Messager des sciences historiques et archives des arts de Belgique, Zväzok 17P.F. de Goesin-Verhaeghe, 1849 |
Iné vydania - Zobraziť všetky
Messager des sciences historiques et archives des arts de Belgique, Zväzok 16 Úplné zobrazenie - 1848 |
Messager des sciences historiques et archives des arts de Belgique, Zväzok 15 Úplné zobrazenie - 1847 |
Messager des sciences historiques et archives des arts de Belgique, Zväzok 13 Úplné zobrazenie - 1845 |
Časté výrazy a frázy
abbé anciens Annales Anvers archives Audenarde aultres aussy avaient avons Baudry Béguinage Belges Belgique bibliothèque Bourgogne Boussu Brabant Bruxelles Cantimpret caractères chanoine chapitre chartes châsse commence comte comte de Gueldre culpabilis judicetur Delloye dixième denier doen Drusus Duc d'Albe duc de Limbourg édition ende époque Estatz évêque faciunt Faudacq feuillet flamand Flandre Gand Gantois gardes-étape gewan grains gravure en bois groeter Hainaut hebben Henri heren Herten historiques imprimée Int iaer Item daernae Jean kercken Kervyn l'abbaye de Saint-Ghislain l'an l'église l'évêque l'histoire Leeu lettres Liége Liégeois Limbourg livres Loi salique Maestricht maison Malb manuscrit manuscrits ment Messager des Sciences Molitor monuments Namur notice offt onsen ouvrage passé pays Pays-Bas peuple Philippe porte premier prince procession province publiée quod recto religieux reliquaire reliques reste Rhin romaine saint Saint-Ghislain Saint-Servais seigneur Sinte Servaes Sluse texte Thierry Martens tion titre Tongres trouve typographe verso voersz volume XVIe siècle
Populárne pasáže
Strana 94 - Monuments pour servir à l'histoire des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg, recueillis et publics pour la première fois par le baron de Reiffenberg.
Strana 148 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire...
Strana 147 - Et il enverra ses anges, qui feront entendre la voix éclatante de leurs trompettes, et qui rassembleront ses élus des quatre coins du monde, depuis une extrémité du ciel jusqu'à l'autre.
Strana 148 - Seigneur, quand est-ce que nous vous avons vu avoir faim, et que nous vous avons donné à manger ; ou avoir soif, et que nous vous avons donné à boire?
Strana 148 - Et le Roi leur répondra : Je vous le dis en vérité, autant de fois que vous l'avez fait à l'égard de l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi-même que vous l'avez fait.
Strana 426 - Mais la grande majorité du genre humain ne comptera jamais dans ces catégories. La grande majorité des hommes est souffrante, souffrante de douleurs morales autant que de maux physiques. Le premier pain de l'homme est la douleur, et son premier besoin est d'en être consolé. Or, lequel de ces systèmes a jamais consolé un cœur affligé, peuplé un cœur désert? lequel de ces docteurs a jamais enseigné à essuyer une larme?
Strana 110 - César qu'elles aimaient à se séparer. La frayeur qu'elles eurent des Romains fit qu'elles se réunirent: chaque homme, dans ces nations mêlées, dut être jugé par les usages et les coutumes de sa propre nation. Tous ces peuples, dans leur particulier, étaient libres et indépendants; et, quand ils furent mêlés, l'indépendance resta encore : la patrie était commune, et la république particulière ; le territoire était le même, et les nations diverses. L'esprit des lois personnelles était...
Strana 2 - Les initiales sont faites au pinceau. Au-dessous de la souscription et au recto du dernier feuillet se trouve la marque de l'imprimeur : deux écussons suspendus à une branche d'arbre; plus bas, les initiales de Gérard Leeu (2).
Strana 110 - C'est un caractère particulier de ces lois des Barbares, qu'elles ne furent point attachées à un certain territoire : le Franc étoit jugé par la loi des Francs, l'Allemand par la loi des Allemands, le Bourguignon par la loi des Bourguignons, le Romain par la loi romaine...
Strana 186 - Gelduba , et des flottes pour protéger ces ouvrages. Inconnue jusqu'alors et inaccessible aux Romains, la forêt d'Hercynie leur fut ouverte. Enfin, une paix si profonde régna dans la Germanie, que les hommes et le pays semblaient changés, et le ciel lui-même devenu plus doux et plus serein. Aussi, ce jeune héros y étant mort, ce ne fut point par adulation, mais par une juste admiration pour son mérite, que le sénat lui décerna le surnom de la province qu'il avait ajoutée à l'empire, distinction...