OeuvresChardon, 1782 - 360 strán (strany) |
Vyhľadávanie v obsahu knihy
Výsledky 1 - 5 z 10.
Strana 110
... suis propofé . Il ne me reste donc plus maintenant qu'à par- ler de la fatire pour laquelle eft fait ce Difcours . Je l'ai compofée par le caprice du monde le plus bi- zarre , & par une espece de dépit & de colere poëtique , s'il faut ...
... suis propofé . Il ne me reste donc plus maintenant qu'à par- ler de la fatire pour laquelle eft fait ce Difcours . Je l'ai compofée par le caprice du monde le plus bi- zarre , & par une espece de dépit & de colere poëtique , s'il faut ...
Strana 162
... Suis les pas de Sophocle , & seul de tant d'esprits , De Corneille vieilli fais confoler Paris , Ceffe de t'étonner , fi l'envie animée , Attachant à ton nom fa rouille envenimée , La calomnie en main , quelquefois te pourfuit ; En cela ...
... Suis les pas de Sophocle , & seul de tant d'esprits , De Corneille vieilli fais confoler Paris , Ceffe de t'étonner , fi l'envie animée , Attachant à ton nom fa rouille envenimée , La calomnie en main , quelquefois te pourfuit ; En cela ...
Strana 184
... suis , ami si déclaré , Ce docteur toutefois fi craint , fi révéré , Qui contre eux de fa plume épaifa l'énergie , Arnauld , le grand Arnauld fit mon apologie . Sur mon tombeau futur , mes vers , pour l'énoncer Courez en lettres d'or de ...
... suis , ami si déclaré , Ce docteur toutefois fi craint , fi révéré , Qui contre eux de fa plume épaifa l'énergie , Arnauld , le grand Arnauld fit mon apologie . Sur mon tombeau futur , mes vers , pour l'énoncer Courez en lettres d'or de ...
Strana 189
... Suis - inoi donc . Mais je vois fur ce début de prône , Que ta bouche déja s'ouvre large d'une aune ; Et que les yeux fermés tu baiffes le menton . Ma foi , le plus für eft de finir ce fermon ; Auffi - bien j'apperçois ces melons qui t ...
... Suis - inoi donc . Mais je vois fur ce début de prône , Que ta bouche déja s'ouvre large d'une aune ; Et que les yeux fermés tu baiffes le menton . Ma foi , le plus für eft de finir ce fermon ; Auffi - bien j'apperçois ces melons qui t ...
Strana 249
... Suis - je donc la Discorde & parmi les mortels , Qui voudra déformais encenfer mes autels » ? A ces mots d'un bonnet couvrant fa tête énorme Elle prend d'un vieux Chantre & la taille & la forme , Elle peint de bourgeons fon vifage ...
... Suis - je donc la Discorde & parmi les mortels , Qui voudra déformais encenfer mes autels » ? A ces mots d'un bonnet couvrant fa tête énorme Elle prend d'un vieux Chantre & la taille & la forme , Elle peint de bourgeons fon vifage ...
Iné vydania - Zobraziť všetky
Časté výrazy a frázy
affez aifément Ainfi Alcippe Apollon auffi Auffi-tôt auteur avoit beau bientôt bleffe Brontin C'eft C'eſt cenfeur chanter CHAPELAIN chofe ciel cœur compofa Cotin déja démon Dieu difcours Docteur doux écrits efprit encens enfin eſt étoit facrés fage faint fans art fatire faux favant favoir fecond fens fervir feul fiecle foi-même foible foin foit folle fonge font fouffrir fous fouvent ftyle fuis fuivante fujet funefte fuperbe fur fon fureur gloire grace héros Homere illuftre j'ai jamais jour jufqu'à jufte l'auteur l'efprit l'Eglife l'honneur l'inftant l'univers laiffe lecteur lieux loix long-tems lumiere lutrin main mortels mufe muſe n'eft n'eſt neuf Sœurs noble ouvrage paffant par-tout Parnaffe penfer penſée Pindare plaifir plaifirs plein poëme poëte pouffe preffe Prélat premiere qu'un raifon refte rien rimer rimeurs Satire SERRE ſes ſon ſur tems Topinamboux trifte vains vante vertu vice vifage viſage voit yeux zele
Populárne pasáže
Strana 204 - Voulez-vous du public mériter les amours? Sans cesse en écrivant variez vos discours. Un style trop égal et toujours uniforme En vain brille à nos yeux, il faut qu'il nous endorme.
Strana 45 - Souvent, pour m'achever, il survient une pluie : On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau. Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau.
Strana 204 - Le style le moins noble a pourtant sa noblesse. Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté : On ne vit plus en vers que pointes triviales; Le Parnasse parla le langage des halles : La licence à rimer alors n'eut plus de frein ; Apollon travesti devint un Tabarin.
Strana 163 - De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
Strana 150 - C'est au repos d'esprit que nous aspirons tous , Mais ce repos heureux se doit chercher en nous. Un fou rempli d'erreurs , que le trouble accompagne , Et malade à la ville ainsi qu'à la campagne , En vain monte à cheval pour tromper son ennui : Le chagrin monte en croupe et galope avec lui.
Strana 163 - Qu'au faible et vain talent dont la France me loue. Leur venin, qui sur moi brûle de s'épancher, Tous les jours en marchant, m'empêche de broncher.
Strana 67 - Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis , Et qui pour un bon mot va perdre vingt amis.
Strana 202 - L'un peut tracer en vers une amoureuse flamme ; L'autre d'un trait plaisant aiguiser l'épigramme : Malherbe d'un héros peut vanter les exploits ; Racan, chanter Philis, les bergers et les bois : Mais souvent un esprit qui se flatte et qui s'aime Méconnaît son génie et s'ignore soi-même...
Strana 162 - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eût rayé du nombre des humains, - On reconnut le prix de sa muse éclipsée.
Strana 221 - De cette passion la sensible peinture Est pour aller au cœur la route la plus sûre. Peignez donc, j'y consens, les. héros amoureux...