despréaux se plaint de la manière dont cet auteur le traite, I, 17. Note biographique sur ce dernier, ibidem. Sa maladresse en défendant Cotin, 19. Allusion à ses vers langoureux, 256, note a. Prétend mal-à-propos que le satirique n'a pas saisi le sens de Juvénal, dans un passage important, 266, note 2. Fait une objection spécieuse, 275, note a. Prend la défense de madame de La Sablière, 303, note a. Fait une critique juste, 323, note 1. Un de ses contes cité dans l'épître 1x, II, 113, note e. Son nom remplace celui de Boursault, dans le chant du Lutrin, 377, note a. Ce nom paroît avoir été indiqué par un P initial, dans le v chant du Lutrin, 431, note c. Réponse à Despréaux, 462, note b, 464 note c. Strophe d'une de ses odes, 483, note 1. Épigrammes de Despréaux contre lui, 501, 502, 507. Est le modèle du parfait ennuyeux, 530, note 1. A pour lui le Mercure-Galant, 537; son frère, 552. Son poëme sur le Siècle de Louis-le-Grand fut le signal de la guerre que Despréaux et lui se firent, III, 155, note a. Réponse à Despréaux, 159, notes a et b, 162, note c, 165, note b, 186, note b, 190, note 1. Le Parallèle des anciens et des modernes cité, 197, note 1, 209, note b, 218, note b, 219, notes a et b, 220, note a, 241, note a, 245, note a, 248, note c, 249, note a. Réponse à Despréaux, 258, note b, 259, notes a et b. Le parallèle cité, 267, note a, 273, note a. Il abandonne sa place de contrôleur-général des bâtiments du roi, IV, 27, note a. Tourné en ridicule par Racine, 215, note b. Foiblesse de sa versification, prouvée par le commence

m

ment de l'apologie des femmes, 217, note b. Racine le réconcilie avec Despréaux, 256, note a. Celui-ci lui fait par politesse un éloge exagéré de quelques uns de ses ouvrages, 380, note a. PERRAULT (Claude), médecin. Veut transformer en crime d'état un vers de la satire IX, I, 252, note a. Vengeance de Despréaux, Art poétique, chant iv, II, 279, notes a et b. Épigrammes, 499, note a, 503, note a. Éloge de son travail sur Vitruve, III, 203, note a. Encourt la disgrace de Colbert, IV, 27, note a.

PERRAULT (Pierre). Allusion à ses vers langoureux,'I, 256, note a. Traducteur de la Secchia rapita, III, 164, note a.

PERRIN. Note sur ce poëte, l'un de ceux qui se présentent en foule à l'esprit du satirique, I, 172, 2. Désigné dans la prétendue Esquisse en prose de la satire 1x, 215, note 2. Nommé dans cette satire, 238, note a. Réticence ironique à son égard, 258, note 1. Admis chez la précieuse (madame Deshoulières), 305, note a. Peu importe à Racine et à Despréaux qu'il admire leurs vers, II, 92, note 1. Obtient le pardon de ses ouvrages, 102, note a. Trait lancé contre lui, 132, note 1. Nommé dans une épigramme, 498, note d. Comment il rend quelques uns des vers les plus connus de l'Énéide, IV, 269, 372, note b.

PERROT D'ABLANCOURT. Éloge de son goût, I, 258. Note sur ce traducteur, ibid., b. Éloge de ses traductions, III, 131, note a. PERSE. Note biographique sur ce poëte, I, 66, b. Se justifie par l'exemple de Lucilius et d'Horace, 257, note a. Despréaux imite une de ses ironies, 258, note c; et quelques uns de ses vers, II, 29, notes a, c et d. Il entend le lecteur lui reprocher d'avoir plus d'audace que ce satirique, 105. Il est un studieux amateur de ses écrits, 137. Expressions ingénieuses de Perse sur Horace, 208, note b. Portrait de Perse, par Despréaux, ibid., note c.

PÉTAU ( le père), jésuite, IV, 392, note b.

PETIT, auteur du Paris ridicule, conduit au supplice, II, 213, note d. PÉTRONE, I, 335, note b.

PEYRARÈDE, poëte latin moderne, IV, 383, note d.

PHALARIS (la duchesse de), morte en 1789, belle-fille du traitant Gorge, I, 78, note c.

PHILON, surnommé le Platon juif, III, 227, note biographique b.

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